Corbeille-bibliothèque

Je n’avez rien a faire, chez moi, je m’ennuyé, et ici a Suna, je n’avais pas vraiment d’amis, je ne connaissez aucun autre élève de l’académie, et je n’avais toujours pas retrouver ma pauvre mère. Je n’y vais alors pas par quatre chemins différant, il fallait que je m’occupe …
Eiki, ce dirigea alors vers la Bibliothèque, il avait garder un mauvais souvenir de cet endroit, du a un livre qui e reflète pas vraiment son coter, froid et solitaire.

*Je me demande ce que je vais bien pouvoir lire las bas, je n’est pas envie d’étudier, il faut que je me détende de temps en temps, même si le mot détente chez moi, est relativement proche du mot travail.*

J’arrive alors devant la Bibliothèque, j’entre sans me poser mille questions, je salut la dame de l’accueil, et me dirige vers les rayon, ce que j’admire dans ce type d’endroits, cet le silence, le silence qui me bouffe, qui me renferme sur moi-même, mais le silence qui en dit beaucoup plus que tout autre homme, le silence, peut être le plus beau mot …

Je tombe, alors, complètement par hasard, sur les rayons, de poésie apparemment, je me rappelle, avoir connu dans le passer une personne ici a Suna, qui aimer beaucoup la poésie, je prit alors un livre, un recueil, et je m’assis sur un chaise …

Quelque chose me frappa de suite dans ce livre, les poèmes n’étais ni signer, ni nommée, pas de titre, pas de Chapitre, rien … C’est pas pour autant qu’ils étaient en vrac, non, ils étaient bien présenter, mais différant de ce que j’aurais pu imaginer, l’un d’entre eux, que je lu rapidement, me marqua, et me fit tomber dans le souvenir, je le lut alors plusieurs fois. …

Je regarde tomber la pluie,
Je ressens les goûtes d’eau,
Qui se regroupent sur ma peau,
Alors que vient la nuit …

Arrive alors une Ange,
Qui me demande pourquoi je suis si étrange.
Elle me pose plein de questions,
Et éprouve envers moi une immense compassion …

Je l’attendais depuis si longtemps,
Je n’attends plus rien maintenant, mais j’entends,
J’entends les pleurs du ciel gris,
Qui, sans un bruit, fait tomber la pluie …

*Ce vers, me fait frissonner, il est tellement beau, il regroupe deux oxymore, c’est bien jouer de la par de l’écrivain, du poète, il parle au début de l’endroits où il est quand il écrit ce poème, et là, il joue avec les mots, il entend les pleurs du ciel, qui, sans un bruit, il entend quelque chose qui ne fait pas de bruit, c’est remarquablement bien tourner … *

L’Ange m’explique que c’est Dieu,
Qui fait ça à cause de moi.
Je réponds que je ne croie pas en ce vieux,
Et que je me fous de ses pensées, de sa voie, de ses actes envers moi, car je n’ai pas la foi …

L’Ange dans sa grande beauté,
Rie et tout en me regardant fixement,
Me sourit tout simplement,
J’avoue être troublé de tant de sincérité, de sérénité.

Et sans compter, je ne me rends pas compte,
De la chance que j’ai,
Alors on continue cette soirée,
Qui ressemble à un conte de fée…

Soudain, dans une lumière écarlate,
Mon Ange s’envole et s’en vas,
Je ne voulais pas moi, qu’elle parte,
Alors j’y ai crié de revenir, de ne pas partir …

*Ce n’est pas un poème, c’est une histoire raconter dans une prose magnifique …*

Mais en vain.
Je me réveille dans mon lit,
En sentant l’air frais marin, l’air frais du matin,
Elle n’était plus là et j’eu une envie …

L’envie de mourir,
L’envie de moi aussi partir,
Pour enfin la retrouver,
Celle que j’ai toujours, toujours aimer …

Je me dis alors, que l’amour à un prix,
Celui de sacrifier,
Pour un sentiment inégalé,
Sa pauvre vie …

La, Eiki, devant son livre, il venais de lire, quelque chose qui le marqua profondément, au cœur de son âme, encré, au plus profond de son esprit …

*On ressent, a travers ce quelque ligne, toute l’émotion, la compassions, la déchirante histoire, la solitude, tous les sentiments que je ressent le poète … L’homme parle d’une histoire, qui est sans doute la sienne, il la conte, que dis-je, il l’embellis, la poésie, a une gros défaut, elle embellis tout, même les histoires les plus tragique, ce n’est pas une histoire heureuse, mais finalement, grâce a la poésie, elle en devient belle … Je ne pensé pas, trouver ici, un tel poème …*

En besant alors les yeux, je voie que si, finalement, le poème, était signer, je voulais savoir, qui avait pu écrire cela, il n’y avait que deux lettres, des initiales sûrement … Il y avait écrit en petit …

