Salle d'Entraînement En Commun

Appartement de Inaki Ici

• Inaki venait d’arriver à l’académie. Cela ne lui avait pas prit autant de temps que il aurait penser. Il avait passé son temps à rêver sur le chemin, il était content d’aller s’entrainer bizarrement ses réussites de la vieille, avait mit un tigre dans son moteur. Il était prêt à apprendre. Il avait récupérer ses forces, et était prêt a se donner a cent pour cent. Il était aussi exciter de rencontrer d’autres shinobis en apprentissage comme lui. Il savait que un jour il ferait partit d’une équipe, il était donc temps de se familiarisez avec eux tous.
  
  Quand il entra dans le bâtiment, il y avait une foule de jeune personnes allant de 13 a 17 ans environ il avait tous l’air d’être étudiant, vu que leur bandeau était invisible aux yeux du jeune Nara. Il s’avança et accosta un des jeunes pour savoir ce qui se passait.
  
  Dit moi pourquoi temps de monde est présent aujourd’hui ?
  
  [Etudiant]Tu ne sais pas ? Tout le monde est présent pour s’entrainer dans la salle commune, tu ne sait pas combien de temps nous avons tous attendu d’apprendre ensemble.
  
  Inaki sourit. Lui aussi avait attendu. Il commença alors a suivre les flèches qui avait été mit spécialement aujourd’hui pour faire découvrir la pièce au étudiants lorsqu’il y entra il découvrit quelque chose d’impressionnant.
  
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  A première vue, l’endroit avait l’air un peu vide, mais cela était dut au faite que les étudiants était encore en train de discuter a l’extérieur. Lui ne connaissait encore personne. La salle était grande, et lui plaisait. Il aurait assez de place pour s’entrainer. La seule chose qui l’intriguait était de savoir qui il rencontrerait ici. Chaque personne était différente, enfin il l’espérait. Il devait approcher les personnes différemment. Certaines personnes étaient discrète d’autre faisait le premier pas. Il en savait au se situer. Il savait tous du moins qu’il était un peu discret. Les étudiants qu’il rencontrerait ici seraient un jour peut-être ses futurs coéquipiers, des personnes sur qui il devrait poser sa confiance autant en mission que dans la vie de tous les jours.
  
  Il avait beau réfléchir il ne pouvait s’empêcher de s’ennuyer. Il fallait trouver autre chose a faire que de rester assis la, a ne rien faire. Sur, il avait besoin d’un sensei pour apprendre des techniques, mais se sensei prenait du temps. Il devrait donc s’entrainer. Il avait beau être Pro-Ninjutsu un peut de force physique pourrait le sauver un de ses jours. Il commença alors à courir faire des tours de la pièce, tours de tatami. Pendant cela il continuait de se poser des questions.
  
  *Je sais que pour former une bonne équipe il faudrait au moins un Pro-Medecine. Mais ils sont rares et tres apprécier de tous. Je suis sur que les Pro-Tai ne sont pas tares difficile a trouver ici rien que a voir els autres élèves dans le couloir ont peut le deviner. Les Pro-gen c’est encore une autre histoire aussi rare que les Pro-Med. Je verrais sa plus tard, de toutes façons je ne choisirais pas mon équipe. Mais je sais que les personnes en charge de décider cela savent ce qu’ils font. Du moins je l’espère…*
  
  A se moment ils e rappela de tous les hauts gradés qu’il avait rencontré jusqu'à cela. Il y avait La garde. Il ne connaissait toujours pas son nom mais il savait qu’elle était haut gradée. Le jeune Nara l’avait sentit dans la puissance des coups qu’il avait reçu de sa par. Elle l’avait presque tué sens vraiment se fatiguer. Puis il y avait Inuzu. Il homme puissant, il ne savait rien de lui a part qu’il pourrait être Pro-Tai en vu du coup qu’il lui avait donné. Un jour, Inaki les rattraperait, et leur montrerait qu’il était un bon ninja. A se moment la porte de la salle s’ouvrit.

Edit:

Le soleil tardait à se lever, tant et si bien qu'un air frais fit son apparition, s'accouplant avec mon visage, chaloupant avec mes cheveux.
Je le sentais gémir et hurler, soulevant une fine couche de sable qui fouettait et lacérait mes tibias.
Je levai la tête au ciel et remarquai que certains nuages s'accumulaient aux loin, masses nébuleuses et atrabilaires chargées de déverser leur flot discontinu d'eau sur le désert.
Cela ne m'inquiétait guère bien que ce temps soit singulier et atypique, je n'en avais cure.
J'étais quelques peu agacé devant ce temps perdu à élaborer des réponses concrètes pour une simple formalité.
Contrairement à ce que j'avais espéré, je ne m'étais que trop peu entraîné pour le moment et bien qu'allant à la salle d'entraînement commune dans ce but, je souffrais de m'être déplacé pour rien, si ce n'est des compliments qui sonnaient aussi creux que des coquilles vides et qui puaient l'hypocrisie à plein nez.
Seul sa dernière phrase retint mon attention, « soit fière d'être un Kaguya », « n'ai aucun scrupule ».
À l'évidence, il connaissait bien les Kaguya, tout du moins suffisamment pour les avoir côtoyé.
Par ailleurs, n'oublions pas que je ne pouvais savoir que son maître n'était autre qu'un frère de clan, un Kaguya traître à son clan.
Je chassai ces idées noires et pessimistes de ma tête pour laisser mon esprit vagabonder dans les rues de suna, profitant du paysage avec un recul certains, ce qui me permettait de ne point m'attarder sur tel ou tel tergiversations.
Hélas, c'était sans compter sur mon esprit prompt à tous débats.
Après tout, c'est l'exalte capacité au compromis qui fait d'un homme un homme intelligent.

