Taverne de Suna "Pour les gaillards" [Détruite]

[Les faits se passent un jour après l'entraînement en cours...]

C'était un soir à Suna,un soir calme,personne dans la rue...Lan' marchait,il marchait en ce posant des tonnes de questions,des "pourquoi?",des "quand?",et des "où?"...

Les "pourquoi?" étaient tous dirigés vers sa famille...les raisons de la déstruction de son clan...d'abord les raison de la disperssion,pourquoi le clan s'était-il dispérsé,comme ça,d'un coup.Le grand-père de Lan' Nicotsuo leur faisait honneur,c'est lui qui les a sauvé maintes fois ! Et eux ils sont partis comme des laches !Mais maintenant qu'il pense au pourquoi de la déstruction du clan,par cette organisation...l'Akatsuki...il y a sûrement des traitres dans son clan !L'Akatsuki par laquelle sont père s'est fait tué,lui avait expliqué la jalousie de la puissance envers son grand-père,et eux aussi...eux aussi comme des lâches ils ont attendu la mort de son grand-père,pour exterminer la fin du clan,et ces traîtres..ces traîtres doivent aussi être mort..."les imbeciles"pensait Lan'...Mais le pire n'est pas là,le pire c'est que Lan est le dernier et que l'Akatsuki n'en était pas au courant,il se fixa un nouveau but ce soir..un but pour l'honneur du reste de sa famille et pour le déshonneur des autres...il voulait exterminer plus que tout cette Akatsuki,quoi qu'il en coûte...

Après cette réfléxion à propos de ça,il se demandait maintenant "quand?" allait-il pouvoir réaliser ces actions,ses plans,et revoir,oui revoir sa fiancée Cixi,la belle Cixi,il en était fou amoureux,cette brune pulpeuse et pleine d'énergie,il repensait à un moment passé avec elle...

En mode : Nostalgie..

Il était pas plus tard que 18h,le père de Lan' s'entraînait,sa mère préparait un plât pour ce soir,et Lan' etait sur le chemin pour aller chercher sa fiancée,qui habitait juste à côté,dans une hutte,aussi grande qu'une maison..

""Coucou ma chérie tu vas bien?Tu viens te balader un peu sur les dunes,on va regarder le soleil se coucher.""

Il était heureux,souriant,il était amoureux quoi...

"Hiiiii !! Viens là toi ! je t'ai attendu toute la journée,j'ai faillit en faire une crise cardiaque,personne ne te trouvait dans le village,où tu était !!?"

""Hé bien je..""

"Aller dépêche-toi,on va rater le coucher de soleil !!"

Tout çela fit sourir Lan',ils étaient tout les deux en route pour le petit chemin des routes qui mènent aux dunes,qui elles,mènent au coucher de soleil...

**J'adore cette fille ha ! ha ! ha !...**

Pendant tout le chemin les deux amoureux se tenaient par la main,il ne disait pas un mot mais avaient l'air songeur puis en arrivant devant le coucher de soleil,il prirent tout les deux la parole en même temps..

""Tu sais Cixi..""
"Ecoute Lan' je.."

Il furent tout deux pri d'un fou rire,puis Lan' reprit la parole..

""Cixi..écoute..je voudrais que tu viennes à Suna avec moi,le village du sable,on y serait mieux qu'ici,surtout si tu veux bien...vivre avec moi,je me suis dit que là-bas c'était peut-être mieux pour toute la famille...""

La fille lui répondit qu'elle était d'accord et que le lendemain il demanderait à la caravane de partir vers le sud pour Suna,la nuit fut longue pour nos deux tourtereaux,mais le lendemain...plus personne n'était là,l'Akatsuki avait attaqué,et Cixi,il ne la retrouva pas..son père lui dit juste avant de mourir qu'elle était vivante et qu'elle s'était échapée...

En mode : Normale...

Après ces quelques songes,et ces souvenirs pas si lointains,la question "où?" se posait.
Où était-elle?...

Au même moment il croisa un bar,et pour essayer d'oublier cette affreuse soirée de pensées atroces,il voulait noyer tout ça dans l'alcool,quand il rentra tout le monde se tue,les habitués était surpris de voir un jeune débarquer ici.Lan' s'assit,se mit à son aise,puis cria au barman..

""hé ! Envoi-moi une bouteille de sake !!""

