Cimetière de Konoha

Apparement Choji s'était involontairement laissé emporter par son envie de bien faire, en effet, il avait oublié de répondre à la question suivante: Que fallait t'il faire ?
Enfin, une voix se fit entendre, la voix de la raison, Clad avait trouvé comment réussir à simplifier tout ça, il fallait simplement allait au stand de râmen.
Choji ne réfléchit pas très longtemps et ajouta:

"Yaaa !! Allons y !!"

La pluie avait baissé d'intensité, mais les deux hommes ne s'en inquiétait peu, il était en direction du stand de ramen, l'esprit occupé à leurs estomac.

[Clad:+12 exp, Choji: +7 exp]

Tard dans la nuit et avec un public très amoindris, deux corps de plus furent ajoutés dans le cimetière de Konoha.
Le petit comité réunit tristement ici avait sentit la nostalgie leurs monter au visage lorsque sur les deux descriptifs des tombes misent l'une à côté de l'autre on avait pu lire:

Yoiro Inuzuka, fier de son courage et de sa force, n'a pas hésité à donner sa vie pour ces valeurs. Mort pour son amitié, il a perdu avec lui tous ces objectifs et ces rêves.

Keikoku Aburame repose ici au sein du village pour lequel il n'a pas hésité à se battre corps et âme, repoussant ainsi vaillament l'Akatsuki.

Le silence se fit parmi les personnes les plus importantes de Konoha, chacun voulait leurs rendre un hommage infini, et chacun le fit intérieurement, puis petit à petit, les gens se mirent à partir.

Mais soudain, une jeune et jolie jeune fille arriva, un bouquet de roses rouges à la main. Elle s'essuya les larmes qui coulaient abondamment de son visage, puis avec une grande émotion non camouflée, elle posa délicatement les fleurs sur la tombe de Yoiro et partit en courant.
En signe de cette amour encore brulant, le soleil éclaira de nouveaux les deux tombes et envoya ballader la pluie d'un simple geste.

Kamikaz était présent dans cette réunion funeste. Il ne connaissait pas ces hommes morts pour une noble cause, mais il savait comme la douleur était profonde lors de la perte d'un être cher. Lui aussi a connu ce moment de solitude lorsque sont grand père est mort. Un grand père qu'il aimait comme son père, comme l'homme le plus beau et le plus adoré par Kamikaz. Il se rappelait tous les matins, il venait de se lever et boire un café avec son grand père Gondao. Il avait cette habitude de lui carresser les cheveux. Kamikaz venait couper du bois dans la forêt et ils passaient de bons moments ensemble. Ils discutaient de tout et de rien. Parfois même, ils regardaient passer les filles et les femmes sur un banc en élisant la plus jolie. Et le soir, Kamikaz suppliait ses parents pour aller passer la nuit chez son grand-père. Il lui faisait alors une soupe et se racontaient des histoires autours d'un feu de cheminée. Un soir, il lui a racontée l'histoire du fantôme de l'opéra de 1870. Et un matin, lorsque Kamikaz s'était reveillé, il ne trouvit plus son vieux grand-père à ses côté. Sa grand-mère lui a alors apprit qu'il était en dettes et qu'il lui fallait couper beaucoup de bois pour rembourser ce qu'il devait. Son grand-père était en fait partit couper du bois pendant la nuit. Mais trois jours passèrent sans qu'on eut une seule nouvelle de lui. La grand-mère Oto'o l'avait retrouvé congelé et mort de froid, allongé dans la neige. La pauvre femme s'est suicidé une semaine après car elle ne pouvait plus supporter de ne plus voir son mari. Elle était seule et c'est ce qui causa sa mort. Kamikaz, une rose rouge à la main, la déposa sur la tombe de ses grands-parents déchus, mais enterrés ensembles. Une larme coula de son oeil et roula sur sa joue. Puis il se retourna vers Clad et Choji qui priaient sur une autre tombe.

"Les miens ne sont pas morts pour défendre Konoha, mais pour les économies de la ville. Je sais ce que vous ressentez en voyant ces tombes. En fait, je déteste aller au cimetière. Trop de peine, et trop de nostalgie."

Il sortit de sa poche un bracelet de paquerettes.