Je cheminai tranquillement lorsqu'un événement attira mon attention.
Des moines priaient bruyamment et aussitôt mon esprit vagabond se permit quelque instant à lui pour démêler le pourquoi du comment.
Je n'ai vu que billevesées dans toutes les religions que j'ai pu rencontrer.
Aucune n'a de consistance, la plupart des dieux étant des névrosés mégalomanes et paranoïaques, à en croire ce que disent leurs propres adorateurs.
Je ne comprends pas comment ils pourraient survivre à leur propre folie.
Mais il n'est pas exclu que les humains soient incapables d'interpréter un pouvoir si démesuré par rapport à leurs insignifiantes personnes.
Peut être les religions sont-elles des reflets distordus et pervertis de la vérité ? Peut être existe-t-il des forces qui façonnent le monde ?
Je n'ai personnellement jamais compris pourquoi, dans un univers si vaste, un dieu se soucierait d'une broutille aussi triviale qu'une destinée humaine ou qu'une quelconque vénération dont il serait objet.
Je me souviens le laïus que m'avait tenu mon père il y'a longtemps de cela, lors de l'un de nos innombrables débats.
Il soutenait que nous sommes nous-même les dieux, que nous forgeons notre propre destin.
Que ce que nous sommes détermine ce qu'il doit advenir de nous.
Pour l'exprimer en langage vulgaire, nous nous engluons chacun dans notre propre glaise et nous ne pouvons plus nous en dépêtrer, ni seuls ni même avec l'aide des autres.
Il m'avait dit aussi qu'il existait une sorte de dieu.
Un dieu qui n'engendre ni mouvement ni agitation, un dieu qui nie, un finisseur d'histoires, sa faim est insatiable, l'univers lui-même glissera inexorablement vers le gouffre de sa gueule ; la mort.
Tout mon être hurle contre l'injustice de la mort, tout ce que j'ai été, tout ce que je suis et serai sans doute encore est conditionné par ce désir irrépressible d'échapper à ma propre fin.

*J'aurais bâtis un monde où j'aurais été en sécurité, la mort aurait formé la pierre angulaire de ma citadelle. *

Un sourire sarcastique s'afficha tristement sur mon visage habituellement impavide, premier depuis une époque révolu.

*Nous sommes tous égaux devant l'abysse, non ? Le sablier s'écroule pour tout le monde. La vie est un cris éphémère dans les mâchoires de l'éternité.
Que l'on soit paysans ou riche seigneur, cela vaut-il vraiment le coup de se battre pour quelques plaisirs subjectifs dont nous pourront jouir que de brefs instants ? *

Déprimé par cette tirade silencieuse et maussade, je poursuivis, le pas un tantinet plus lourd, ne souhaitant pas rester devant cette assemblé prosélytisme.

Je mis peu de temps avant de découvrir de mes yeux la grande salle d'entraînement, commune à tous, et sans attendre, entrai, découvrant l'intérieur avec une animosité restreinte..

HJ / Voilà, j'éspère m'être ratrappé du post précédent à ma salle d'entraînement, dont la petitesse me désole mais la fin justifie les moyens.. /HJ

Shisui quitta sa salle d’une excellente humeur, mais durant les quelques pas qui le séparait de salle d’entraînement commun, il fut en proie à une agitation mentale, à des doutes. Son orgueil le poussait à faire une entrée digne de son nom, mais en même tant plus de discrétion et un statut plus d’observateur, réfléchir, analyser, observer, avant d’agir. D’un autre côté, la première impression était souvent primordiale, et pouvait dors et déjà conférer dans l’esprit de ses peut-être futurs coéquipiers un statut, une stature, digne de son rang (qui tient autant de l’inné : son sang que de l’acquis, son « initiation »). Toutefois, l’idée d’être sous-estimé un temps pour mieux surprendre après lui plaisait bien, cela pourrait aussi lui assurer une progression fulgurante. Pendant que la part consciente de son esprit jaugeait le pour le contre, essayer d’estiment les possibles conséquences de ses deux attitudes, son inconscient se remémora les derniers liens qu’il avait eus avec les personnes de son âge : conflictuels ; il l’avait poussé à fuir, fuir encore et encore, se souvenir le marquait encore. Lui qui avait toujours était précoce et avait préféré la compagnie de gens plus âgés que lui, la perspective de se retrouver avec des personnes de sa génération (ou presque puisqu’il était sans contexte le plus jeune étudiant) ne l’enchantait guère inconsciemment. Et c’est pourquoi il optât pour une prise de distance vis à vis d’eux et en cela le statut d’observateur lui parût préférable.