La bouteille fut ammené tout de suite,le jeune homme lui donna 20gils,puis le barman repartit,et les gens reccomencèrent à discuter.
Lan' buvait quelques gorgées puis repensait...il repensait à l'endroit où elle pouvait être,sa princesse,sa dulciné,la seule qui comblera son coeur,et qui saura lui donner le plus grand des courage...soudain,Lan' entendit un gayard d'au moins 90Kg parler dans son dos...

"Regarde-le..c'est un des élèves de Yondaime-Sama,il se bat comme un t*****e à ce qu'il paraît,il y avait le fan club de Kazekage-Sama et une rumeur s'est répendue.."

Déjà que Lan' était pas dans son assiètte,le gars qui venait de parler était mal barré...Lan' d'un regard vide avec ses yeux rouge regardait maintenant le gros avec les cheuveux qui faisaient de l'ombre sur sa tête,néanmoins ses yeux rouge étaient visible...

**Je ne peux pas me maitriser,pas maintenant..non...**

Lan' sourit...

""Je me mords...ou je te mords...""

"Je te mords"...cette phrase semblait raisonner dans la salle du bar qui était maintenant vide de paroles...Il enlevait maintenant son Katana de son dos...

""Celui qui y touche...""

Deux Kunais partirent d'un coup,le gros grand tout gras qui avait rpononcé les paroles qui avaient enragé notre ami se vit propulsé par ces deux Kunais.Il était suspendu au mur par le T-shirt qui était accroché au même Kunais enfoncés dans le mur...

""Celui qui y touche..je le mords aussi...""

Lan' partit comme une balle vers le gros gayard,en 3 seconde on pouvait aperçevoir le poing de Lan' collé au nez du mauvais gars...il ne l'avait pas tapé..il pouvait mais ce serait vraiment pour une raison plus complexe,là le gros n'avait rien fait,à part dire n'importe quoi à son sujet...

""Maintenant,tu va t'excuser auprès de "la t*****e",qui sait finalement se battre hin?""

Il décrocha les deux Kunais du mur,les remit dans sa poche,puis mit un large coup de poing bien prit avec aisance,et avec élan dans le ventre de cette personne,avant même qu'il ne prit la parole.Il tomba à genou...

""Trop tard...""

Le bruit de l'homme qui était tombé résonna dans la piève somplètement vierge de bruits...Les autres,eux,ne dirent rien.Lan' reprit son katana le remit dans son dos,puis enfila cul-sec la fin de la bouteille de sake,il la posa sur le comptoir,fit un signe de respect au barman et s'escusa en sortant de cet endroit.

Après avoir traversé quelques rue,s'être prit les pieds dans un trotoir,et tout en marchant de travers,une voix résonna dans sa tête,il la caonnaissai bien maintenant,l'âme de son grand-père enfermé dans le Katana...

"Regarde toi ! Jeune imbecile !Tu n'est pas conscient de ce que tu viens de faire,tout le monde a bien vu ton visage,je suis sûr qu'il vont prévenir la police de ces faits ! Quel imbécile ,mais comment ai-je fait pour avoir un petit-fils tel quel..."

**Alors je ne peux même pas avoir un moment de nostalgie sans que quelqu'un,même toi m'interpèle maintenant...écoute grand-père j'ai réfléchit toute cette soiré je me rends compte des choses maintenant,et je pense..je pense que Cixi est dans ce village,je lui avait dit qu'on se rendrait ici,le jour d'avant...d'avant la destruction totale de tout le clan...**

*Mais qu'est-ce que ça à voir dans tout ça ?Tu es saoul et tu t'es battu dans un bar !*

**Grand-père je sais encore ce que je dis,je dois mener des recherches avant tout,mais je m'entrainerais quand même ne t'inquiète pas je sais ce que je dis..**

La voix ne résonna plus dans sa tête,il continuait à marcher dans la rue en direction de sa maison...

""Je sais ce que je dis...""


Maison de Lan'

[Beau Rp, lan'....12Exp]

[=> Hors de Suna ; Porte Est]

