Port de Kiri

[Ici, c’est le port ou on débarque pour arriver sur Kiri. C’est un passage obliger pour entrée dans Kiri.]

Il pleuvais a Kiri d’une pluie fine et froide. Je marchais dans la rue en direction du bâtiment du conseil pour recevoir un ordre de mission. Je ne savais pas de quoi il en retournait mais ce n’était pas très important car on ne m’avait envoyé de Chunin pour m’escorter. J’arriva dans le grand bâtiment en plein centre du village cacher de la brume et j’y entra. A l’intérieur, la standardiste était habituer à ma présence et elle m’envoyait toujours la ou il fallais. Je m’arrêta devant elle, dégoulinant de pluie et je l’interrogea en levant un sourcil. Elle me fis signe d’aller a une porte derrière son bureau. Je fis le tour et je rentra à l’intérieur. Iraki s’y trouver. C’était rare pour moi de le voir mais je ne fus pas non plus surpris. J’avais senti son chakra si familier avant d’entré. Je me tourna vers lui sans parler et j’entendis le son grave et mélodieux de sa voie résonner dans la pièce.

« Encore une mission de sécurité pour toi Akira. J’ai bien peur que tu ne fasses que cela pendant un moment encore mais bon, on va s’en contenter. Cette fois c’est une histoire de trafiquant d’arme. »

Je ne bougea pas de devant la porte. La méfiance m’avait enseignez cela et je l’étais en permanence ces temps si.

« Sa ce passe ou et décrivez-moi un peut plus les détails des opérations. »

« Alors, c’est très simple. En fait, un réseau de trafic d’arme a été monter à Kiri. Ils prennent des armes ici pour les revendrent dans les villages limitrophes. Ils se servent dans la réserve de l’armurier par un passage que nous n’avons pas découvert encore. Il passe par les bateaux pour remettre leur marchandise et après, nous ne savons plus ce qu’il en est. »

« Très bien. Bon ils sont donc armer de tout type d’arme mais leur niveau est égal au mien ? »

« D’après nos estimations, leur chef est bien plus puissant que toi mais tu as deux avantage sur eux voir trois. Tu les connais et je n’ai pas besoin de te les rappeler. Utilises les car il se peut qu’ils soient bien plus puissant que nos estimation auquel cas, des Chunin viendront a ta rescousse. »

« Pourquoi ne pas envoyer directement les Chunin a ma place ? »

« Pour deux raisons, la première, c’est le conseil qui l’a ordonné. Je ne sais pas pourquoi mais tu dois t’en douter… »

« Oui. »

Un silence tomba dans la salle puis il reprit.

« La deuxième est que tu es d’un niveau assez bon pour réaliser cette mission. Ta maîtrise du taijutsu n’est pas pousser à son maximum mais cela, tu le pali avec ta nouvelle maîtrise du katana et aussi, avec ton clan. En plus, cette mission est parfaite avec a cécité. Tu peux reconnaître quelqu’un a la voie et au chakra sans te soucier du déguisement de cette personne. Alors, tu va aller directement au port de Kiri, celui de l’île. La bas, va au poste de garde et demande a passer par les caves, tu donnera ce papier (il me tendis un parchemin scellé). Il tu suivra les instruction a partir de la. Bonne chance Akira. »

« Merci. »

Je me retourna et sans une once d’hésitation, je sortis de la pièce. Je passa devant la réceptionniste puis, je me dirigea vers la porte du hall la tête pleine de pensé.

*Bon, je vais adopter une stratégie très simple. Je ne sais rien sur eux encore mais je pense que les gars du port pourront me renseigner. Je vais donc en tuer les subordonner et finalement, je vais capturer leur chef si possible. Il faut que je glane le plus d’information sur le style de combat et leur capacité spéciale. Il me faut aussi savoir leur origine et si possible avec précision. J’aimerais être accompagner pour cette mission mais le conseil est toujours comme cela avec moi. Il fat que je progresse avec rapidité car je ne tiendrais pas toujours avec se rythme. *

J’alla dehors et je commença à marcher en direction de la porte de Kiri. L’eau ruisseler dans les rues, trempant mon kimono blanc et bleu. J’arriva rapidement a la porte et personne ne me posa de question. Je continua a marcher le long du chemin qui se rendait au port de Kiri. La terre se mettait dans mes chaussures et au milieu du chemin, je m’arrêta et je les enleva. Je les posa sur le bord de la route, privilégiant mes pieds nue. J’enleva aussi le dessus de mon kimono, laissant apparaître une tunique noire en soi dessous. Je ms mon kimono sur le bord de la route et je repris mon chemin. Je marcha de nombreuse minute sous la pluie, au milieu des arbres. Mes pieds s’enfoncer dans la boue de la route alors que l’eau coulait sur tous le long de mon corps. Tout a coup, je sentis sous mes pieds un sol dur. Je marchais sur des pavés. Je continua ainsi et j’arriva à la porte du port. A partir de la, je me mis à ralentir ma vitesse de marche car je ne connaissais pas le coin. Je me tourna alors vers le garde et je lui demanda ou était le poste des gardes. Il m’indiqua brièvement le chemin, et il repris ces occupations. Je marcha alors en direction du bâtiment qui abriter les garde et je le trouva sur un ponton. Il n’était pas très grand, fait de bois et il était au-dessus de l’eau. Je rangea mon katana sous mes vêtements, laissant mon bandeau a l’air libre pour le moment. Je frappa doucement et la porte s’ouvrit, me laissant la place pour rentré. A l’intérieur régnais une chaleur tendre. Il y avait deux garde d’un niveau supérieur au mien et un homme qui sembler appartenir aux sections spéciales de Kiri. Je ne bougea pas et l’homme des sections spéciales me fis signe de le suivre. Il passa par une trappe au sol et on se retrouva sur une barque qui passaient sous le bâtiment. Je me rappelais qu’Iraki m’avait dit qu’on devait déboucher par les caves mais il avait apparemment oublié une partie.

*Je me demande par ou je vais devoir passer pour aller au sous-terrain du port. J’ai déjà une idée mais j’espère qu’elle est infondée car elle ne me plaît pas du tout. *

L’homme avec moi commença à faire avancer le bateau grâce à son chakra puis on arriva à une bouche d’égout. L’homme arrêta le bateau devant la sortis de l’eau et il sauta à l’intérieur. Je fis de même, sans faire attention a la saleté qui y régnait. Le conduit était rond, d’un rayon de 60cm et au fond coulait un flux d’eau sale. Le ninja devant moi se mis à marcher accroupi et je fis de même. On marcha ainsi une vingtaine de mètre puis on arriva à un endroit ou on pouvait marcher sur de sec. On continua notre périple et je remarqua que je pouvais me tenir debout. Au bout d’un certain temps, on s’arrêta et le ninja devant moi commença à parler d’une voie étonnement de petit enfant.