"Ce ne sont que de simples paquerettes, mais elles sont sencées apporter une paix durable aux morts. Il suffit de les poser sur la tombe du déchut. "

Choji prit le bracelet et remercia d'un signe de tête Kamikaz. Tant dis que le jeune Oto'o retournait sur ses pas en direction de la tombe de ses parents. En partant, il prit soin de faire le signe de croix devant la tombe d'Inuzuka Yoiro et d'Aburame Keikoku. Il était là, assis à genoux devant la tombe de sa famille caressant le marbre blanc qui recouvrait le cadavre de ses grands-parents. Sans dire un mot. Puis il se leva, alla chercher l'arrosoir publique, remplit de l'eau dans la fontaine principale et arrosa les pots de fleures.

*Si vous seriez vivants, vous auriez vu comme j'ai changé, et comme j'suis moin Adorable qu'avant. Pfff, franchement, vous abusez. Vous auriez mieux fait de mourir une fois que vous auriez vu mes enfants que j'aurais. Ou alors une fois que je serais devenu adulte. J'sais pas mais c'est Adorable de mourir comme ça. Sérieusement...
Purée, mais c'est que je parle tout seul maintenant ? J'ai jamais vu un type aussi débile. En tout cas, vous voyez, maintenant, personne ne viens vous voir. J'crois bien que je suis le seul.*

Kamikaz faisait le mouvemant avec ses lèvres, par réflèxes, mais ne prononçait aucun son. Tout le monde le regardait en disant, "il est fou ce type". Et Kamikaz se mit à regarder la foule en prenant son rire sadique de méchant de dessins animés. Comme il savait bien le faire. Ses yeux bleus azurs se plissèrent. Une fois son délir fini, il se mit à regarder la tombe de ses grands-parents l'air passif.

"C'est de votre faute si je suis devenu si Adorable."

Kamikaz : 2xp

[ Je voudrais que tu indiques à chaque sujet où tu te rends ensuie comme sui :

Académie

A titre d'exemple ^^ ]

Une jeune fille accroupie près d'une tombe pleurait doucement, ses larmes se mélangeaient à celle de la pluie, coulant doucement le long de la pierre froide. Une femme posa la main sur son épaule et la pressa doucement quelques secondes avant de déposer une rose blanche sur cette même tombe. La jeune fille chercha à taton sa main dans le noir et elles se serrèrent, partageant leurs souffrances ...
Un monde déchiré par les guerres, des familles séparées par la souffrance des pertes, tant de personnes mûes par des désirs de vengeance nés de ces conflits, le cimetière de Konoha ne faisait pas exception aux autres cimetières, une ambiance triste, un peu nostalgique pour certains, des souvenirs qui remontent et qui ne semblent plus vouloir vous quitter ...
Un homme penché sur une pierre tombale où on pouvait apercevoir le portrait d'une femme souriante murmura quelques mots trop bas pour être entendu, cri du fond du coeur d'un homme en proie à la peine, comme on en voit de plus en plus ...

'' Une soirée étoilée
Une lune, une clairière éclairée
Des horizons vastes se révèlent
Immense et sage, le ciel.
Qu'on a nous apprendre les étoiles motifiées ?
Qu'à à nous apprendre cette lune trop ignorée ?
La sagesse et l'inconscience,
Le savoir et l'ignorance ...
La sagesse pour comprendre,
L'inconscience pour se libérer,
Le savoir pour choisir le bon chemin,
L'ignorance pour rêver ...
Vous qui dominez les cieux,
Qui luttaient contre un ciel trop bleu,
Imposant vos lumières épanches,
Et vos auréoles blanches ...
Pouvez éclairer ciel et terre,
Eternellement accueillants et austères,
Fascination macabre et pâle,
Toujours votre lumière me parle ...
Me parle de ce monde souffrant,
Nous discutons de cet amour,
Amour pour vous déchu, mourrant,
Légendes seules chantées par les troubadours,
Je peux vous apprendre à mon tour,
Que l'espoir est permis, à demi-réel,
Encore, par étincelles,
Il existe en ces terres mortes, amour ... ''

Il leva la tête vers le ciel, pourquoi tout ce malheur sur un monde où des innocents n'avaient rien demandé ? Pourquoi toute une humanitée aussi stupide ? Avares de puissances et de richesses, assez pour sacrifier tout un monde, pour le noyer dans d'inutiles querelles n'engendrant que haines et vengeances ? Pour quoi d'ailleurs ? Avoir quelques terres bien à eux ? Il songea aux ninjas qui défendaient les villages, eux aussi leurs buts étaient inutiles ? Non, pas tellement, ils défendaient leurs villages de tout leurs coeurs, engendrant la souffrance chez les autres et préservant leurs peuples à eux, eux aussi se battaient pour des idéaux néfastes ... Auprès de qui se ranger ? De soi-même ... L'homme commenca à marcher à pas lourds vers l'extérieur du cimetière et croisa une pancarte ...