Le village de Suna était composé principalement de petites rues, et ce pour conserver un peu de fraîcheur lorsque le zénith frappait le village. Les pavés sur le sol étaient partiellement recouverts de grains de sable jaunâtres. La fournaise qui régnait dans ces ruelles, aussi petite qu’elles soient, était étouffante pour le Kiréen habitué à des températures beaucoup plus basses et à une humidité constante. Malgré tout, il parvenait à masquer en partie les signes de son dessèchement. Le gros avantage qu’avait sa couverture était son incapacité à parler. S’il n’avait pas à ouvrir la bouche, qui verrait qu’il manquait cruellement d’eau ?
Une porte cossue dans une avenue toujours aussi étroite. Ce village était un vrai dédale de ruelles. Le faux Chuunin poussa la porte sans une once d’hésitation, il ferait probablement plus frais à l’intérieur. C’était effectivement le cas. De longs rideaux marron s’étendaient devant les fenêtres, coupant partiellement l’arrivée du jour ainsi que de la chaleur. Un plafond bas, des murs entièrement en pierre. Voilà ou résidait le secret de la température ambiante. Pour parfaire le tout, une petite fontaine humidifiait l’air en permanence. Voilà un lieu ou il était agréable de séjourner.
Iraki toujours impassible s’avança vers le comptoir. Il s’installa sur un tabouret, attendant qu’Hekyo commande pour lui. Il avait prit une place tout au bout du bar, dos au mur. De cette manière, il avait une visibilité complète sur toute la salle pratiquement vide. Son cocktail au fruit fut déposé juste devant lui, il l’attrapa sans précipitation. Le Senin le buvait doucement, laissant traîner ces oreilles ici et là. Chaque détail, chaque rumeur pouvait être un indice sur la position de Seika...

Village de Suna, Après les remparts, Porte Est de Suna

Les ruelles de Suna n'étaient pas bondés, bien heureusement. le moindre choc aurait pu faire capoter la couverture des deux compères. Rapidement, ils trouvèrent la taverne de Suna, peu fréquenté en cette heure matinale. En y entrant, Iraki le premier, Hekyo pu remarquer que seuls quelques shinobi en service de nuit y cuvaient encore avant de rentrer chez eux pour se faire crier par leur femme. L'air qui y régnait était lourd mais frais. Les effluves d'alcool en étaient d'autant plus désagréable. Fort heureusement, le conteur de Kiri était habitué, de par ses voyages, à ses ambiances bestiales.
D'une démarche naturelle, il prit place aux côtés de son supposé supérieur puis lança vers le tavernier :

Hé ! Apporte nous un saké et le cocktail de Lao ! On a passé une sale nuit à se les geler !

La taverne était un lieu où fusaient diverses informations. Peut-être que le tenancier avait entendu parler d'une étrangère aux aspirations meurtrières. Quoiqu'il en soit, il faudrait être discret à ce sujet, pour ne point attirer l'attention. Dans le pire des cas, le yamanaka pourrait user de ses dons...
Hekyo se tourna, le regard complice, vers son frère d'arme. Conscient que ce dernier devait s'obliger à rester muet, il déclara doucement :

A ton avis Lao-san, ma femme passerait-elle ses nuits à l'auberge avant d'aller courtiser mon voisin? J'sais qu'elle me trompe mais...J'sais pas comment qu'elle s'y prend.

Les deux poivrots du matin venait d'entrer dans la taverne, un bon moyen d'arrondir ses fins de moi pensa Martin, le propriétaire. Le muet et son laquai, c'est ainsi qu'il les avait surnommé. Tous les matins, ils venaient oublier la pénible soirée passée ensemble. Ils ne faisaient que boire, l'un étant benêt et cocu, l'autre muet. Martin s'arrangeait souvent pour les pousser à rentrer via son service de raccompagnement d'hommes gai, une manière comme une autre d'assurer le lendemain de sa petite famille.
La tavernier n'était pas un homme honnête mais il n'en avait que faire. Chaque jours, il augmentait de vingt pour cents l'ardoise de ses clients, les assurant que c'était une manière pour eux de contribuer à la bonne ambiance du bistrot....Un homme beurré, qu'est-ce que c'est idiot.

[Hakyo Yamanaka]
Hé ! Apporte nous un saké et le cocktail de Lao ! On a passé une sale nuit à se les geler !

Le sourire aux lèvres, le tenancier commença à préparer ses boissons.

[Martin]
J'arrive de suite les gars !

Et en effet, quelques secondes après, il s'amenait avec deux copieux verres remplis à ras bord....Il fallait les saouler vite. Ses consommations délivrés, il ajouta :

[Martin]
J'vous met sa sur vos ardoises? Et j'vous ajoute une p'tite d'moiselle, j'en ai des toutes fraîches arrivés d'Kumo.

