Next Generation Rebirth
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| Le petit magasin de la rue du Jeune | |
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Shiro Genin de Suna
Nombre de messages : 452 Age : 29 Village caché : Suna no kuni, village caché du désert Sensei : Peyu Hukon / Mariya Date d'inscription : 17/04/2009
Feuille de personnage Points d'expérience: (90/105) Points de vie: (125/125) Points de chakra: (390/420)
| Sujet: Le petit magasin de la rue du Jeune Sam 9 Jan - 1:01 | |
| Il tomba sur son lit, rebondissant de sa chute sur le matelas. Il fermait les yeux, et sentit le calme l'envahir, le plonger dans le sommeil profond servant à récupéré d'un 18 heures debout, à courir et frapper... Le noir fit décor universelle.
Il ne les rouvrit que bien plus tard, lorsque sa mère lui secoua les cheveux pour l'inciter à se lever. Il devait manger un peu, le soir était déjà là, il n'avait pas dîné, elle voulait qu'au moins il grignote un petit quelque chose. Shiro ronchonna quelques incertitudes, son métabolisme avait quelque problème à se régulariser, car dormir le jour et rester éveiller la nuit n'était pas dans ses habitudes. Théoriquement, lorsqu'il n'avait pas d'entraînement, c'était dormir le jour, manger un peu, dormir la nuit...
Il se lava après son goûté, puis, les jambes molles, retourna à son lit, où il plongea de nouveau....
Hrp : Désolé, fait vite, je veux avancer... | |
| | | Shiro Genin de Suna
Nombre de messages : 452 Age : 29 Village caché : Suna no kuni, village caché du désert Sensei : Peyu Hukon / Mariya Date d'inscription : 17/04/2009
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| Sujet: Re: Le petit magasin de la rue du Jeune Ven 9 Juil - 18:37 | |
| I. Le jeune garçon était sur son lit, recroquevillé, punis. Interdit. « Je veux que tu crèves... »Un cri, deux cris. Des ordres, une chaleur bien présente. Un feu... Une explosion ! La panique, la peur, la haine, la rage ! La solitude ensuite, la faiblesse. La mère de Shiro apparut soudainement, pointant son fils, insultant et maudissant. Puis son oncle arriva, prenant sa belle-soeur entre les bras. Il grimaçait à seulement regarder son neveu. Puis ce fut au tour de Peyu de se ranger au rang des cruels, riant de son élève. Bien vite, Mariya débarqua, criant sur le genin. Étrangement, sa voix ne portait pas. Lilith, Sanseiu, Teruki, Tsuyu, Wakida, Monoki, Hishigi, Uchiki et surtout son gros ami, Choji, finirent par se joindre au groupe, dévisageant le genin comme si il n’était que le pire des monstres. Peu à peu, une brume épaisse se formait. Hélas, elle n’était pas assez dense pour couvrir ces rictus malsains, et Shiro souffrait. De nouvelles têtes, des inconnues à premiers abords, submergèrent finalement le genin, riant et pointant du doigt, criant ou bien crachant sur le Yamanaka. Shiro tombait, littéralement, dans un trou sans fond ! Sa chute était marquer d’insultes ! Il se bouchait les oreilles, mais d’un coup, ses mains disparurent, et d’un coup, il ne sentit finalement plus son corps. Sa tête flottait, sans corps, et rien ne l’empêchait d’apprendre qu’on le détestait, qu’on le méprisait, qu’on l'injuriait. Entre deux feux de paroles cruelles, il criait à son tour, mais sa langue, coupée, ne permettait pas un tel acte ! Puis tout s’éteignit, et le calme ainsi que la noirceur revint. Alors que le genin, sur le dos, en sueur, pensait se réveiller, des pas résonnèrent. Puis un clappement de main. Se relevant sur un coude, il eu l’horreur de se voir parmi des gens malades, seuls et souffrant. Même lui, dans un grand lit d’hôpital, bien trop grand, se retrouvait étrangement dans un sentiment étrange : son corps flottait, dans un espace malaisé et trop vaste ; son coeur était emmuré ! Enfermé et libre, la nausée lui monta. Mais il ne pouvait régurgité, car tout simplement, son estomac se noua atrocement, et dans d’horribles gloussements inhumains, ses lèvres se lassèrent. Oui, se lassèrent ! Une corde, venue de nul part, vint transpercer la supérieur et la coudre à l’inférieure ! Tétaniser autant pas la douleur que par la peur, le simple genin ne pouvait que fixer le paradoxe qui se riait de la situation : une ombre illuminée. Ses doigts tremblaient, son corps se mouillait. Sa couche fut vite humide de pisse chaude ! De défécations ! Mais il ne