« Bon, nous sommes arriver à un endroit sur. Je vais t’expliquer la suite des opérations. Les trafiquant d’armes on un bateau qui va venir prendre un chargement. Nous ne savons pas lequel c’est mais il est étranger. Tu va devoir chercher ce qui risque de prendre du temps mais il le faut obligatoirement. Tu dois aussi savoir ou es leur cache ici et si possible, apprendre qui est le chef de l’organisation ainsi que tous les subordonner. On n’a aucune idée la aussi de ou cela se trouve mais sa ne doit pas être trop difficile a trouver. Tu devras aussi nous débarrasser des sous fifres et obtenir autant d’information que tu peux car c’est toujours mieux que de torturer le chef après. Surtout que dans la plupart des cas, il ne parle pas. Toute cette mission doit si possible se passer dans le calme sans effrayer la population. Evite de faire trop couler le sang. »

Je médita sur ces paroles et je commença a les retourner dans tous les sens. Elles cachaient quelque chose, un ordre implicite mais lequel ? Je le trouva au bout de quelque minute. Tout l’ordre se rassembler dans ce qu’il venait de me dire. Le conseil m’envoyer dans une mission dont il ne savait rien et dont il ne pouvait pas savoir le résulta. Encore une fois, j’allais devoir agir avec une prudence sans bornes. Je m’étira les jambes, conscient que l’homme a coté de moi attendait mes questions. Je jugea mes paroles et je commença alors mes questions.

« J’ai plusieurs questions toutes bêtes. Tout d’abord, je voudrais une estimation de la grandeur du réseau, une estimation du nombre de gardes et une estimation de leur puissance. »

J’étais content de moi. Je savais déjà ce qu’il allait me répondre mais j’avais prévu la suite. J’allais lui apprendre qu’un ninja ne devait pas être fort seulement physiquement. Le charisme comptait beaucoup aussi. Il m’observa et il commença à me répondre avec un peut trop de hâte.

« Aucune de tes estimations n’est possible. Nous savons juste que le réseau ne doive pas être très grand. »

Je me mis à sourire. Cela le déstabilisa assez et je lui répondit en prenant bien mon temps pour bien qu’il se rende compte que j’avais tout calculer.

« Alors explique-moi pourquoi le conseil m’envoi faire une mission dont il ne sait rien. Regarde, on pense qu’il n’on pas un réseau vaste mais si on y réfléchit, c’est le contraire. Qui seraient capable de se payer un bateau assez grand pour transporté des armes ? Des petits trafiquants n’auraient jamais l’argent pour. C’est donc a un grand réseau que l’on à a faire. En continuant sur cette route qui est la plus probable et aussi la plus dangereuse, on peut donc savoir que le réseau s’étant sur toute l’île de Kiri et au-delà même. Le nombre de gardes est en conséquence très grand. Leur niveau varis mais je pense qu’il est au moins celui de Genin. Alors maintenant, tu va me dire depuis quant ce réseau est en place. »

L’homme me regardait avec effroi. Je venais de découvrir la vérité qu’il me cachait par simple déduction sans avoir fait aucune enquête. Je remercia intérieurement Iraki pour son enseignement. Je me mis alors a guettais es réactions de l’homme et je remarqua qu’il transpirait. Chose rare chez un ninja mais cela ne tromper pas. Sa voie me répondit mais elle était plus basse et il n’avait plus aussi l’air sur de lui qu’auparavant.

« Il l’est depuis deux semaines. Nous ne sommes pas sur de la date mais l’armurier l’a remarquer a partir de cette date la. »

Je me mis à sourire. Deux semaines était largement suffisantes a un ninja pour démanteler le réseau entier. Je me pencha alors et j’arrêta ma tête a coté de la nuque du ninja. Ma froideur avait impressionné plusieurs ninja auparavant et je venais de lui faire un effet assez grand pour qu’il hésite à m’attaquer. Je lui pris un kunais d’une de ces poches et je recula. Je garde le kunais dans ma main pendant que le souffle du Chunin en face de moi se relâcha. Je le rangea à l’intérieur de ma veste de soie et je fis de même pour le bandeau. Je me leva et je regarda mon compatriote dans les yeux sans le voir.

« Et bien, je vais partir. Je te ramènerais ton kunais plus tard. Fait donner des instructions a tous les gardes. Qu’ils se tiennent sur leurs gardes. Il se peut que des corps volent à travers les fenêtres. Sur ce, j’y vais. Je reviendrais un jour. Si tu vois Iraki et que je suis mort, dit lui que… dit lui juste qu’il avait raison. Je n’étais pas fait pour devenir ninja. »

Je me retourna et je commença à marcher dans les égouts, avec la ferme intention de réussir cette mission.

*J’espère que si j’échoue, Iraki comprendra le message coder. Il est intelligent et je ne doute pas qu’il en saisira le sens mais cacher autant d’information en une phrase est assez difficile. Bon en attendant, je dois trouver une sortie sure dans ce dédale et aussi, je dois réussir la missions. J’ai des petites idées de comment je vais faire. *

Je m’arrêta et je commença alors a malaxé mon chakra. Je fis un rapide Kikaichuu et une centaine d’insectes sortirent de mon corps. Je les fis tout de suite faire demi-tour pour sortir de l’égout. Ils avaient pour mission de repéré le bateau qui devait arriver. Moi je continua pendant cinq minutes a chercher une sortie convenable puis j’en trouva une. Je força l’accès et je me trouva dans un entrepôt.

*Tient maintenant que j'y pense, il ne m'a même pas demander le parchemin.*

Je ne gougea pas de l’entrepôt, attendant qu’un de mes insectes reviennent. Ce bâtiment était assez grand et spacieux pour contenir un bateau entier. Il n’y avait que des marchandises tel que de la soi et du tissu. Je fis rapidement le tour puis je pris une aiguille a coudre ainsi qu’une paire de ciseau. Je pris une bobine de fil et je commença à fermer toutes les issus de l’entrepôt sauf une fenêtre. Une fois cela fait, je retourna dans mon coin et je patienta.

*Bon, je vais attendre la nuit. Il pleut toujours, sa m’aidera pour cette mission tout en me gênant. Mes insectes et mon ouï va être gêner mais la vision de mes ennemis aussi ainsi que leurs confort. Je vais profiter de tout les petits aspects que je peux tirer à mon avantage pour pouvoir les avoir. C’est ma seule chance. J’espère juste ne pas tomber dans un piège ou devoir affronter le chef de l’organisation et ces deux bras droits. Enfin je verrais bien. *

Je sentis alors une nué d’insecte rentré a l’intérieur du bâtiment. Ils allèrent à mon oreille et ils m’indiquèrent la position du bateau. L’une des insectes femelles était rester la bas pour surveiller le bateau. Je commença alors la seconde étape de mon opération. Je devais chercher un bâtiment qui puisse abriter le groupe de personne que je cherchais et leurs chargements. Je passa par la fenêtre et je me dirigea vers un entrepôt. Un de mes insectes alla dedans alors que je continuais ma route sans montrer que je m’étais intéresser à ce bâtiment. J’étais parfait pour ce genre de mission car grâce à mes insectes, je pouvais m’infiltrer partout sans être vu. Je marcha alors jusqu'à un marchant d’arme qui était sur le port et je m’y arrêta. Je me doutais qu’il était aussi complice dans l’affaire et je ne bougea pas, jusqu'à qu’il n’y ait plus de client. L’homme en face de moi étais assez vieux sans toute fois l’être suffisamment pour ne plus travailler. Je le regarda et je commença à parler tout en modifiant ma voie pour la rendre douce et mielleuse.