Hekyo fit mine de parlé à Iraki, déblatérant sur une possibilité que sa femme le trompe. Le faux Chuunin fit une moue qui ne voulait rien dire de spécial. Chacun l’interpréterait de la manière qui lui allait le mieux, comme le voulais l’esprit humain. Il valait mieux rester vague lorsque l’on mentait, cela faisait longtemps que le Senin s’en était aperçu.
Une femme pénétra dans le bar, son expression froide, son regard. Une shinobi ? Lorsqu’elle parla, tout fut confirmé. Une Jounin... aucune importance, elle ne pouvait pas poser de réels problèmes. Iraki plongea ces lèvres dans le cocktail, appréciant la fraîcheur intense du liquide. Proposition accepter, ils alliaient donc aller voir des filles aux petites vertus. A quoi jouait le Yamanaka ? Le Senin fit le lien après réflexion entre les questions de la nouvelle Jounin et cette subite décision. Il se leva, imitant Kokoro qui ignorait superbement le mini-interrogatoire. Iraki salua la kunoichi avec un langage muet plus qu’approximatif. De toute manière, aucun shinobi ne savait dire bonjour et au revoir sous forme de signe, d’autant plus de façon respectueuse.
L’ex Jounin escalada les marches sans trop d’effort, lançant quelques regards en biais de temps à autre. Il s’agissait d’être discret. Craquements, le vieux planchés semblait être prêt à lâcher à tout instant. La pièce semblait plutôt vieillotte, mais qu’importe, ils n’étaient pas ici pour se prélasser. Le Yamanaka anesthésia les deux créatures présentes sur les lits. Sourire. Iraki imita son frère d’arme, s’asseyant sur le sommier. Il poussa un peut la fille qui était affalé sur le matelas.
Il se pencha alors, susurrant :

« Autant nous reposé à tour de rôle. Je prends le premier quart, j’ai dormie sur le dragon déjà. »

Les heures s’écoulaient, rien ne se profilait. Il y eut deux roulements dans l’homme de garde, la nuit était déjà bien entamée. Quelques éclats de voix se firent entendre à l’extérieur. Des hommes ayant trop bue ? Peut être. Un cri, étouffer dans un liquide inconnu résonna. Cette fois, il n’y avait plus de doute. Quelqu’un était mort dehors, et ce quelqu’un avait certainement été assassiné par Seika. Le Senin d’un pas rapide et silencieux s’approcha de son homologue, le secouant légèrement. Il n’eut pas besoin de plus, son réveil fut immédiat. D’un simple regard, tout fut transmis, aucune parole n’était nécessaire.
Le Senin se dirigea vers l’unique fenêtre donnant sur la rue, malaxant dors et déjà son chakra. Un rude combat s’annonçait.

[=> Rues de Suna]

La journée s'écoula sans le moindre accrocs. Les deux équipiers purent jouir d'un lit pour rattraper le sommeil en retard accumulé le long du voyage vers Suna. Une fois son premier quart d'heure de repos terminé, laissant la place sur le matelas miteux au Senin, Hekyo s'était chargé de droguer les deux courtisanes : elles ne se réveilleraient pas avant la nuit tombé, ce qui leur laissait bien assez de temps pour décider que faire et filer discrètement. Alors que le soleil exécutait sa course dans le ciel, le conteur de Kiri songeait, le coeur lourd, chargé d'envie et d'appréhension :

*Chihiro...Après un an...M'auras tu oublié? Auras tu laissé ta pupille supprimer ces moments qui nous permettaient de rester humains? Rha...j'en sais rien...Sa fait un sacré bout de temps que je n'ai pas été confronté à ce genre de missions...De plus, habituellement, nous étions ensemble, tout trois. C'est si différent.*

Le temps fila, la nuit tomba.
Tout à coup, alors que le yamanaka aux cheveux blonds était allongé sur le lit, les yeux à demi clos, un cri retentit à travers l'avenue sur laquelle donnait la fenêtre de la chambre. Iraki s'approcha de son compère mais ce dernier s'était déjà relevé. Un unique geste de tête leur suffit à s'accorder. Hekyo malaxa son chakra vers ses pieds puis ouvrit doucement la fenêtre.

Il chuchota alors vers son compère :

Sa doit être elle...Occupes toi de supprimer les spectateurs si il y en a, sinon, concentre toi sur Seika. Je resterais sur ce toit. En cas de besoin, je t'enverrais du renfort. Une fois qu'on l'aura récupéré, on file par les airs.

Tranquillement, le conteur de la brume passa par la fenêtre et s'agrippa tel un chat contre le mur de la taverne, grimpant jusqu'à atteindre les toits...

Village de Suna, Rues de Suna