contrôlait plus rien, le cauchemar durerait jusqu’à la fin de sa vie, il le craignait ! Et l’ombre qui se riait mais qui n’avançait pas, marchant sur place, à peine un mètre plus loin. À moins que ce ne fut Shiro qui reculait, comme dans un de ces films paranoïaques ou le corridor s’étirait sans cesses. Il finit par céder, et pleurer à chaudes larmes. Mais quand l’eau perla à ses cils gauches, dès que l’eau coula sur sa cicatrice, le parcours de la goutte s’échauffa, et toute la figure du jeune garçon s’échauffa ! Son cerveau, en fait, brûlait ! Son oeil, sur le point d’éclater, ne fit cependant rien pour calmer cette douleur et s’affola, s’agitant dans son orbite. Alors que la douleur était à son apogée, une main se fixa sur les contours de l’oeil. Instantanément, un froid glaciale provoqua la fin de cette première souffrance... Car celle mordante du froid entama de l’achever ! Ses yeux se révulsèrent. « Tu m’as tué Shiro ! »
Un voix bien plus glaciale que le toucher des doigts. Fixant alors le point d’émission, l’atroce survint. Son père, le fixant d’un sourire diabolique, le sang foudroyant son regard. Le jeune shinobi n’en crut pas ses oreilles. Il l’avait tué, bien tué, c’était lui la cause du meurtre de son père. Mort, dans la braise et les décombres. Il était l’assassin, le pyromane, son voeux, il l’avait tant souhaité. La conviction avait mis le feu aux poudres. L’incendiaire, c’était lui, personne ne lui enlèverait ce fardeau ! Personne, seulement lui, et personne d’autre... Personne. D’un coup, les doigts s’enfoncèrent dans son orbite, allant agripper mortellement l’arrière de l’oeil. Un force croissante sembla vouloir extraire le globe, et Shiro hurla en crescendo. Lentement, la souffrance empirait, et d’une voix racle, étranglée, le fils poussa son cri, dévasté et apeuré. Son père allait lui rendre la monnaie de sa pièce, lui retourner son colis. Il allait l'assassiner. Le sang coula à grand flot, tombant sur le corps maintenant nu du gamin. Il tachait, noircissait tout, ne laissant aucun espace propre. Il se noyait littéralement, car le haut débit fouettait sa langue, obligeant au garçon d’avaler malgré lui. Le goût du fer, de la tristesse. Gémissement et crainte, cri et haine ! Un grand flash, apaisant. Une sonnerie de classe. Shiro s’éveilla. Son crayon vola, tournant avant de rouler sur le bureau, puis le sol, au pied de l’enseignant. Ce-dernier se tenait devant un jeun Shiro, sans cicatrice, qu’il s’était assoupis lors du cours de l’après-midi. Les yeux lourds, le garçon commençait à se réveiller lentement, tandis que le professeur lui brassait un peu l’épaule, lui indiquant que l’heure du retour chez soi était de plus longtemps passé. Le gamin, avec son petit habit rouge, souriait, il s’éveillait d’un rêve plaisant. Puis, regardant aux alentours, il se surprit à se retrouver dans l’endroit qu’il détestait le plus au monde : classe, et surtout, vide, avec un professeur... Il ne pouvait se cacher, car l’homme le dévisageait désagréablement. Enfin, ce fut sa première impression. En relevant la tête, il dégagea un moue désagréable, étant sûr qu’il passerait un mauvais quart d’heure. À la place, son professeur souriait. Clignant des yeux d’abord pour être sûr qu’il avait ne rêvait pas, une sensation étrange se trouvait sur sa joue. Sa feuille, sous l’effet de la sueur et la chaleur, collait à sa figure, ce qui ajoutait du comique à la situation. Shiro ne put s’empêcher de sourire, ce qui enchanta le professeur, qui ne demandait que du bien. Finalement, se retrouver seul ici, cela n’avait rien de mal tout compte fait... Bien que maintenant, hébété, le garçon ne savait pas si il devait se lever et quitter ou bien continuer à discuter. Mais le professeur répondit seul à cette question, dans le silence, en pointant le front du garçon. Momentanément, Shiro leva les yeux, pour voir scintiller un bout de métal étrange, plaqué contre son front. Il mit peu de temps à comprendre ! « C’est vrai, j’ai réussi ?! Je suis genin... mais j’ai juste 12 ans, est-ce trop jeune ?! »Le professeur, encore plus amusé, posa sa tête devant Shiro et le regarda tranquillement, s’amusant de l’air fâché du genin qui n’avait pas réponse à ses questions. Bien qu’il soit un des meilleurs élèves de sa promotion, à son âge, c’était la moyenne de passage. Sans être