Il entra discrètement dans la salle tâchant d’être le plus silencieux possible sans tomber dans l’exagération qui l’aurait de toute façon fait remarquer. Il glissa le long du mur jusqu’au coin le plus proche où il demeura silencieusement à observer discrètement les étudiant présents puisque le sensei n’était pas encore arrivé. D’après la nouvelle politique de Suna, il pouvait déduire qu’il avait là rassemblée l’élite des étudients sunéens, le « top 4 » d’après ce que lu avait dis Inuzu. Il commença donc à analyser les deux étudiants présents. Il était tous deux plus âgés que lui de trois-quatre ans estimait-il. Il avait bon être à peu près de la même taille qu’eux, il n’en demeurait pas moins que son visage avait gardé des traits enfantins qui trahissait son jeune âge (onze ans). Cependant il n’avait aucun complexe vis à vis de cela, les Uchiwa commençait plus jeune, lui-même étant un peu vieux pour débuter, vu la facilité avec laquelle, il réussissait les justus, il aurait pu commencer plus jeunes, mais tous n’avait pas l’aisance des Uchiwa pensait-il. Il n’y avait qu’à voir celui qui tentait le clonage, il mettait plein de bonne volonté, mais il avait besoin d'un sensei car là, il n’avait aucune connaissance précise en la matière, et le résultat s’en ressentait et puis il aurait intérêt à se regarder dans des miroirs car son dos et l’arrière de sa tête péchaient au niveau de la ressemblance, ce n'était pas si évident. Il faillit le lui dire mais cela serait trahir sa discrétion. Inconsciemment, il ne voulait toujours pas aller vers les autres et préférait rester en retrait, à observer. Ce qu’il fait en détaillant l’autre étudiant, il avait l’aire d’être doté d’une grande impassibilité, digne des Stoïciens qui prônait l’ataraxie.

*Intéressant*

Il avait également un sceaux scellé et l’examina en détail, il lui disait vaguement quelque chose, il lui semblait avoir déjà lu un article à ce sujet dans la bibliothèque de ses parents. Mais son souvenir se perdait dans les milliers et les milliers d’autres articles qu’il avait parcourus, et en cela il était très flou. Il fit de grands efforts pour se souvenir de quoi il retournait exactement, se concentrant sur la marque… en vain. Contrarié de la défaillance de sa mémoire qu’il croyait jusqu’à lors excellente, il rêvassa un peu et revint à son analyse, ce jeune homme l’intriguait. Il avait vaguement l’intuition que ce qu’il avait lu avait rapport aux Kaguya, ce qui correspondait à son physique et à son expression. Oui, plus il le regardait plus il en était sûr.

Quant à lui, le symbole des Uchiwa ornementait ses épaules, ce qui ajouté à son physique caractéristique ne laissait guère de doute quant à son appartenance à la lignée des détenteurs du Sharingan. Il continua d’observait en silence dans un coin le jeune Kaguya, évaluant le profile de celui-ci, les avantages qu’il pourrait tirer des ses capacités héréditaires et de son peut-être futur rôle dans son équipe.

[Faut avancer^^]