« Je trouve les prix de vos armes un peut chère pour moi, seriez vous ou je pourrais m’en procurer des moins chère ? Si toutes fois ce n’est pas offensant pour vous. »

Je savais parfaitement que l’homme me regardait de près. Avec mon habit de soi noire, je ne pouvais pas nier que j’avais suffisamment d’argent pour m’acheter un katana. Mais il se doutait aussi que ce n’était pas cela que je cherchais. Il commença à parler d’une voie qui trahissait le soupçon mais qui sembler enclin a m’aidé.

« C’est possible. Quels genres d’armes désirez-vous ? »

Je me mis à sourire. Mon piège avait commencé à marcher. Il ne me restait plus que la partie la plus simple a faire. Je baissa la voie et je me pencha puis, je lui répondis :

« La question serait plutôt combien en voulez-vous. »

Le marchant resta silencieux puis il appela quelqu’un qui était derrière lui. Il fis lui parla doucement de moi en disant ou m’apporter et que faire de moi. A en juger par la nervosité de l’homme qui devait me transporter à destination, il était tout frais et il n’avait pas beaucoup d’expérience encore. Il arriva à coter de moi et il me fis signe de le suivre. Je posa discrètement un insecte sur le marchant et sur celui qui m’accompagner. On marcha sur le port de Kiri jusqu'à un entrepôt assez volumineux mais sans plus. On entra dedans alors que je laissais un insecte sur la porte du bâtiment. A l’intérieur, je sentis tout de suite qu’un chakra assez grand y était. Heureusement, j’avais cachais le mien mais je me demandais si j’avais la force de tuer mes adversaires. Je marcha paisiblement vers la ou étais regrouper le chef du réseau et je m’arrêta devant lui. A se moment la, je sentis sur mes tendons d’Achille mes insectes qui se mettaient par terre. Je fis semblant de rien et je commença à parler.

« Bon, je n’ai pas beaucoup de temps a vous consacrez mais j’aimerais que vous déposiez un stock d’arme a un endroit bien précis. »

Le chef se tourna vers moi alors qu’un insecte était déjà sur lui tout comme sur ces subordonner. Il me toisa quelque minute me laissant pour voir ma réaction. Je ne bougea pas, toujours un sourire a la bouche et il prit enfin la parole.

« Ecrivez votre commande sur un papier. Pour se qui est du montant, vous payerait au moment venu d’échanger les armes. Vous êtes d’accords ? »

« Parfait. »

L’un des gardes prit un morceau de papier et par chance, il me demanda de lui dicter ma liste. Une fis que j’eu finit, je me retourna et je me dirigea vers la porte. A l’entré, je trouva deux garde devant la porte qui n’était pas là au début mais je ne fis pas attention a eu. Ils eurent eu aussi droit a un insecte sur eux et je continua à marcher. J’e fis un large détour et je me retrouva a l’arrière du bâtiment. Il y avait deux gardes que j’avais fait tracer ici. Je pris le kunais que j’avais dans ma poche ainsi que mon katana. Pour le premier homme, je l’égorgea par derrière avec le katana et sans attendre que son allier se rende compte de quelque chose, je lui envoya le kunais sur la jugulaire. Les deux corps se perdirent de leur sang chaud puis, je repartis comme si de rien n’était. Un insecte venait de me prévenir que le bateau arriver.

[Sa rentré plus dans l'autre^^]

Au alentours du village de kiri, Port du Continent



Deux heures avaient passés, la nuit se faisait approchante, presque menaçante...Thyrael ne savait pas pourquoi, mais il avait un mauvais préssentiment, comme si cette magouille de seconde zone allait tourner au drame...Néanmoins, i s'éfforçait de conserver cette image de l'homme insouçiant, docile et naïf que devait représenter Arsène pour le reste de l'équipage. Durant le voyage, il était resté silencieux, tapis dans les ombres...Pourtant, dés que le cor du bateau se manifesta, signe de l'approche de Kiri, Thyrael se releva et chargea son sac de "vivres" sur le dos, se dirigeant droit vers Sheero. Il ignora les remarques des quelques bandits et s'agenouilla face au "trône" du chef de l'organisation des Dents d'Argent. La tête a demi baissée, il demandé d'une voix claire :

[Thyrael]
"Pardonnez moi de vous déranger...Devons nous débarquer dés maintenant Sheero-Sama?"

Le leader ne répondit pas immédiatement, comme à son agaçante habitude. Il laissa plâner un silence stressant puis lâcha d'une voix gentillette :

[Sheero]
"Mais mon petit Arsène, si je t'ai permis de nous rejoindre, c'est bien pour mettre la main à la patte et nous aider à entreposer la marchandise dans les entrepôts que nous utilisons à Kiri...Pfff...Aller bougez vous vous tous, dans cinqs minutes je veux que els éclaireurs soient en positions et que les marchandises soient prêtes a la reception."

Les différents hommes se mirent en mouvements, telle une machine rodée depuis des années...Les plus faibles courraient vers le pont, fonçant vers les docks pour vérifier que l'accueilne serait pas de mauvaise augure pour le trafic. Les plus massifs s'employaient à porter les armes...Il y en avait de toutes sortes : sabres, shiruken, caisses d'explosifs...Tout ce qui aurait pu permettre à un petit groupe isolé de causer du soucis à l'un des grands villages. Mais Thyrael devait faire abstraction de tout cela, il était Arsène le simplet, Arsène de contrebandier...Soupirant, il prit un chargement de kunaï et autres armes légères puis emboita le aps aux autres voyou. Il se retrouva ainsi sur le quai d'embarquement de kiri...
Jetant un coup d'oiel aux alentours, il découvrit qu'à une lieux environ se trouvait l'unes des portes du village...Pourtant, il devait lutter contre son envie de s'y faufiller...Les soupçons auraient été trop grand sur Arsène et si Sheero et ses compères avaient été ninjas, ils auraient rapidement comprit la tromperie du nara.

*Cette nuit, lorsque la totalité du groupe dormira, je pourrais feindre la mise en scène de la mort d'Arsène, un kage bunshin devrait convenir...Je l'annulerais lorsque le corps sera abandonné*

Les allers et retours s'enchaînaient et le sentiment d'être prit au piège de Thyrael ne cessa pas de s'intensifier...Il sentait aux alentours un chakra, moins communs que les autres. L'ex chuunin avait beau épier de tout côtés, personne ne lui paraissait suspect. Il faudrait attendre que l'orage gronde pour se proteger.
Lorsque le chargement fut enfin délivré, la dizaine de brigants de l'organisation se réunirent autour de Sheero qui leur dit d'un air fier :

[Sheero]
"Bon boulot...Je vais aller régler les détails administratifs avec notre acheteur...Tachez de rester discret."