un vrai génie, Shiro était cependant un bon élève, qui permettait un belle adaptation à des situations des plus cocasses aux plus sérieuses. Irradiant de bonheur, à 12 ans, il avait un avenir prometteur déjà tracé le long de sa vie, soit un ninja remarquable. Une bonne assimilation aux tests, une bonne aux pratiques : il tirait aussi bien des conclusions exceptionnels qu’un shuriken en vrille. Son père, ce grand Yamanaka, était fier et cela se démontrait dans son caractère, car chaque matin, ce bon ami amenait son fils, avec un de ses rares sourires, pour laisser au bon soin de l’académie. Souvent faisant l’avion pour se rendre à ses cours, sachant qu’il était vieux pour cette ânerie, mais égayant la salle de classe, il était à la fois un grand travailleur mais également un profond ami. Une raison de vivre efficace et qui lui faisait grimper les échelons rapidement ! Shiro sourit, comme si il comprenait ce à quoi l’adulte pensait. Puis il se leva. « Bon, j’y vais, père veut sûrement savoir que j’ai réussi... Il sera fier de moi ! »Et quittant la classe d’un pas tranquille, il parcourait les couloirs en silence. La paix régnait dans l’établissement. Heureux et tranquille, il passa un long moment à marcher, ralentissant la cadence volontairement pour ainsi mieux s’établir dans un esprit de quiétude profonde. Dehors, le soleil plongeait dans les dunes du désert, dehors, le temps continuait, mais Shiro voulait tout faire pour l’arrêter, pour en profiter. Un moment de finesse ultime ! Il était grandement content, il avait tant rêvé à ce jour. Aussi instable que posé, son coeur se chamaillait, pompant tout son sang, mais son calme y allait lentement, pour apprendre à l’organe pompe de bien prendre son temps pour savourer. Les marches, puis l’administration, et il était rendu, entre une enceinte de terre battue. Sur une petite balançoire aménagée à l’ombre d’un arbre plein de vie mais unique, une ombre l'attendait. Lisant un livre, à cheval sur le fessier de bois, il scrutait à la fois les mots que l’entrée de l’académie. Mais quand le petit garçon aux cheveux bruns surgit, il ferma son bouquin et s’élança vers lui, une main en avant, en signe de bienvenue. Teruki Uchiwa, son plus fidèle ami était là, à l’attendre. Shiro connaissait son malheur, mais tout deux, étrangement, avait été promus, et le nouveau genin ne manqua pas de lui souligner de venir festoyer en sa compagnie. Prenant alors le chemin vers sa demeure, deux grands sourires volaient sur ce chemin. Les mains derrière la tête, Shiro promenait son regard sur tout, ne manquant rien de l’activité des commerces en chute. Néanmoins, Teruki animait une discussion passionnée sur les rats, et le petit Yamanaka échappa un nom, alors qu’il voulu dire son nom : Nezu. Teruki sembla surprit, puis il finit par répliquer : Cero. Les deux amis rirent à chaudes larmes, chacun ayant maintenant un surnom de passage. Mais alors que les mètres furent rongés par la marche, Shiro aperçut une épaisse fumée âcre voler d’où sa maison devait habituellement se trouver. Tétaniser par une idée épouvantable, Shiro se mit à courir, comme il ne l’avait jamais fait, et sauta de toit en toit, finissant par atteindre l’horreur : sa demeure, un vrai brasier ! Courant à tout vitesse, il plaqua un shinobi qui tenta de l’arrêter et sauta dans l’enfer. Mais tant de débris, tant de fumée, qu’il ne vit pas un bout de bois lui tomber droit dans l’oeil. La douleur fut immense ! Reculant, une main le rattrapa, le posant au sol de force et lui passant une serviette humide sur la tête et les épaules. Alors qu’il tournait le regard vers son ami Teruki, ce-dernier se métamorphosait, devenant bien plus grand et bien sûr, bien plus musclé, blond et armé d’une griffe. Un regard d'émeraude plongea dans le sien, tandis que l’arme lui lacéra le dos. Devant, dans sa maison en flamme, un homme en sortait, aux cheveux blonds, que le feux ne semblait pas affecter. Non, que le feux semblait répondre à ses gestes. Levant les bras, ce monstre fit soulever tout le brasier et l’envoya sur le nouveau genin, qui se prit les flammes de plein fouet et crama, disparaissant... « Tu m’as tué Shiro ! Tu m’as tué Shiro ! Tu m’as tué ! M’as tué ! Tué ! Tué ! Tué ! » | |
| | | Mariya PnG
Nombre de messages : 91 Age : 31 Village caché : Suna Date d'inscription : 17/02/2007