Contrôler mon chakra ne semblait pas évident au premier abord. Comment faire ? Bonne question auquel je devrais m'efforcer de répondre sous peu. Devrais-je une nouvelle fois me visualisé en tant qu'entité voguant comme bon me semblait dans mon propre corps ? Cela pouvait être une solution envisageable et j'allais m'y résoudre en vue de la pauvreté de l'antithèse. Une fois de plus, je fermai les yeux et cherchant l'apothéose, le nirvana de ma concentration, j'attendis que quelque chose m'emporte pour m'emmener là ou je le désire, bien que je ne sache pas vraiment ou aller. L'attente parut interminable et lorsque je me sentis projeté hors de mon corps, j'en étais plus que satisfait. Tout commença par tourner dangereusement, puis, mes pieds se soulevèrent, tout du moins, je ne sentais rien en dessous de moi. Ceci ne dura que peu de temps, mais je me sentais las et malade. Pris de vertige, j'ouvris les yeux pour découvrir un noir absolu, une encre indélébile. Ou suis-je ? Serais-je dans le néant ? Dans l'abysse dangereuse ou converge tous les mondes ? Au point zéro de mon corps ? Tant de questions qui m'assaillirent, en vain. Je n'avais hélas aucune réponses et j'étais trop déconcerté pour essayer de les résoudre. Cela n'était pas comparable avec mes expériences passé. Auparavant, je m'étais retrouvé devant une source, certes dangereuse selon moi mais belle et limpide ce qui en résultait un sentiment de plénitude absolu, d'invincibilité. Alors que là... j'étais comme.....dénoué de sentiment, oui c'est çà, rien ne m'affectait, rien ne m'atteignait. Je semblais comme coupé de toute humanité et je ne pouvais dire qui j'étais. Dans ce monde, je n'avais ni passé, ni prénoms, ni Nom rien.. Tous n'étaient que densité nébuleuse et aucun indice ne parvenait à filtrer cette masse compact et taciturne. Tel un zombie, je commençai à marcher, ne sachant absolument pas ou aller car j'avais même oublier le pourquoi de ma présence ici. Un pas lourd et traînant, empli de lassitude me portait tant bien que mal dans cet univers inusité et atypique. J'étais comme anesthésier, complètement...vide, voilà, une coquille vide qui marche sans but dans un néant infini.
Je ne comptais plus à présent les minutes ni même les heures, le temps semblait s'être évaporé de ma conscience, tout comme le monde réelle. J'avais oublié que je possédais un corps dans l'autre monde., oublié qui j'étais, oublié pourquoi j'étais....plus rien n'avait de sens à mes yeux mais cela ne m'inquiétait nullement, encore moi le fait que j'étais un parfait inconnu. La seule réalité que je parvenais à percevoir était que j'étais perdu dans ce méandre infini et que je marchais sans doute pour rien. Mais cela ne me faisait ni chaud ni froid, pour preuve je poursuivis cette marche funèbre sans une once d'appréhension...
Cela aurait pu durer une éternité mais un événement insolite dans ce monde froid et morne venait de se produire. Je me trouvais devant une porte à présent et l'observai avec un détachement certain. J'en étais réduit à un tel stade de non-vie que je ne me posais plus aucune question. Je tendis ma main et sans attendre outre que cela, je tournai la poignée, comme si je savais ce qui m'attendais au-delà de ces deux battants. Quelle ironie, si un dieu subsistait dans ce monde, ce moquait-il de moi ? Sûrement. Néanmoins, je me trouvai dans la même situation que précédemment. Un homme sain d'esprit ou un homme tout court aurait déjà perdu la tête mais moi, non. Je me remis à marcher, inexorablement, indubitablement et d'autres portes apparurent. Parfois au nombre de trois, parfois en solitaire, mais une chose est sûr, je suivais un chemin tracé au préalable car je traversais chacune d'entre elles sans la moindre parcelle de doute dans mes mouvement. Une évidence me vint à présent, je savais où aller et je m'y dirigeais à pas plus grand et plus entraînant, à croire que finalement, je n'étais pas dénoué de toutes sensations....
Ce subit relent d'excitation se dissipa relativement rapidement tant la monotonie du voyage devenait lassante et exténuante. Mes jambes gardaient leur foulées régulière mais je sais que à cet instant, j'étais à deux doigts de m'effondrer, mort de fatigue. Après tout, tous n'étaient que illusion en ce monde taillé de toute pièce dans mon imagination qui me retenait prisonnier, sans que je ne puisse m'y opposer tant ma léthargie était grande. Les portes se multiplièrent et je les enchaînais à présent sans me soucier d'elle à un rythme croissant. Pourtant, un détail pourrait interpeller n'importe qui doué de faculté mental. Comment parvenais-je à choisir quelles portes je franchirais-je ? Car lorsque j'avançai, je ne m'arrêtais pas pour réfléchir, non je fonçai droit. Connaissais-je le chemin ? Ou quelque chose me guidait à travers ce dédale ? Pour ma part, je ne pouvais me poser ce genre de question, mais il est vrai que cela peu paraître déconcertant à première vue...
Je ne sais ce qui se passa, mais à l'instant même ou je franchissais une porte, tout devint brouillé et flou à mes yeux et mes vertiges reprirent. Je ne compris pas sur le moment et même lorsqu'une lumière vive et pure m'aveugla de sa blancheur je ne saisis pas trop bien la situation.

*Suis-je mort ? Est-ce le paradis ? *

À l'évidence non car dès que ma vue me fut rendu, tout me revint, de ma naissance à l'entraînement en cours. Toute ma mémoire perdue précédemment semblait être de nouveau présente. Mais le plus étrange était que je me souvenais de tous mes actes dans ce monde mystérieux, de toutes les portes que j'avais franchies ; de tous, alors que lorsque je m'y trouvais, je ne me rappelais de rien, ni mon nom, ni mes origines, ni même mon prénom. Je clignai des yeux rapidement pour m'habituer à la luminosité ambiante et d'un bref regard à Inaki, je remarquai que mon voyage n'avait duré que peu de temps, seulement une ou deux secondes. Alors, toutes les questions jusqu'à présent contenues assaillirent mon cerveau.

