L’air est chaud, sec. Quelques brises d’alizés viennent fleurtés avec la longue caravane commerciale qui se déplace lentement vers l’Ouest. Les cheveaux hénissent de temps à autres, l’endroit n’est pas sûr, la tension est palpable. Au loin, on aperçois déjà des ruines dont le nom c’est glisser de ma mémoire. La prossetion sonne l’arrêt, chacun se regroupe jusqu'à formé une masse compacte. La terre des désolations appeler aussi la plaine arc en ciel est dangereuse. La couleur du sang à vite tendance à dominé dans cette contré.
Une fille s’éliogne du regroupement, la main levé en signe de remerciment. Ses pas la guides vers le villages alors qu’elle observe ses compagnons de routes partir vers Alukar. Leurs voyage ensemble lui à parut bien long, mais celui qu’il leur reste l’est encore plus. Quelques gouttes de sueurs perlent sur son visage, elles roulents jusqu'à son coup puis s’éteignent sur ses épaules. Ses yeux amandes scrutent l’orizon, une hinabituelle activité a lieux dans ce qui est sensé être des ruines. Temps d’arrêt. Elle hésite un instant, sondant toujours ce qui lui apparaît comme un immense fouillis de loin. Une véritable fourimillière semblait s’être mis en activités depuis bien des mois. Que ce passait-il donc ? pourquoi une telle masse de population c’était regroupé ici ? Les déserteurs avaient décidé de faire un village ?
La jeune s’acroupis, observant le sol déséché devant elle. La réunion de déserteur est à exclure, personne à ce jours n’é réussi a organisés ses hommes, d’autant que ceux qu’elle voit ont un aspect un petit peu trop soigné pour être des pillards. Non, ce sont donc bien des gens qui on pour but de reconstruire un village sur les ruines anciennent. Elle pense un instant à ça quête, comment pourrait-elle l’effectué alors que les ruines étaient censé êtres vides ?
Elle se relève lentement, elle doit déterminé ce qu’il ce passe. Ses pas s’accélèrent, ses cheveux battent le vent. Lorsqu’elle est suffisament près, elle rabat ça cape de voyage sur ça tête. Ses vieilles habitudes reprennent le dessus. Une résolution à découvrir ce qui se passe transparaît sur ses traits voilé par l’ombre de la capuche. On n’apperçois que le vert de jade de ses yeux.
Un homme s’approche, il l’a probablement vu. Elle s’arrête, refermant sa cape sur son corps entiers cette fois tel un kotori*. Lorsque l’homme s’arrête non loin d’elle, elle s’incline une première fois en silence comme le veux la cotume. Son éducation reprenait le dessus sur la situation. Nouvelle inclinaison.
« Je m’appelle Tan’Soku**, fille de la Geisha Tan’Rei**. »
Voix parfaitement métrisé, dans le respect total des coutumes. C’était maintenant à l’homme de se présenté. Immobile, elle patientais. Le temps était clair, la journée bien engagé. Sa vieille cape beige lui tenait chaud dans cet espace arride mais pour rien au monde elle n’aurait dévoilé son corps ici, elle le détestait bien trop pour ça. D’ailleur, l’homme en face d’elle ne devait décerné d’elle qu’une forme vague de son enveloppe charnelle.
*Maman…*
Elle baissé les yeux vers le sol, observant les pieds de l’homme qu’elle regardé. Elle avait conscience que son éducation lui interdisait ça, que c’était contraire à la marche à suivre, mais elle n’avais jamais pus s’en empêcher, c’était bien plus fort qu’elle. Dans ses chaussons, ses pieds se trémoussaient, frottant l’un contre l’autre, alors que ses doigts s’entortillé entre eux.
La chaleur était suffocante pour Tan’Soku.
*Oiseau
** Nom d’emprunt. Tan’Soku : Disgracieuse, Laide.
Tan’Rei : Beauté, Grâce, Elégance.