Ko Oni Civil
Nombre de messages : 542 Age : 35 Village caché : Kiri no Kuni Specialisation : Genjutsu Sensei : Nago Date d'inscription : 28/08/2007
Feuille de personnage Points d'expérience: (136/150) Points de vie: (217/217) Points de chakra: (516/516)
| Sujet: Retour aux sources. Mar 7 Oct - 20:48 | |
| Village de Kyori Maison des Yuko Voilà quelques jours que Monoki n'avait pas ressue de nouvelle de son ami Hiro, cela l'inquiétait fortement. Il se fessait un sang d'encre pour son ami mais où était-il ? Et si quelqu'un l'avait capturé ou pire tué. Non nous ne pouvons pas penser à ça, restons positif. Il se trouvait dans le point de vue comme à son habitude depuis son retour de la mission et passé de longue partie de sa journée à cet endroit, avec un peu de chance il verrait la silhouette de son ami se découper au loin mais hélas se ne fut pas le cas. Vers midi il décida d'aller chercher quelque chose à manger et revenir dès qu'il aurait fini son repas, mais aujourd'hui il trouva un rouleau à terre avec l'écriture d'Hiro, qui était enfaîte la sienne mais nous ne dirons rien là-dessus. Il le prit dans ses mains peut-être que pour une fois il aurait une piste sur ce qu'il était arrivé à son ami ou de simple nouvelle... puis il le déroula. Les kanjis étaient fait rapidement. - Citation :
- «Monoki fuit de cet endroit, l'hokage veut te tuer car il a peur que tu dévoiles tout aux autres ce qui pourrait risquer un coup-d'état. Trouve un lieu sûr et patiente quelques années ne t'inquiète pas pour moi il ne m'arrivera rien. »
Monoki relit le texte plusieurs fois et s'effondra sur place, les genoux à terre, son torse pencher en arrière, les mains posées sur le sol dans son dos. *C'était pas suffisant mes parents ? Il a fallu que tu t'en prennes à lui...* Il se laissa submerger par ses sentiments, il en ressentait un bon nombre d'ailleurs, de la haine, de la peur, de la colère,... mais ils étaient tous destiné pour un seul et même homme, cet homme qui lui avait volé ses parents et qui maintenant lui volait son meilleur ami. Mais il ne pouvait rien contre lui il était trop puissant, que pouvait faire un simple enfant face à un kage ? Mais pourquoi il s'acharnait sur lui ? Devait-il vraiment fuir ? Oui il le pensait. Il pourrait s'entraîner seul pour un jour vaincre cet homme aussi détestable que le plus grand Uchiwa ayant foulé cette terre. Il devait partir au plus vite, il était peut-être déjà dans le bâtiment. Il prit juste le temps de prendre quelques vivres pour son voyage. Pour aller où ? Bonne question, surement un voyage à plusieurs escales et pourquoi ne pas commencer par son village natal, si les gens ayant détruit la ville était partie il trouverait peut-être des choses intéressantes. Oui voilà il devait y aller au plus vite. Il aurait bien prit le même moyen de transport que pour l'allée mais il ne savait pas maitriser ces engins il allait devoir y aller à pied.
Il marcha le long de la rivière pour ne pas se perdre un bon quart d'heure puis opta pour s'enfoncer un peu dans les arbres longent également celle-ci mais bien plus discret. Il marcha toute la journée jusqu'au couchait de soleil et installa son camp qui fut bien vite monté. Op le sac à terre et voilà le tour était fait. Mais il opta pour les auteurs des arbres là où il serait plus en sécurité face à certaine créature et même humain. Le fait de monter dans l'arbre lui prit une bonne demi-heure, en effet il n'avait pas l'habitude de ce genre d'exercice, une fois installé sur une grosse branche il cassa la croute et s'attacha lui-même au tronc de l'arbre pour plus de sécurité lors de son sommeil, qu'il ne chercha pas longtemps. Le réveil fut calme et matinal, enfin calme hormis cet écureuil qui lui léchait le vissage, à cet instant il comprit le sens de la phrase qu'Hiro disait quand il rencontrait une personne qui avait une haleine imposant « Il a un écureuil dans la gorge ou quoi ? » Cette pensée le fit rire quelques instants avant qu'il ne se rende compte de pourquoi il était parti ce qui lui plomba bien vite l'humeur. Il prit un rapide petit déjeuner, se détacha et se remit en route pour son village natal ou plutôt sa maison où il comptait récupérer quelques souvenirs qu'il n'avait pas pu prendre à son départ. Il marcha encore une journée et demi, donc il dormit encore une nuit à la belle étoile. Il n'avait rencontré aucun danger en cour de route mise à pare ce sanglier qui avait tenté de le charger mais qu'il esquiva en escaladant un arbre, chose qui avait été bien plus rapide que la dernière fois, en effet cette fois sa peau était en jeu. Maintenant au loin il pouvait apercevoir les murailles de Konoha, enfin ce qu'il en restait, de la fumée s'échappait encore de cet endroit. Il choisit de contourner histoire d'être sûr de ne faire aucune rencontre désobligeante.