*Où étais-je ? Sûrement dans la représentation de mes méridiens. Que faisais-je ? Pourquoi ne me rappelais-je de rien à ce moment précis ? Comment parvenais-je à me diriger dans ce méandre ? Pourquoi et comment suis-je revenu ? .... *

Tant de question sans réponse qui me traversaient de pars en pars sans que cela m'inquiète. Mon esprit était dirigé dans une seule direction. À quoi cette traversée m'a-t-elle servie ? Je voulais dire que normalement, cela m'avait donné une maîtrise du chakra relativement bonne mais je ne ressentais rien, hormis le flot d'énergie qui circulait en moi depuis que je l'avait libéré de son joug. Je levai mes mains devant mon visage et tentai vainement de déceler une once de changement. Rien. Je soupirai. Avais-je traversé cette épreuve éprouvante pour rien ? Non, j'en doutais. Toute chose à un but, et je comptais bien trouver celui-ci. Mais comment ? Je réfléchis quelques instants avant de deviner une solution qui me paraissait plausible. Je me concentrai intensément sur mon bras droit, cherchant à l'évidence à diriger un maximum de chakra dans ce membre et ainsi augmenter ma force.
Des portes s'ouvrirent, d'autres restèrent clause. Un vrai puzzle. Mais je remarquai que ce monde ne m'obstruait pas la pensée comme précédemment. Il restait d'un noir profond et diluvien, comparable au néant ou à l'abysse de la terre mais je savais pourquoi j'étais là-dedans et qu'est ce qu'il fallait faire avec une maîtrise totale de mes mouvements et de mes choix.
Petite explication pour m'éclairer moi-même. Je cherchais à ouvrir des portes et à en fermer d'autres dans l'unique but de rediriger mon chakra pour en concentrer une plus grande partie dans mon bras droit, ou plus précisément dans ma main droite. Je l'avais deviner, ces dernières avaient le pouvoir de diriger mon chakra dans mon corps ; par ailleurs, je pensais que ces dites portes n'étais autre que mes diverses tenketsu, tout du moins à la représentation que je m'en faisais. Voilà, et j'espérais que si je parvenais à faire taire quelque uns d'entre eux, le chakra, ne pouvant pas passer, trouvera une autre voie, que je m'efforçai à construire en direction de mon poing justement. La tâche n'était pas aisé mais je pensais pouvoir m'en sortir sans trop de difficultés.
Après quelques manipulations, quelques échecs, je jugeai bon de revenir en mon corps, jaugeant ma prestation et le chemin que je venais d'ouvrir satisfaisant. À présent, une dernière tâche m'empêchait de parvenir à mes fins. Cependant, ce n'étais pas la plus difficile car il suffisait simplement d'effectuer un signe de main pour pouvoir libérer hors de ma main le chakra et m'en faire une sorte de protection, d'armure ou d'arme. Me mains se joignirent ensemble et un déclic retentit dans ma tête, annonçant ainsi cette étape comme achevée.



Un fin halo bleu couvrait à présent ma main ; il ne me restait plus qu'une chose à faire, frapper mon adversaire qui en l'occurrence était le pauvre pantin. D'un geste circulaire, fluide, rapide, gracieux et économique, le côté de ma main tendue percuta horizontalement le cou de mon opposant, séparant la tête du corps. La coupure était nette et satisfait je jugeai que la technique était acquise. Le fine couche azurée disparu aussitôt et bien que mourant d'envie d'attraper la tête du pantin pour l'envoyer valser loin de mon regard, je me retournai et les mains dans les poches je m'avançai vers mon senseï, le visage toujours aussi immuable.. L'apprentissage avait durée environ 10 minutes, mais j'avais l'impression que cela avait duré plusieurs heures voir plusieurs jours..

« J'ai finis...... »


HJ/ Je tiens à signaler que mon perso est resté totalement impassible durant tout le long de cet entraînement, et que pour Inaki, je n'aime pas que l'on joue à ma place. je regarde on perso que si j'ne ai envie.. . Ce que je veux dire c'est que tu aurais pu mettre, j'espérais qu'ils me regardaient. mais tu ne pouvais pas l'affirmer. En gros, mon perso fais ce qu'il veut !!^^ Voilà, je suis peut etre chiant, mais c'est un principe, personne ne joue à ma place !! Donc, mon perso ne te regarde pas !!! HJ/