Il fit signe a deux de ses hommes de mains de le suivre...pendant ce temps, Thyrael s'adossa contre l'unes des piles de caisses tout juste livré, attendant que l'affaire se décante...

L’entrepôt c’était rempli depuis la dernière fois que j’étais venu. Des caisses, des armes étaient entasser un peut partout. Je marcha vers le second qui était ici et je m’arrêta devant lui. J’évalua rapidement la pièce et je conta quatre hommes avec lui. Je conta les deux gardes en plus dehors, j’étais capable de tous les tuer sans me faire avoir. Je commença à malaxer doucement mon chakra quant l’homme devant moi me parla.

« Tu es la pour le chargement ? Et bien, notre chef t’attend au quai numéro 5. tu va devoir t’y rendre. Apporte aussi l’argent, il n’est pas du genre patient si tu voies ce que je veux dire. »

Je me mis à sourire, d’un sourire qui donnait généralement la mort. Il recula mais c’était déjà trop tard pour lui. Je dégaina mon katana et dans le mouvement, je lui trancha la gorge. Tout le monde se tourna vers moi mais avant qu’un seul aie eu le temps de réagir, je lança le kunais que j’avais pris à l’unité spéciale sur un homme au niveau des cordes vocales. Je fis ensuite un large bon en arrière et j’ouvrit rapidement la porte pendant que les hommes dans la pièce prenait des armes. Je fis sortir mon katana par la porte et je tua un des gardes d’un coup sec. Je poussa d’un coup de pied son corps pendant que l’autre tenta de me frapper. Je le poussa à l’intérieur du bâtiment et j’entra, en refermant la porte. A ce moment la, j’étais enfermer avec cinq hommes armer. Je relâcha mon chakra et mes insectes sortirent de mon corps. Grâce à cet effet, je provoqua le doute chez les contrebandiers. Ils venaient de comprendre que j’étais un ninja. Je sauta alors en avant et je trancha les talons d’un homme un peut trop près de moi pour sa santé. Je me releva et je para un coup de chaîne. Je tira sur mon katana, faisant venir la chaîne et l’homme avec et je le frappa à la pomme d’Adam. Je lâcha son corps inerte et mes insectes se ruèrent sur les yeux des hommes qui restaient. Je me calma et avec une froideur incroyable, je tua l’homme a mes pieds qui c’était fait trancher les cheville. Je me dirigea ensuite vers les trois autres hommes qui se dépasser, impuissant et je les tua un par un. Je ramassa alors mon kunais et je sortis du bâtiment.

*Bon maintenant, il me faut aller au quai numéro 5 mais je crois que je vais passer par les toits. J’aurais du prendre une arme là dedans mais bon, ce n’est pas grave-je ferais avec ce que j’ai sur moi. *

Je me mis à courir et j’effectua adhésion. Je monta sur un mur et j’arriva sur le toit d’un bâtiment. Je m’arrêta pour savoir ou se trouver mes insectes. Je les repéra rapidement, ils étaient à deux quais de la ou j’étais. Je pris alors mon élan et je commença à courir en sautant de toit en toit. J’arriva au-dessus du quai numéros cinq et je m’y arrêta. Je sentis qu’en dessous de moi, il y avait quatre hommes. Un simplet, deux avec mon niveau et le dernier était le chef de l’organisation. Je pris mon kunais et je visa le premier Genin. Mes insectes était déjà en train d’empoisonner le deuxième. Je lança le kunais et sa jugulaire fus trancher. Je sauta en bas alors que le deuxième Genin se retrouva empoisonner. Il fus paralyser à cause du poison et je lui trancha la gorge. Je ne toucha pas a l’homme qui était d’un niveau trop faible. Je ne risquais rien avec lui.

[Adhésion - 10 de Chakra
Techniques Aburames - 40 de Chakra]

Le chef du réseau s’avança vers moi une fois que j’eus tué l’homme. Je leva mon katana pour qu’il s’arrête et il commença à parler. D’une voie remplis d’ironie, il me remercia de l’accueillir si bien. Il rigola sur le fait que j’étais seul pour le tuer. Il me demanda pourquoi j’avais tué ces deux compagnons et pourquoi le dernier homme était toujours en vie. Il prenait la situation avec une légèreté déconcertante. Je ne changea pas de cap. L’homme derrière lui ne m’intéressait pas. Je savais à présent que j’avais peut de chance de tuer cet ancien ninja qui c’était reconverti dans le trafic. Je laissa le katana a hauteur. De cette manière, je pouvais parer une attaque au corps a corps a coût sur. A ce moment la, je sentis un chakra nouveau apparaître. Tout en restant focaliser sur le chef, je compris qu’il venait du simplet derrière lui.

*Et bien, je suis en présence d’un ancien ninja qui est plus fort que moi et c’est possible que son amis qui se fais passer pour un naïf soi sont meilleur garde du corps. Je suis mort, la c’est sur. Je n’ai aucune chance de les affronter tous les deux, surtout pas en même temps. *

Je me mis à sourire en face de l’homme. J’étais mort, je le savais. Je n’avais plus aucune raison de préserver mon corps. C’était ma dernière chance de survivre. Je me mis sur mes appuis et je décida de m’occuper que du chef, espérant que l’autre ne me ferais pas trop de dégâts. Je me mis sur mes appuie et je commença à porter un coup de taille. Il recula en rigolant, mon essai ne devait pas lui paraître bien convaincant. Je malaxa mon chakra et je fis la terre glacer de Kiri mais il érigea un mur d’eau et mon coup fus absorber. Je sauta alors a distance et je pris de plein fouet un Suiton hiryuu mizukasa. Je vacilla sous le coup mais je repris avec l’énergie de la mort.

« Si je meurs, tu crèveras avec moi. Je t’emporterais dans le gouffre de la mort. »

Je fis un grand saut et je frappa avec mon pied contre son mur d’eau. Celui ci se détruisit et je m’élança vers le chef de clan. Arriver à coter de lui, il sortit un kunais et avec un mouvement d’aisance incroyable, il esquiva mon coup de katana et il me fit une entaille a l’épaule droite. Mon vêtement de soi noire de déchira et mon bandeau apparu en dessous. Je ne broncha pas et je profita de l’occasion pour le frapper avec ma lame verticalement. Il sauta esquivant mon coup.