CK

Je comprit alors, que cet auteur plutôt anonyme, je comprend pourquoi il n’a pas donner de titre a ce poème, et a tout les autres, un homme a dit un jour ‘Chaque poème raconte une histoire différente selon le lecteur qui la lit …’ C’est ce qu’applique ce CK, il nous laisse nous lecteur, choisir, le titre, moi le titre que je donnerais a ce poème est simple …
Je l’appellerais … L’Ange Déchu …

*Ce poème est aussi une critique religieuse, mais aussi philosophique, sur l’amour, la mort, et tout ce qui finalement tourne autour …*

Eiki restais là, a chercher, a raisonner comme il sais si bien le faire, l’heure tournais, mais il ne la voyais … Au bout d’un moment, quand il fit le tour de presque tout ce qu’il y avait a dire sur ce poème, la bibliothèque qui étais presque vide, il se rendis compte de cela, et fermant ce livre avec grande précision, le remettant a sa place, et partant vers la sortie avec des idée, des rimes, et de la poésies, plein la tête …

[Poème écrit par mes soins, j’en suis le seul, et l’unique auteur.]

[Eiki: +4Exp]

La recherche de ma mère, elle prend tout mon temps libre, entre les entraînements, mon apprentissage, je n’avez plus une minutes a moi, je passer mes nuit a chercher comment faire pour la retrouver, la journée, je n’arrêter pas de m’entraîner, c’est pour cela, que aujourd’hui j’avais décidé d’allez me décontracter a la bibliothèque de Suna.
J’étais donc sur la route en direction de la bliblio, à mon arriver, je constate qu’elle est ouverte, je rentre alors normalement, le silence qu’il y règne me fait encore frissonner, je me dirige alors dans le même rayon que la dernière fois, celui des poèmes et poètes, je cherche alors le même livre que j’avais trouver la dernière fois que j’étais venu ici, c’étais un recueil de poésie d’un poète apparemment méconnu …
Au bout d’un moment, je ne trouve pas, je vais alors voir la dame de l’entrée, enfin, de l’accueil.

« Bonjour, je recherche, le recueil de poésie de l’auteur qui signe ces poèmes par ‘CK’. »

« « A oui, je voie, tien, cela m’étonne que quelqu’un d’aussi jeune s’intéresse encore à ce vieux libre, écrit par un parfait inconnu. » »

Elle ne dit rien de plus, elle ce lève, je la suivi, elle m’attrapa le livre, me le donna, et repartie s’asseoir.
Moi je pris aussi place dans un fauteuil, j’ouvre alors le recueil, à une page au hasard, et je me mets à lire, toujours pas de titre à ce poème qui est relativement cour …
Cela commence étrangement, par une phrase mit comme cela, presque en guise de titre.

Où sont mes larmes … ?

Gouttes d’eau venant du cœur,
Expression de bonheur ou de malheur,
Vous qui avaient souvent glissé sur mes joues,
Aujourd’hui, mais où êtes-vous ?

*On peut de suite distinguer l’origine du poème, chacun s’imagine sa scène, mais attention de pas tomber dans l’eau* (*)

Toutes les douleurs de mon âme,
Toutes les peines qui me désarment,
Pourquoi ne pas vous laisser emporter,
Par le torrent des larmes tourmentées ?

Ultra sensibilité, pourquoi me tortures-tu ?
Toutes ces émotions, qui ne sorte plus.
Pourquoi ai-je envie de pleurer ?
Alors que mes larmes sont emprisonnées …

Mes larmes se sont-elles gelées ?
Au point que je ne sois qu’un glacier,
N'attendant qu’un réchauffement émotionnel,
Pour fondre et crée une inondation corporelle …

Je suis à cour de larmes,
Je ne comprends plus,
Je les aient peut être trop retenues,
J’ai laissé mes larmes pour prendre les armes …

*Je reste bouche bé, ce poème, comme le précèdent est magnifique, il n’y a que quelque point que je n’arrive pas à comprendre, l’auteur parle de ces malheurs, et du manque de larmes pour le montrer, ce qui veut dire, que s’il parle de lui, c’est homme qui cache ses émotions, qui prend les armes, cela ne peut être qu’un ninja …*
*L’auteur CK, est donc, un ninja, ou étais donc, car d’après la dame de l’accueil, cela fait longtemps que ce livre est ici …*
*Ce poème est magnifique, plein de grâce, et d’une sensibilité, plus belle que la glace …*

J’étais complètement conquis, par ce poème, par cet auteur, qui m’hérite d’être plus connu, que ce qu’il est, je me demande s’il était encore en vie, je n’osais pas demander a la dame, je referme alors le livre, je me lève, le repose là où je l’avais trouver, et je sort, la dame, me demande si sa m’avez plus, dans un sourire, je répondus …

« Oui, ces poèmes sont magnifique … »

Et je sortie de la bibliothèque, retournant vers chez moi …

[(*) Pour tout les amateurs de jeu de mot, en voici un petit au passage ^^]

[ Eiki: +4XP/Rp, j'adore ^^]