Néanmoins, lorsque j'aperçus le panier d'osier rempli de nourriture, mon estomac gargouilla et je sentais naître en moi une immense gratitude envers mes talents. j'avais réussi, il ne me restait plus que quelques pas à parcourir et alors.. C'est vrai ça, et alors ? Comment ferais-je pour redescendre ? Hummmm. Bonne question qui mériterait que je m'y penche. Cependant, je n'avais plus le temps, mon chakra étant trop faible.. Je parcourus les derniers mètres prestement et attrapai le panier du bout des doigts. Déjà, je sentais que mes pieds menaçaient de flancher et de se séparer de la surface du mur. C'est pourquoi, je rassemblai le maximum de chakra que je pus trouver dans chaque parcelle de mon corps avant de l'expulser dans mes pieds, dans une dernière tentative. Puis, profitant de ce sur-plus, mes jambes se plièrent ; je prenais mon impulsion. Qu'est-ce que je comptais faire exactement ? Une série de sauts impressionnant de par leur longueur et leur complexité. Cela va de soit, aucun ne doit échouer, sinon, se sera la mort. À l'aide d'une extension énorme, la plus grosse qu'il me soit donner de faire, je me projetai hors du plafond en direction du mur, quelques mètres plus bas. Je vrillai une fois et j'exécutai avec peine un flip arrière pour me retrouver dos au mur, les jambes prêtes à me réceptionner. Le temps semblait s'être arrêté et ne voyant pas le mur se rapprocher de moi, je priais tout les dieux que je connaissais de me donner une chance, une seule chance d'atteindre le mur. Et cette chance, ils me la donnèrent. Je sentis une surface lisse et dur sous mes pieds, mais cette fois-ci, rien, aucun chakra ne me permettait de rester en suspension. En l'espace d'une fraction de seconde après cette atterrissage précaire, je pris mon impulsion pour une nouvelle fois sauter. J'exécutai avec grâce le saut de l'ange, avec les rayons du soleil dardant mon dos, procurant ainsi un magnifique contre jour. Puis, une fois que je jugeai bon d'enclencher le dernier mécanisme, mon corps se mit en mouvement (dommage me diriez-vous tant ce saut de l'ange, ce saut de la mort si je puis dire, était céleste et beau.). Je lâchai le panier une fois que je jaugeai la distance me séparant du sol suffisamment courte pour qu'il ne s'écrase pas et je préparai mon atterrissage forcé. Mes deux mains se joignirent, et lorsqu'elles rencontrèrent le sol, mon dos se courba. J'espérai amortir la chute en effectuant une roulade. Une roulade, deux roulades. Je me remis debout et fis craquer les os de mon épaule qui me faisait encore cruellement souffrir dès que je fournissais un effort intense. Je hochai la tête en regardant le plafond.

* Je ne m'en suis pas trop mal sorti finalement. Certes mon dos risque de me lancer pendant toute la journée, mais je risquais plus gros. Os fracturé, entorse.. ou même la mort... Non, je n'ai juste écopé quelques blessures au bras, certes douloureuse, mais pas mortelle, loin de la. *

Je frissonnai en évoquant cette éventualité. Mais une fois cette peur passée, rétrospectivement, je savais que je serais fier de cet exploit. Comme quoi, l'appréhension de la mort peut vous amenez à commettre des folies, à vous transcender comme jamais. Je me tournai vers ma senseï et totalement impassible, d'ailleurs je l'étais resté tout le long de l'épreuve, je plongeai mes yeux dans les siens, sans pour autant envoyer un quelconque signaux. Non, je me contentai de la regarder ouvertement, m'approchant de mon panier. Je le pris et m'assis en tailleur avant de l'ouvrir. Puis, je regardai son contenu avec animosité tant ma faim était grande.

*Cela me redonnera vigueur et force.. *

Tout du moins l'espérais-je. La douce réalité de ma vie reprenait le dessus et je doutais retrouver un tel sentiment dans le futur. Sa avait été si éprouvant et si magique à la fois. Aucun mots ne peuvent qualifier cette expérience tout bonnement extraordinaire.

HJ/ Voilà, j'espère que la longueur est suffisante. Le post est plus court, mais au final, cela revient au même, enfin, tout est relatif, car là j'ai pas d'introduction presque alors que pour l'autre j'avais l'arrrivé à décrire. Bref, bonne lecture et encore une fois, étant le premier à poster, je tien à signaler que mon perso est totalement impavide durant TOUTE la durée de l'épreuve..
Quelque point cependant, je voulais faire remarquer que ma descente peut paraître un peu exagérée, mais ne pas oublier tout de même que je suis pro taï et donc voilà... et puis, un minuscule effet superman, sa peut être bien^^..
Encore autre chose, je n'ai plus de chakra, et il serait bon sam que tu précise dans ton prochain post que tu as mis des pillules dans les aliments car là, l'entraînement est fini sinon. Et j'ai pas envie qu'il soit fini !! .. Merci de ta compréhension ! HJ/

Il avait donc réussit.. il ouvrit les yeux lentement pour voir le pantin sens tête, et toujours aussi inerte, dépourvut de vie. Il fut rapidement rappeler a ce concentrer par son sensei. Elle commença donc a leur expliquer la suite des évènements. Il voyait que l’Uchiwa avait finit lui aussi, il avait du avoir une grande faciliter. Quel clan maudit tout était facile pour eux. Il chassa cette idée de son esprit, si il devenait coéquipiers, il devrait le supporter. Et puis, peut-être serait-il diffèrent des autres, il était jeunes, un bon entourage peu tout changer.