*Je n’ai aucune chance, il est bien trop rapide pour moi. Je vais mourir sans le toucher. *

[Terre glacer de Kiri – 60 de Chakra
Blizzard de Kiri – 20 de Chakra
Coup de Kunais – 12 PV
Suiton hiryuu mizukasa – 75 PV]

Comme l'avait prévu l'ancien chef des Nara, un combat déséquilibré avait débuté entre le mysterieux ninja de kiri et Sheero, le chef des Dents d'Argent. L'inconnu avait cru que son katan pourrait le proteger d'un quelconque assaut, mais ce n'était qu'une illusion destinée a le rassurer probablement. Dés lors que l'étrange Aburame prit ses appuis en se jetant sur Sheero, le visage de Thyrael s'illumina, ses yeux grands ouverts se gavaient de touts les détails de ces assauts.

*Allez, montre moi ce que vous valez tout les deux...*

Le jeune ninja savait qu'il était en infériorité, considérant Thyrael comme l'allié de son prétendu patron...Ainsi, par un courage quasi suicidaire, le aburame lança une technique de taijutsu que l'ex chuunin d'iwa n'avais jamais vu...Le sol se glaça lorsque le coup de pied arriva a proximité du corps de Sheero. Par reflexes, Thyrael fit un saut de recul de quelques mètres se plaçant directement sur l'un des conteners, à l'abris de toutes attaques perdues. Il tenait fermement le sac contenant les reste de Verana...De peur de se le voir confisquer... L'attaque du ninja de kiri n'eut cependant aucun effet sur le chef des bandits qui encaissa grâce à un mur d'eau la puissance du coup de pied.

*Sheero était donc un pro ninjutsu maitrisant des jutsu de type Suiton...Avec une telle quantitée d'eau dans les environs, il ne doit pas craindre grand monde...Mise à part les ombres héhé.*

Alors que le bruit fracassant de la glace brisée contre le mur d'eau résonnait sur le quai, le ninja de Kiri prit du recul, comprenant que la riposte adversaire allait tomber. Ce qui fut le cas...Par des gestes de mains appliqués, Sheero malaxa son chakra avec une violence impressionante. Dans le dos de Thyrael se fit entendre un léger grondement puis soudain, la mer se déchaina et un dragon acqueux en sortit, fondant droit sur l'aburame. Ce dernier encaissa la violence du choc tant bien que mal, vacillant sous la pression de l'eau. le nara hésita en cet instant à intervenir...Mais il sentait que Sheero était méfiant, il faudrait attendre encore un peu.

*Qui que tu sois ninja de kiri...résistes encore un peu et je te débarrasserais de ce type...*

Comme si le courageux ninja du pays de la brume avait entendu l'appel de Thyrael, il se releva bravement et fonça avec rage sur son adversaire, bravant l'épai mur d'eau et parvenant à le faire éclater. Pourtant, Sheero, ne faisant preuve d'aucune pitié ou relachement sortit un kunaî et frappa le jeune kirïen à l'épaule. Du sang jailli, marquant la merveilleuse soie noir que portait le ninja et dévoilant un bandeau...A cet instant, découvrant le bandeau du aburame, Thyrael s'mpressionna :

*Ce...ce n'est qu'un genin ?! Il tient tête à un ex-chuunin qu'était Sheero...Plus de temps a perdre...*

Alors que le genin de kiri voulu asséner un lourd coup de katana à son opposant, Thyrael sauta de son perchoir, son méfait à la main puis , une fois celui-çi camouflé, il marcha tranquillement vers Sheero...Un nuage de fumée éclata, la métamorphose s'annulant, dévoilant ainsi le véritable visage du nara...



Sans perdre une seconde, Thyrael enchaina quelques sceau. Il laissa alors son chakra menaçant exploser et murmura sous le chant délicieux de la nuit :

"Kage mane no jutsu...Que les ombres s'éveillent..." (-20 chakra)

Les ombres s'agitèrent et en un instant, vinrent immobiliser avec une facilité déconcertante Sheero... Ce dernier, surpris, voulu bégailler quelques mots mais ce fut Thyrael qui lui donna la repplique tout en sortant son propre katana :

"Tu es bel est bien un pro ninjutsu...Rien dans les bras, tout dans la tête...Minable..."

Calmement, Thyrael s'avança vers sa proie puis, considérant quelques facteurs dans ce qui venait de se produire, se ravisa à sortir sa propre lame. il lança simplement en direction du genin de Kiri :

"Tu peux l'achever, il ne pourra plus bouger tant que je ne l'auais pas décidé...Tu l'as mérité, le plaisir de tuer celui qui t'a malmené."

Le Nara s’appelait Loeserb. Il était un ancien Genin d’Iwa qui avait était à une époque engager à la protection de Kumo. Il avait apparemment du se débrouiller seul ensuite et il c’était mis à traquer les organisations qui nuisaient aux villages. Il avait découvert les dents d’argent ainsi et il avait pris l’apparence d’un de leur homme. Le corps de cet homme était dans le sac qu’il portait. Il contait s’en débarrasser quant j’étais apparus, tuant les deux Genin. Il se disait flatter d’être pris pour un Chunin, il commença à me dire que je lui étais supérieur. Il confirma mon dire par rapport auquel c’était un meurtrier. Il finit par demander si je lui accordais l’asile ou non.

*je ne sais pas s’il me ment sur son nom, ni sur son grade mais j’ai des doutes. Il a une telle quantité de chakra qu’il me donne l’impression d’être un Chunin. Il est d’Iwa, cela il ne l’a pas nié. Il est assez intelligent pour ne pas me contredire quand je suis sur d’une chose. Son histoire comme quoi il a déserté tient debout, il l’a peut être préparer à l’avance mais e ne peux pas le savoir. Pour sa demande d’asile, il a l’air fort et il suffit que je dise a Iraki de le tenir a l’œil ou que je lui laisse un insecte sur son corps. De cette manière, je pourrais toujours savoir ce qu’il a fait. *

Je me mis à marcher sans lui répondre. J’arriva à la porte d’un pas fatiguer mais toujours ferme. J’avais un grade et je le respectais. Je me tourna vers le garde et d’une voie sèche, je lui parla :

« Va au poste de garde rapporte se kunai au ninja des forces spéciales qui y est. Di leur que les vendeurs sont neutraliser mais qu’ils s’attendent à une fuite massive de ceux qui sont encore en vie. Qu’ils double la garde et que tous les bateaux soi fouiller a chaque arriver ou départ. Je veux aussi que tu les préviennes que l’entrepôt numéros 12 est remplis d’armes et de corps. Dépêche-toi d’y aller. »

Le garde se mis à courir et je me retourna vers l’autre qui rester-la.

« Laisse passer l’homme la bas, il est avec moi. Aucune fouille rien. »

Je fis signe à Loeserb de me suivre alors que je commençais à marcher sur la route. La pluie tomber finement sur le village de Kiri qui se trouver un peut plus loin. Il y avait plusieurs kilomètre entre le port et le village.