Feuille de personnage Points d'expérience: (0/0) Points de vie: (0/0) Points de chakra: (0/0)
| Sujet: Re: Le petit magasin de la rue du Jeune Sam 10 Juil - 19:53 | |
| Shiro : 19 xp ! (y'a un petit bonus personnel, jaime bien ce petit texte ^^) | |
| | | Ko Oni Civil
Nombre de messages : 542 Age : 35 Village caché : Kiri no Kuni Specialisation : Genjutsu Sensei : Nago Date d'inscription : 28/08/2007
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| Sujet: Re: Le petit magasin de la rue du Jeune Jeu 22 Juil - 22:36 | |
| Bureau du Kazekage. Ko Oni se baladait dans les rues de Suna, le plan toujours dans sa poche allait surement lui être bien utile pour trouver son chemin. La ville avait été secouée par la tempête de sable, on pouvait le voir par tous ces civils retirant le sable de leur rebord de fenêtre, des marches, enfin il s'agissait là de petits gestes mais qui montraient bel et bien que le vent s'était déchaîné sur le village du sable. L'enfant fit le tour des bâtiments que le Kazekage avait noté sur le plan qu'il lui avait fait, rien d'intéressant, il savait juste maintenant à quoi ressemblait différant bâtiment tel que l'académie, l'armurerie, la bibliothèque enfin toutes sortes de bâtisses quoi et il avait également fait un tour au parc. Celui-ci était surement le seul point vert du village, enfin il n'avait pas trop l'envie de traîner dans ce coin, après tout ce parc était pauvre comparé à la forêt de Konoha, celle-ci lui manquait un peu à vrai dire. Il aimait tant rester de longues heures au milieu de ces arbres et pourtant il n'en avait plus le droit, plus comme il le voulait. Heureusement que Kiri n'était pas comme Suna, oui heureusement qu'il ne s'agissait pas d'un désert de sable n'offrant que cette pierre pillée comme décor.
L'enfant avançait dans le village en compagnie de ses gardes, il avait commencé sa marche vers la maison de Shiro, là il verrait qui était sa véritable famille ou en tout cas une des personnes de cette famille. Il ne ferait rien à ces personnes, non pas pour l'instant, c'était bien trop risquer. Par contre grâce à son plan même si le genin de Suna avait fait le rapprochement entre lui et Ko' il ne dirait rien, pour l'instant il n'avait pas suffisamment de preuves pour appuyer son accusation surtout sur une personne de son grade. Le Kazekage ne prendrait surement pas les dires du shinobi au sérieux, trop gros pour être cru sans preuve et même pour être envisagé. Ou alors simplement dans l'ombre car faire éclater une telle information sans appuis pouvait peut-être créer un incident diplomatique. Qui voudrait partir sur de mauvaise base avec un nouveau Kage?
Ko arriva au niveau de la maison où habitait Shiro, l'enfant toqua demandant à ses gardes de se mettre un peu de côté pour ne pas effrayer la personne qui ouvrirait. Une femme se présenta.''Bonzour madame, dézolé de vous déranzé. Ze zuis Ko Oni, ze zuis en visite à Zuna, ze zuis le fils du Mizukaze ... Ze voulais voir zi Ziro est là.''''Bonjour, je suis la maman de Shiro, je suis désolée il n'est pas là. Tu veux entrer? Je peux t'offrir de quelque chose à boire si tu le désires.'' ''Non z'est zentil, par contre zi vous pouviez lui dire que ze zuis dézolé de mon comportement ze zerait très zentil. Merzi encore madame, bonne zournée.''Après que la mère de Shiro est répondue à ses politesses l'enfant s'en alla vers l'auberge où il soupa et alla se coucher. Ses gardes prirent la relève, la première partie de la nuit ce fut Nago qui prit le tour de garde la deuxième partie ce fut pour Tanada. Le lendemain tous allèrent saluer le Kazekage et le remercier pour le petit séjour. Ko promis même qu'il reviendrait car mine de rien ce séjour lui avait plu. Il monta dans la calèche qui démarra une fois que tous étaient dedans, c'était fait, ils partirent pour Konoha. Konoha | |
| | | Kimatzu Mizukage
Nombre de messages : 928 Age : 31 Village caché : Kiri no kuni Specialisation : Médecine Date d'inscription : 10/04/2009
Feuille de personnage Points d'expérience: (10/150) Points de vie: (362/362) Points de chakra: (566/566)
| Sujet: Re: Le petit magasin de la rue du Jeune Ven 23 Juil - 21:30 | |
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| Sujet: Re: Le petit magasin de la rue du Jeune | |
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