La technique sur laquelle il allait travailler maintenant serait l’adhésion. Il connaissait cette technique. Il avait lut deux différents livre dessus. Ont lui avait dit que l’un était faux, et l’autre vrai. L’un écrit par une personne voulant aider les future shinobi, l’autre par une personne qui ne voulait que richesse et gloire. Il devait donc chercher et savoir laquelle des solutions étaient la bonne. Cela ne devrait pas être très difficile, il devait réfléchir un petit bout de temps. Les deux techniques étaient très différentes il choisit donc la plus logique selon lui.

*Si je me rappelle bien il faut injecter du chakra vers la plante de ses pieds, le chakra doit être constant. C’est comme la maîtrise du chaka, je voit pourquoi nous l’avons apprit.Il faut donc une descente du chakra régulièrement vers les pieds et changer ce chakra en une sorte de colle. Si tout s’effectuait bien je pourrait réussir.*

Changement a la première personne.

De l’autre cote, le Kaguya semblait avoir réussit. Il manquait quand mémé de chakra ce qui faillit lui coûter très cher. Il fit quelques bons digne d’un Pro-Taijutsu qu’il était. Je me demandait si cela m’arriverait vit que je n’est ses dons physique. Mais il fallait prendre en compte que je possédait plus de chakra que lui. C’était une vérité éternelle. Sa force physique en le sauverait pas tout le temps. Moi je m’entraînait chaque jour pour augmenter ma masse physique et ainsi ma force et vitesse. Lui son chakra augmentait lentement. Mais assez parler je devait me concentrer.

Me concentrant les mains coller l’une contre l’autre je commençait a faire glisser mon chakra vers la plante de mes pieds je le sentit après quelques secondes. En ouvrant les yeux je vis tune petit vague d’air expulser autour de mes pieds, comme lorsque l’ont jette un cailloux dans l’eau et l’ont voit l’onde s’entendre encore et encore. Je e perdit pas mon temps et je commençait donc a monter le mur lentement. J emit mon premier pieds, et attend ut d’être sur qu’il tenait. Puis d’un bon je posait mon deuxième pieds. Je commençait a marcher quand j’étendit un crac. Le papier peint se retirait me laissant gigotant au dessus du vide un seul pieds au mur. Rapidement en me calmant je remit l’autre pieds.Mais a chaque pas je sentait le mur faiblir, la ‘’Colle’’ sous ms pieds était pourtant bonne . Je m’arrêtait donc pendant un moment. Ce fut une erreur le mur lâcha sous mes pieds, me laissant tomber au sol une descente qui n’était dangereuse vue ma distance du sol. Mai prit de surprise je tombait dos premier. La douleur était puissante et présente, comme lorsque l’ont sauté ans une piscine visage plat comme une étoile de mer.

J’avait donc rater je devait donc utiliser la deuxième technique. Presque pareille que la première, mais restait une variation de l’exprimer. En fermant les yeux je vit directement la rivière de nouveau. J’était donc sur al bonne voie. Je commençait donc a faire couler le chakra, mais cette fois c’était plus constant. La ri vire se dévia puis je voyait des gouttes tombait avec un décalage égales, même secondes, même moment. Doucement mais sûrement. Il fallait donc en finir. Je prit mon temps et ouvrit les yeux. De nouveau une vague, une onde s’expulsa de mes pieds. Je commençait donc a poser mon pieds sur le mur. Je fit sortir mon chakra et le fit en quelques sortes fusionner avec le mur. Puis je produit une attraction entre la partie qui fusionnait et fusionnerait a chaque pas, et mon pieds me tenant donc a chaque pas. Quand je fut sur d’être stable d’un nouveau bon, mon deuxième pieds rejoignit l’autre.

Maintenant, il était temps. La haut ou j’était mon corps bougeait encore comme, comme une ficelle que le vent emportait loin. Je gardait donc mon calme, et redevins stable je fit un pas. Cette fois le chakra entra dans les pari cules du mur puis y fut emprisonner puis aspirer vers moi, en tenant la haut. Chaque pas était de moins en moins apeurer. Je prenait de la confiance, je marchait maintenant normalement. Je fit quelques pas puis je commençait a courir, enfin je veut dire trotter en quelques sortes. J’arrivait donc a environ un mètres du panier rapidement. Puis d’un coup je sentit, comme un coup au coeur, mon chakra commençait a manquer, il me restait tout au plus une quinzaine de secondes. Je commençait alors a courir vers le panier, et l’empoigna a deux mains. Je me mit a courir vers le cote du mur. Je venait déjà de perdre environ une dizaine de secondes. Mes pieds menaçait de flancher et d me laisser tomber. Je commençait a accélérer le pas mais je ne pouvait aller plus vite. Lorsque je fut Presque a la moitie du mur donc a une distance raisonnable mais toujours aussi grande, mes pieds se décolèrent du mur. Je vit le sol s’approcher. Dans un raisonnement rapidement, digne de moi, je laissait le panier tomber sur le coter. Puis d’un appuis rapide sur le mur, enfin aussi rapide que je le pouvait, je me poussai sur le coter. Le sol se rapprochait rapidement j mit mon épaule gauche en premier, lorsqu’elle toucha le sol je sentait que mono s avait un peu bouger et était devenu comme qui dirait ‘’Élastique’’. Je devait donc le replacer. Me relevant documents de ma chute je me dirigeait vers le mur, tenant mon épaule. La je prit mon soufflé et envoyât mon épaule vers le mur. On entendit un crack, puis un grognement s’échappa de ma gorge. Au moins mon corps allait bien j’avait échapper un séjour a l’hôpital. Ma main qui était crisper se relâcha et redevenu normal. La douleur était toujours présente, mais je savait la cacher, c’était ce que tous Shinobi se devait de faire.