*Si jamais je fais une erreur, je suis banni de Kiri. J’espère que j’aurais raison de lui faire confiance. Je prends des risques bien plus grand qu’on ne peut se l’imaginer vus ma position au conseil de Kiri. Mais bon, il faut savoir prendre les devants comme on dit. J’ai peur cependant que j’aille trop loin. Iraki, tu va devoir m’aider un peut. Enfin, de toute façon, vu la situation a Kiri ces temps si, un mort dans les rues n’étonnerais personnes même si cela serais regrettable. *

Akira ne fit pas la fine bouche et accepta la fausse identification de Thyrael sans rechigner...Apparament, il avait confiance en ses capacités de Aburame pour maintenir un contrôle relatif sur son hôte...Peut-être que l'énonciation du faux statut de Genin d'Iwa qu'avait fait Thyrael avait participé a cette mise en confiance. Les deux ninjas se mirent alors route vers le premier poste de gardes avant le village, deux tours d'une dizaines de mètres avec, dans chacunes d'elles, trois gardes plus ou moins assidu. Voyant Akira et Thyrael Approché, l'un des garde se présenta mais le genin de Kiri lui envoya un ordre et ajouta de ne pas fouiller l'ex ninja d'Iwa, preuve de la pseudo confiance qu'il pouvait accorder à son "sauveur"...

*Catte fois çi, je vais essayer de conserver cette couverture plus longtemps que l'autre, je ne devrais pas avoir trop de mal...Je connais tout de Leoserb...D'ailleurs cher frère...Où es-tu maintenant? Décedé? perdu? Et dire que je voulais te ramener...Peine perdue...Je dois trouver un moyen de me débarasser des insectes qu'à probablement du m'apposer cet Aburame, il n'est pas bête...Peut-être qu'un bain serait la solution. Nous verrons cela une fois arrivé dans le village.*

Le poste de garde depassé, le duo fit marche vers le village qui n'était qu'à quelques minutes de leur position. La Nuit était sombre, il devait être minuit au moins, l'heure où les méfaits s'accomplissaient le plus souvent...

*j'ai beau essayer de ne pas y penser, cette présence malfaisante me revient toujours...avec cette même impression qu'elle m'est famillière...Comme s j'avais déjà croisé le fer avec elle...Non personne de Kiri n'a une aura aussi sanguinaire...Je dois me faire des idées. Mais si ce n'était pas le cas, si les quelques hypothèses qui germent dans mon esprits se revelaient vrai, alors Kiri serait en danger...*

Quelques minutes plus tard, le genin de Kiri et son invité étaient face aux portes. Ces dernières étaient closes mais Akira s'arrangea pour se les faire ouvrir, alertant ou plutôt reveillant les gardes responsables de la garde de nuit. Les lourdes portes de Bois s'ouvrirent alors en un grincement discret...Kiri était là, à deux pas, l'objectif était presque atteint. Thyrael serra avec un peu plus de force le sac qu'il portait sur son épaule puis souria. Il dit alors à Akira, sur un ton exprimant la gratitude :

"Merci Akira Aburame, genin de Kiri...Votre geste me va droit au coeur. "

Tout deux franchirent alors les portes du village de la Brume, rythmé par le chants délicats des vagues encores perceptibles.

Village de Kiri, Ruelles de Kiri

bureau du Mizukage

[ Je ne sais pas d'où viens Leoserb, il est en entrainement je crois, m'enfin j'ai besoin de lui pour mon rp xD il s'arrangera quand il reviendra...
je poste pour Leoserb aussi, donc tout ce qui est en citation a été écrit par lui et pas par moi ^^ ceci dans le but d'aller plus vite ]


Higeki entra dans le port en milieu de matinée. Le soleil était levé depuis longtemps… Il devait être neuf ou dix heures, tout au plus. Elle se remémora ce qu’elle cherchait : un bateau, n’importe lequel, qui la mènerait vers le continent. La jeune fille avançait le long des espaces d’embarcation sans se soucier du regard des hommes autour d’elle. La population du port à cette heure ci n’était pas très diversifiée et surtout composée de pêcheurs, de marchands ou de marins qui préparaient leurs bateaux pour la journée. La moyenne d’âge n’était pas très élevée, la majorité d’entre eux avait entre vingt et trente ans… Sans prêter attention à leurs regards qui s’attardaient parfois un peu trop longtemps, elle parcourut quelques mètres avant de trouver ce qu’elle cherchait : un gréement couverts de marchandises, prêt à partir. Sur sa coque en bois s’étalait un nom en lettres d’or : « Donzelle Saumâtre ». La rouquine s’approcha et demanda tranquillement au marin le plus proche :

« Je peux parler au capitaine ? »

L’homme se tourna vers elle et la détailla, le visage d’abord méfiant, puis sa bouche s’étira en un large sourire :

« Qu’est-ce que tu lui veux au capitaine ? »

« Lui parler. »

« C’est qu’il est occupé. Mais par contre, à moi, tu peux parler… »

La main du matelot commença à s’étendre vers elle. Un instant après, elle avait sorti son kunai et le pointait sur la gorge de l’homme, qui stoppa immédiatement tout mouvement. Sa voix se fit plus froide, mais resta tranquille :

« Je veux parler au capitaine. »

Le marin leva son autre main et lui indiqua un petit bureau non loin. Satisfaite, la jeune fille retira son kunai, le rangea, et s’éloigna dans la direction designée, sans un regard pour le marin. Arrivée au bureau, elle poussa la porte déjà entrouverte et y trouva un homme assez âgé, vêtu de beaux tissus, qui semblait plongé dans une carte. La rouquine toussota pour attirer son attention, il les tourna vers elle, l’air surpris. Elle se força à conserver une voix aimable pour expliquer ce qu’elle voulait :

« Bonjour… vous êtes bien le capitaine de la Donzelle Saumâtre ? »

Le capitaine haussa les sourcils :

« Oui, oui, c’est moi. Qu’est-ce que je peux faire pour vous, jeune fille ? »

« Vous vous rendez bien à Madarui ? »

« Oui, pourquoi ça ? »

« Est-ce que vous accepteriez de me prendre comme passagère ? »

« C’est une manie de répondre aux questions par d’autres questions ? Bien sûr que j’accepte des passagers, mais je vous préviens, le voyage par bateau, ce n’est pas du luxe… On dort sur le pont et la mer n’est pas toujours des plus calmes. 40 gils. »

Higeki hocha la tête, satisfaite. C’était bien cher que le prix auquel elle s’attendait. Elle fronça les sourcils, pensant à Leoserb, qui lui avait dit qu’il l’accompagnerait. Elle l’avait prévenu qu’elle embarquait ce matin, est-ce qu’il s’en souvenait ?