La mission, elle était enfin finit, je sais que je devais normalement attendre le signal tranquillement du Kazekage pour allez remettre mon rapport, rapport qui était prêt, et sur mon bureau, mais rien, pas une nouvelle du Kazekage, cela faisait maintenant deux jours que la mission était terminer, et des questions trotté encore dans ma tête.
Pour me changer les idées, je décide d’allez a la bibliothèque. Les rues de Suna étaient comme d’habitude, du bruit du monde, de la vie.
J’arrive devant la bibliothèque, je constate avec une certaine intrigue, qu’il y avait un garde devant les portes de la bibliothèque, je ne comprit pas pourquoi, qu’est-ce que le Kazekage prépare …
Je rentre dans cet endroit de silence complet, cela me faisait rire intérieurement, car il y avait une pancarte, avec écrit, elle était récente cette pancarte car je ne l’ai jamais vu, il y avait marqué « Observé le silence » …
Je garde cette phrase en tête, et je m’en vais, dans les rayons, dans toujours les mêmes rayons, celui de la poésie …
Je prends un livre, sur lequel, enfin, sur la frange, il y avait écrit en petit, en lettre légèrement dorée, mais ancienne, très ancienne, il y avait marqué « C K », je comprit alors.
Je le prit, l’ouvre, et tombe sur un étrange poème, monter, et présenter d’une manière spéciale …

Boum … Boum … Boum … Boum … Boum … Boum ...

T’entends le bruit de mon cœur,
Qui cogne ma poitrine avec ardeur …

Boum … Boum … Boum … Boum … Boum …

Ecoute moi cette mélodie,
Qui me donne une étrange mélancolie …

Boum … Boum … Boum … Boum …

Mon cœur bat la chamade,
Alors que toi et moi, on ce balade …

Boum … Boum … Boum …

Sa ne me fait même pas mal,
C’est une sensation idéale …

Boum … Boum …

Mon cœur va lâcher,
J’avais pourtant arrêté …

Boum …

Voila à quoi sa ma mener,
D’avoir la folie de trop t’aimer …

…

Mon cœur n’a pas supporté,
Quand nous nous sommes embrassé …

CK

Après avoir lu ce poème, je ne savais que dire, je n’allez pas commencer à le décrire, et dire ce que j’en pensé, car, je pourrais y passer ma journée je remarque juste la petite signature de l’auteur, toujours ce même auteur charismatique de son CK qui doivent sûrement être ces initiale, mais je ne me souvient pas avoir connus ou entendus parler de CK.

Invité

[Eiki : +3EXP]

Je tourne la page … Le poème que je m’apprêter a lire, n’avez rien de spécial, et de merveilleux, présentation simple, vers plutôt cour …
Je commence ma lecture, avec encore en tête les rimes, l’histoire, et la profondeur du précédent poème, a chaque fois que j’en lisais un de ce mystérieux CK, je connais moi-même un titre, celui que j’avais lu, je le nomma alors « Le son du cœur » … Et mes yeux ce mette en route pour lire le suivant.

On dit que la vérité,
Sort de la bouche des enfants,
Et pourtant il ment,
Tout en souriant bêtement.

Un enfant qui s’amuse,
C’est beau à voir sa fait sourire.
Un enfant qui a de la ruse,
On se dit que c’est bien, qu’il ira loin, et se met à rire …

Sa joue, sa rie, sa crie aussi,
Ça fait de passes, des farces,
Alors que le temps lui passe,
Et que tombe la nuit …

Malgré le noir,
Du long et triste soir,
Qui est entrain de tomber,
Eux, ne se soucient de rien, et continuent à jouer, chanter, crier …

Ils ne sont jamais fatigués,
Ça ne sait pas s’arrêter,
Alors moi, qui ne fait que regarder,
Je ne peux m’empêcher de rêvasser …

On ce dit,
« Où est ce temps ? »
On ce souviens,
De ses si bon moment.

On est à cet âge,
Tous pressés de grandir,
Mais avec l’âge,
On se rend compte qu’on ne veut plus vieillir …

L’enfance, âge de l’innocence.
L’adolescence, âge de l’insolence, ^^
Le bel âge est celui de la connaissance,
Et se termine par la vieille qui reste, l’âge de l’incompétence …

Le jour passe,
Sans qu’on puisse travailler,
La nuit passe,
Sans qu’on est eu le temps de rêver …

J’écris et dédie ces quelques vers,
En restant sincère,
Envers tout ses gamins,
Que l’on croise sur nos chemins …

*On sens la profondeur, on peux même ressentir, voir, l’endroits dans lequel il à écrit sa, il devais être dehors, a regarder des enfants jouer, repensé a tout sa, on à tous étais enfant, on s’en rappelle tous … C’est une sensation commune, que l’on ressent tous …*
*Le nom que je pourrais lui donner à celui là … hum … L’enfance … Oui, je pense que sa traduit bien ce que j’ai ressentis ...*

Je ferme le livre, sec, dans un bruit sourd, je le repose, je regarde l’heure à la grande pendule …

*Il est temps pour moi d’allez apprendre la dernière technique …*

Je sort alors de la bibliothèque.

Invité

[Eiki : +4EXP/Poeme et RP...]