Citation :: Ici git Keikokku Aburame-Mibu, ninja de niveau Genin mort pour défendre son village.

Il n'eut pas une pensée pour ce pauvre homme, il était mort en défendant son village, certes, mais au final, il était ninja et avait lui aussi répandu des graines de souffrances ... Alors pourquoi continuerait-il à se battre ? Pour tenter de rendre le monde un peu moins fou ? Se lancer corps et âme dans une bataille perdue d'avance n'avancerait pas les choses, mais quand il entreverait l'espoir de pouvoir gagner il n'était sûr que d'une chose : il péserait de tout son poids dans la balance de la destinée ...

[Clad, 3xp]

Sentier vers Iwa

Je marchais comme à mon habitude, lorsque soudain je perdis équilibre et finis par m’écrouler tristement sur le sol. Plein de rage, j’attrapai une poignée de terre et je me mis à la balancer en l’air, visant le ciel de toutes mes forces.
Malgré tout, cette chute me permit de refaire surface avec la réalité, je me trouvais sans doute dans un cimetière et je venais de me prendre une pierre tombale en pleine trajectoire.

La question était de savoir dans quel village je me trouvais ... Malheureusement, je n’en avais aucune idée. J’avais beau me creuser la tête, je ne me souvenais plus de ce que j’avais fait depuis des kilomètres. Des noms de personnes décédées et brièvement décrites brillèrent comme des indices autour de moi et m’indiquèrent que je me trouvais dans le cimetière de Konoha. J’avais du mal à y croire, où étaient les gardes ? Comment avais-je franchis les portes ?
J’avais perdu toute trace de ce passage de ma vie ...

Pourtant, une fois debout, je me sentis encore mieux que d’habitude, je me jugeais même à un stade encore plus évolué que celui qui consistait à dire qu’on était en pleine forme.
Un rictus accablant et diabolique se figea sur mon visage, lorsque je fis descendre mon doigt le long d’un de mes katanas bien affûté. Je ne savais pas ce que j’avais fait, mais je m’en moquais.

Mon autre Katana finit lui aussi par sortir de son fourreau à mon initiative et trancha le vide de sa puissance, il alla finalement s’encastrer contre la pierre qui m’avait bien énervé, et la divisa en deux morceaux, bien symétrique.

Je m’apprêtais à lever de nouveau mon arme, pour enchaîner avec un nouveau coup, mais quelque chose m’arrêta. Mes deux mains se portèrent violement sur ma tête.
J’avais du mal à y croire. Non, j’avais beau passer et repasser son nom dans ma tête, c’était impossible...
Je m’approchai encore, jusqu’à être à dix ou quinze centimètres de la pierre tombale, et je me mis à lire à voix haute :

« Ici repose Kakashi Hatake, le ninja copieur. »

Quelque chose n’allait pas, j’amenai rapidement mes deux mains sur mon ventre.
J’avais envie de vomir. L’air sentait la pourriture, une odeur que j’aurais du mal à oublier. Je ne respirais plus du tout calmement, j’étais épris d’une très mauvaise volonté.
Néanmoins, je continuais à avancer, je savais ce que je cherchais ... La bibliothèque de Konoha.

Des flashs back entrecoupés commençait à apparaître, j’entendais des voix, la bibliothécaire d’Iwa, Mr. Kurunugi, Kakashi ...
Mon passé ... Devrais-je passer par là pour le retrouver ?
Dans un élan de dégoûts, je laissa sortir de mon corps le vomit de mon maigre repas datant d’une époque plutôt lointaine...

Bibliothèque de Konoha

Obito (***) : 3 xp

» Mairie de Konoha