« Encore autre chose… Un… ami va peut être me rejoindre. Ça ne pose pas de problème ? »

Le capitaine sourit. Elle lui adressa un regard noir pour lui indiquer qu’elle ne répondrait pas à ses questions et il répondit joyeusement :

« Pas de problème, si il paye. »

La jeune fille approuva de la tête et posa 40 gils sur la table du bureau, avant de sortir. Elle huma un instant l’air marin, admira la mer… Puis finit par se décider à monter sur le bateau, répondant aux questions et aux regards surpris des matelots par un regard froid. Elle n’avait jamais quitté les terres de Kiri… Comment était-ce, à l’étranger ? Au moins, elle était sure d’une chose, elle débarquerait en terrain neutre. Higeki s’approcha de la balustrade du bateau et posa son sac à ses côtés. Elle s’appuya sur la rambarde, pour admirer l’effervescence d’un port qui s’éveille… Le capitaine monta également sur le bateau. Il lui jeta un regard, mais ne dit rien. Ils partaient dans moins de cinq minutes, et le voyage durerait près de vingt heures, sans compter les intempéries qu’ils pouvaient croiser. Mais aux dires des marins, la mer serait calme et le vent fort. Les prévisions étaient excellentes, selon eux. La jeune fille sourit. Est-ce que Leoserb se montrerait à temps pour embarquer ?

Citation :

Le jour se levait, calmement, alors que Leoserb continuait à somnoler, dans son lit. Il avait raison, après tout. Ses cours ne commençaient qu’à onze heures, hors, l’horloge indiquait encore sept heures, le Nara se réveilla en sursaut. Il avait rendez vous avez Higeki. Ils devaient aller ensemble à la demeure des Nara, et pour ce faire, ils avaient rendez-vous au port de Kiri. Il s’activa afin d’y arriver à l’heure. Une fois sur les quais, endroit où il avait déjà mis les pieds auparavant, il commença à regarder après Higeki. Ne la voyant pas, il marchait, cherchant après un bateau susceptible d’héberger Higeki. C’est alors qu’il les vit. Des obus en or massif. Des trucs tellement gros qu’on y perdrait un piquet. Des lettres en or massif, annonçant le nom du bateau « La Donzelle Saumâtre ».

*Bizarre, ce nom me dit quelque chose… Bah, je rêve sûrement.*

Il s’avança vers le matelot, et lui parla.

« Hey mon ami ! T’aimes ça éplucher les patates ? »

« Qu’est ce que tu me veux, avorton ? »

« Je te demandais si tu savais pas où se trouvait la cabine du Capitaine Flam, je dois m’entretenir avec lui. Et puis, aussi, si tu pourrais pas me donner le champagne de bienvenue… »

« Mais c’est qu’il est intelligent en plus, le petit. Alors, pour la cabine du capitaine… Tu risques de prendre du temps, car il n’est pas de notre Voie Lactée. Sinon, si tu cherches le capitaine de ce bateau, tu prends deux blocs de pierre, tu saute à l’eau et t’y seras vite fait. »

« Ooooh ! Mais c’est qu’en plus, le matelot, il parle ! Il sait éplucher les patates, et en plus de ça, il parle ! C’est combien sur le marché ? »

« Je sais pas, mais en tout cas, tu risques pas de trouver plus cher sur le marché. »

C’est alors que Leoserb vit un poil roux tomber lentement vers le sol. Il regarda autour de lui, et put apercevoir la chevelure flamboyante d’une jeune damoiselle. Il se dirigea vers cette dame, et reconnu Higeki de loin. Il vit alors une porte, avec quelques décorations dessus. Sûrement la cabine du capitaine. Le Nara y entra et commença à parler, avant même que l’homme barbu qui y était présent ne puisse dire quoi que ce soit.

« Hé là, mon brave ! Ton bateau peut-il m’amener, moi et une amie, à destination de Maradui ? »

L’homme releva la tête, et on put apercevoir que le genin s’était trompé. Heureusement que son bandeau de ninja ne se voyait pas.

*Oups, les toilettes des mecs… J’ai intérêt à serrer les fesses pendant ce voyage…*

Une fois ressorti des toilettes, le Nara se dirigea droit devant, et se percuta à un matelot avec une pipe à la bouche, un perroquet sur l’épaule, un tricorne en guise de chapeau.

*Paaaarfait ! Il ne manque plus que la jambe de bois, le crochet à la place de la main droite et le bouc. Et aussi un type obèse et complètement débile qui lui sert de bras droit. Ouais… Ca serait super ça.*

« Bonjour… C’est vous le cap’tain du bateau ? »

« C’est moi, oui. Je suppose que tu accompagnes cette jeune fille ? »

« Heu… Elle ? La rousse ? Ouais, ça se pourrait. »

« Enfin, quoi qu’il en soit, c’est 40gils. Et aucun marchandage possible, mon ptit. Ne joue pas au plus malin avec moi, sinon je te balance à tribord. »

« Et pourquoi pas à bâbord ? C’est vrai, après tout. On entre à bâbord et on sort à tribord, mais pourquoi ne jamais sortir à bâbord et rentrer à tribord ? Enfin bon… Les voilà, tes 40gils. Heu… Les matelots aiment faire la fête ? »

Le silence de Flam suffisait à Leoserb comme réponse. Il prenait automatiquement cela pour un oui. Il se dirigea alors vers Higeki, prêt à voyager, son sac posé par terre.

« Et bien, Higeki… Comme on se retrouve. Alors, prête pour l’arrivée chez nos grands amis ? »

port du continent

En dehors du Village de Kiri, Porte Sud de Kiri

Après un bref petit bout de chemin dans l'obscurité, L'ex Anbu dissimulé sous des traits d'un Chuunin quelconque, pu enfin apercevoir les docks.
Le vent frais était toujours présent, fouettant les cheveux clair de la silhouette du prétendu Aburame. Il devait être dix heure trente, trente cinq tout au plus...Plus que cinq minutes tout au plus.
La Mizukage, plongé dans les ténèbres se faufila discrètement à travers les conteneurs. Elle avança jusqu'au quai ou un navire était déjà affrété.
Sans attirer l'attention, Seika se camoufla derrière l'un des conteneurs, prête à intervenir dés qu'un signe encourageant se présenterait.

Demeure des Nara


Neuf longues journées de voyage, chevauchées et traversée de l'océan mêlés... Higeki était de retour à Kiri. Le périple avait été peu agréable au retour, un peu plus monotone, à cause de l'absence de Leoserb, mais elle aimait la solitude... Voilà presque un mois qu'elle avait quitté le village caché et elle avait hate de reprendre ses vieilles habitudes : l'entrainement rigoureux de Chihiro, les combats occasionels, les réprimandes diverses de la Mizukage... Le village tout entier lui avait manqué. Le clan Nara était si vide... La jeune fille secoua la tête et quitta le port, son sac sur le dos. Où aller ? Elle avait hate de retourner chez elle, inutile de le nier. Mais par dessus tout, il fallait qu'elle retrouve Chihiro. Celle-ci avait parlé d'une mission... Quand partiraient-elles ? La curiosité naturelle de la jeune fille prenait rapidement et facilement le dessus, comme d'habitude... La rouquine parcourut les rues de la ville plutot rapidement, sans vraiment savoir ce qu'elle cherchait, respirant l'odeur de la mer, des poissons grillés... La cité battait son plein, l'après-midi commençait à peine. Après quelques minutes à marcher sans but, Higeki retrouva son chemin (pour une fois...) et parvint jusqu'au batiment renfermant le bureau de la Mizukage...

bureau du Mizukage

Les vagues venaient se fracasser contre la coque des bateaux, soulevant des gerbes d’eau qui se déversaient ensuite sur les ponts. Tous les marins scrutaient l’océan a la recherche d’un indice révélateur sur la tempête à venir. Même les gardes présents semblaient plus préoccuper du temps que de la surveillance de la côte. La Mizukage poussa un soupir d’agacement. Décidément les défenses de Kiri étaient bien faibles encore. Sans plus attendre, elle décida de choisir sa proie. Son regard balaya les environs, elle cherchait un moyen de trouver le bon bateau. La prétendu chef des Aburames ne voulait pas aller chercher dans le registre car il se trouvait dans une salle bien garder contrairement au port. C’est alors qu’elle entendit une voix qui l’intéressa au plus haut point.