La soirée tombait lorsqu'il arriva à la demeure qu'il avait habitée depuis sa naissance. Apparemment personne n'avait trouvé utile de la détruire ou tout simplement personne ne l'avait trouvé. Il entra non sans une boule au ventre qu'allait-il trouver ? Il n'en savait rien. On ne voyait rien, un ou deux rayons de la lune pesaient les volets encore fermaient ce qui ne lui fit pas peur d'allumer la lumière après avoir fermé la porte d'entrée. La maison était comme il l'avait laissée, rien n'avait bougé. Il eu un pincement au coeur. La poussière avait déjà commencé à recouvrir bon nombre d'objet, il s'avança vers le canapé qui n'était pas son but, il prit le cadre photo sur la petite table se trouvant à côté du canapé où il avait l'habitude de poser ses jouets quand il était petit. Le cadre contenait une photo de lui entourer de ses parents, une larme heurta le verre protègent l'image, puis il installa avec précaution l'objet dans son sac. Il fit de même avec trois autres cadres, fit un tour de rez-de-chaussée, puis escalada les marches menant à l'étage, il commença par sa chambre où il prit les deux jouets avec les quels il avait passé le plus temps et qui lui rappelle le plus de souvenir, un set de shinobi en plastique que son père lui avait offert composé de deux kunaïs, trois shurikens et un faux bandeau frontal de konoha, le tissu était de couleur noir d'un côté et blanc de l'autre pour bine le différentier au vrai. Il rangea les « armes » dans son sac et accrocha le bandeau au niveau de sa taille. L'autre jouet était une poupée à l'effigie de Monoki que sa mère avait fait pour lui lors de ses quatre ans, celle-ci fini accrochée à un des pans du bandeau. Il retourna dans le couloir pour admirer d'autres photos à l'effigie de la famille, il aurait temps aimerais les prendre aussi mais un manque de place dans son sac lui interdisait. Puis il leva les yeux au plafond qui était fait de telle sorte que l'on pense que c'était le dernier étage de la maison, mais la famille qui avait habité cette maison savait très bien qu'il y avait une trappe secrète qu'il ouvrit à l'aide d'un manche à ballait, une échelle tomba au pied du jeune homme, il la monta et arriva dans le grenier.
Endroit où il avait passé une bonne partie de sa vie à méditer sur la religion familiale. La pièce n'avait pas été visitée depuis que Monoki avait quitté cet endroit, à chaque pas un nuage de poussière s'éleva. Il savait très bien ce qu'il était venu chercher ici, le livre contenant tous les secret des Yuko et une amulette à avec le signe des Yuko, une simple flemme stylisée. Puis il opta pour aller dans la chambre de ses parents. Il n'avait plus mit les pieds dans cette salle depuis belle lurette. Il ne savait pas trop ce qu'il voulait prendre pour ne pas oublier, des vêtements ? Non. Encore une photo ? Oui. Il en prit encore deux une de son père et une de sa mère. En prenant celle de son père il remarqua un instrument qui ne lui était pas inconnu, il marchait par le souffle et un jeu de doigt, voilà plus de deux ans qu'il n'avait pas touché à cet ocarina blanc comme la neige, sans vraiment s'en rendre compte il le porta à sa bouche. Le souffle crée par l'enfant emplit l'instrument, de la poussière émana de celui-ci. Malheureusement il en inhala un rien, mais il fut suffisant à le faire toussoter. Souffla une nouvelle foi pour extirper l'intrus, s'essuya les lèvres, gonfla les joues et lâcha un filet d'air. Un son en sorti, de ses doigts il le modifia à mainte reprise pour former une mélodie qu'il avait temps entendu, un air que son père lui jouait souvent pour l'apaiser lors de ses moments de lassitude. Monoki ferma les yeux pour mieux se rappeler. « Papa, papa tu as vu j'y arrive, je le fais presque comme toi. » Un adulte ressemblent étrangement à notre jeune héros avec quelques dizaines d'année de plus. Il leva la main et ébouriffa les cheveux de son fils. « Oui c'est bien Monoki, tu fais d'énorme progrès. » L'enfant riait de bon coeur et enlaça les jambes de son père, car il n'arrivait pas plus haut. « Dit papa, tu me refais encore le morceau ? » Il tendit l'instrument à son père qui le prit et joua à merveille cette mélodie. L'enfant le regardait avec des yeux que seul un enfant dans six ans pouvait vous faire. Une nouvelle voix vint se rajouter à la discutions, une voix mielleuse et féminine. « Allez les hommes à table. » Elle avait dit ses mots tout en décochant un sourire. Ils ne se firent pas prier.
La mélodie se stoppa, elle avait finie en douceur mais remit Monoki dans la réalité brusquement. Il regarda cet objet qui lui avait fait revire un moment de sa vie qu'il désirait temps revivre mais cette fois en vrai, chose qui lui était impossible, chose qu'un homme lui avait volé. L'ocarina finit dans une des poches de sa veste et il alla se couchait dans son lit et sombra dans un semi sommeil.
| |
|