[ ???] « Fichtre, ne t’avise plus de r’commencé. Nous devons être partis pour Mono avant que cette foutue tempête ne commence, sinon nous irons dormir avec la poiscaille ce soir. »

C’était la voie bien ficeler d’un marin de Kiri. Sans plus attendre, Seika observa d’où venait ce grognement roque. Un nom lui apparut clairement lorsqu’un éclair déchira les cieux. « La vivacité ». Une fois ce renseignement prit, la Mizukage se dirigea rapidement vers le bas du bateau, toujours cacher par des conteneurs. D’un bon souple et agile, elle s’agrippa au bastingage pour enfin pénétré dans le bateau. L’obscurité croissante aider bien a ça progression silencieuse. D’un nouveau bon, elle se faufila dans la cale qui était encore ouverte. Sa présence passa totalement inaperçu a tout l’équipage. Sa condition de voyage n’allait pas être des meilleures mais personne ne penserais trouver la kunoichi a cet endroit. Alors qu’elle prenait place, elle entendit une nouvelle fois le grognement de tout à l’heure...

[ ???] « Larguer les amarres, la tempête arrive jveux que nous soyons en mer avant que ce coup de tabac ne nous pète à la geule. Hisser la grande voile et déplier moi cette toile arrière. Nous aurons besoin de toute notre puissance pour sortir indemne de ce foutu merdier ! »

Le navire se mit à bouger lentement. Il tanguait de droite a gauche comme depuis l’arriver de la fleur de Kiri mais maintenant, elle le sentait avancer. Elle renifla l’odeur ambiante qu’elle allait côtoyer durant la traversé. C’était un mélange de moisissure et de rente. Le tout étant très désagréable. La prétendu Chuunin se posa alors contre la coque, elle n’avait plus qu’à attendre. Elle ferma les yeux pour se reposer, les sens toujours en alerte. La traversé allait être longue et mouvementé.

Autres Territoires, Le village de Mono

[ =>Ordre des missions]

La route m’avait parut courte. J’étais presser d’arriver au port pour effectuer ma première vraie mission à Kiri no Kuni, le village de la brume. Les passant qui se promener entre le port et le village c’était écarter devant mon chemin. J’étais encore couvert de sang, rien ne m’avais fait penser a ce détail. J’arriva rapidement sur les pontons ou se trouvais mon navire. Il partait dans pas loin de dix minutes, je n’avais plus qu’a attendre. Dans un premier temps, je m’arrêta contre des caisses de marchandise, écoutant avec nostalgie cette mer qui m’avait tant de fois passionner. Le remous incessant des vagues contre les coques de navires me rappelais des souvenirs lointains, des choses dont je n’étais même pas sur qu’elle m’appartenait. Le quai était plein de vie, nombre de marchant décharger leurs marchandises d’épices, de crustacés et d’autres mets que je n’arrivais pas à identifier. Les odeurs de tous ces plats, de toute cette nourriture arrivaient jusqu’a mes narines, frémissant de bonheur, proche de l’extase.

Un son de cloche sonna alors et sans plus attendre, d’un bon souple et presque gracieux, je me rendit à l’intérieur du navire. L’équipage n’était pas nombreux, une dizaine de personnes suffisait à manier ce bateau. Il n’était pas très vaste. Je m’installa dans ma loge un peu simple a mon goût mais qui suffirait. Elle était composer d’un lit de camp et d’une fenêtre. Je me posa sur le lit, attendant qu’on commence à prendre le large. Le bateau tanguait dans le port, soulevant de petites gerbes d’écumes. De mon lit, j’entendais les marins qui s’affairaient sur le bastingage. Leur importance, je ne m’en soucier guère. Ils n’étaient la que parce que j’avais besoin d’eux pour traverser la mer, ce n’était que de vulgaire pion dont je me serais passer aisément si possible.

Je me coucha alors sur le sommier couvert de plume. Mon cerveau se reposa quelque instant. Je me pliais manière à trouver une situation confortable ou en cas de problème, je pourrais me dégager rapidement. Posant mes deux grand katana sur le sol devant moi, je détendis tous les muscles de mon corps, laissant un repos paisible m’envahir. J’étais encore fatiguer de ma ressente descente a l’hôpital, je devais me ménager pour cette mission si je tenais a revenir avec une bonne forme, prouvant tout puissance...

[=>Suiko]

[=> Suiko]

Le voyage semblait n’avoir duré que quelques minutes, une heure tout au plus. Je foulais le port du village, l’eau des vagues submergeant mes pieds par moment. Les marins de mon bateau étaient partis se reposer dans un établissement non loin de la, leurs payes allaient pas tarder à être donner. Moi, je marchais d’un pas rapide vers mon village, le bandeau du déserteur toujours à la main. Je m’étais laver durant la traverser, j’avais même réussi à dormir quelques heures d’un sommeil sans rêve, juste marqué d’une présence anodine dans les tréfonds de ma conscience...
Le sol défilait sous mes pas, le village se rapprochait doucement, une curieuse envie de fuir progresser en moi. D’où venait ce sentiment ? Aucune réponse ne venait d’elle-même. Je m’analysais, fouillant mon esprit si subtils, si puissant... pourtant, la solution m’échapper. Que ce passait il ? Rien à vrais dire, j’avais juste une envie comme certain prenne parfois le cœur des hommes. Un désir de fuir, de courir jusqu’a l’épuisement, de ne plus sentir l’air de Kiri pénétré dans mes narines...

Cette pensé m’affola quelque temps. Je devenais donc un traître ? Un lâche qui voulait fuit son pays, sa patrie ? Non, ce n’était pas possible, pas à moi. J’avais été trop fidèle à mon village, j’avais connu trop de souffrance pour pouvoir l’abandonner ainsi. Une voix résonna dans le fin fond de mon âme, une voix que je connaissais, familière, rassurante, froide et sèche mais qui me semblait si proche de moi, si proche... Daken... Avant que je puisse réaliser ce que j’écoutait, un son se fit entendre. Les gardes me demandaient ce que je voulais. Sortie violemment de ma torpeur, je montra mon propre bandeau, incapable de prononcé la moindre parole. Un crissement se fit entendre, les portes basculaient... je les suivais...

[=> ordre de mission]