J’avait donc réussit? Enfin, j’avait eu de la chance. Je me dirigeait donc vers le panier. Certains aliment était reverser hors du panier. Je m’approchait et les remit a l’intérieur. De l’autre cote le Kaguya avait déjà commencer son repas. Il avait un don de Taijutsu qui ;’avait sauver, et moi j’avais mon esprit qui lui aussi m’avait sauver. Je me demandait si l’uchiwa avait réussit. Mais ce n’était pas ce qui attirait mon attention pour l’instant [Ventre gargouille] J’attrapait donc mon ventre puis commençait a me sustenter. La nourriture était bonne. De toutes façon je n’avait rien d’autre a manger maintenant. Je continuait a manger espérant reprendre des forces. Je pensait que mon chakra était épuiser. Et il l’était. Si je voulais continuer, si l’ont voulait continuer l'entrainement, il faudrait se reposer, ou recevoir des pilules. Je regardait mon sensei un cours instant elle était concentrer sur quelques chose mais, qu’importe.

[comme yukimura, j’aimerais que l’entraînement dure plus longtemps et je trouve son idée des pupilles très intéressante. J’espère seulement que tu approuve. D’un autre coter, ton bon était un truc de fou Yuki trop superman, mais cool quand même^^]

Le souvenir est une chose capricieuse, souvent provoqué, il sert les hommes. Cependant les plus puissants, tel que celui attaché à la madeleine, surviennent à leurs guises et prennent les hommes étonnés pour les captiver les ramené à instant en arrière. Ainsi Shisui, se laissa prendre et revit comme dans un rêve la scène d’y il avait quelque instant de son apprentissage de la maîtrise du chakra. Suivons-le.


Deux jeunes hommes s’observaient, le premier, grand et élancé mais encore au crépuscule de l’enfance, les cheveux noirs de jais, les yeux du même teint, un Uchiwa de haute lignée, adossé dans un coin avait prit l’initiative du premier regard et l’autre, grand et mince aux cheveux d'un blanc laiteux tels des opales, et aux yeux d’un subtil alliage de rubis et d’émeraude, un Kaguya digne de la légende, le lui avait rendu, provoquant, il léger sourire de la part du premier, celui-ci pouvait désormais lire dans l’esprit de son interlocuteur comme dans un livre –du mois était-ce ce qu’il croyait. A présent il était les yeux dans les yeux à ce fixait intensément. Le premier Uchiwa Shisui puisqu’il faut l’appeler par son nom, qui débordait à lors d’orgueil voyait en la personne en face de lui qu’il y avait en ce domaine un concurrent redoutable. D’après ce qu’il pouvait percevoir l’autre le prenait de haut sûr de sa supériorité, plein d’une arrogance souverainement voilée par un masque d’impassibilité ; sans doute n’avait-il pas conscience de son propre orgueil, préférant relever la paille dans l’œil d’autrui.

Sous-estime-moi tant que tu voudras, ta surprise, ton étonnement, ton ravissement n’en sera que plus grand, pensait-il. Cependant, il du toutefois bien reconnaître qu’il avait en face de lui un être exceptionnel, plein de noblesse qui assurément méritait le titre princier. Oui, à être objectif, ce descendant d’une illustre lignée, jouait dans la même coure que lui, il était digne d’être son coéquipier, son partenaire. Le jeune Uchiwa plongea plus en avant, plus intensément encore son regard dans celui du Kaguya, cherchant à graver dans son mental, le caractère de son futur partenaire, prémisse d’une alliance, symbole d’un lien.

Moult données, grâce à la connexion établie par leur regard entremêlé, abreuvait Shisui qui n’avait pas le temps de toutes les analyser faute d’expérience –il était encore fort jeune et venait de débuter- et faute d’acuité –il avait beau posséder des yeux exceptionnels même pour un Uchiwa, son Sharingan n’était pas encore éveillé- toutefois, il y a un début à tout et il débuta l’analyse, esquissant au fur et à mesure le portrait de sa personnalité, et on pouvait dors et déjà discernait l’allure d’un Stoïcien. Malheureusement, il ne put continuer son esquisse, étant ramené à des préoccupations plus matérielles à savoir ici l’arrivée de son sensei, l’entraînement.

Shisui écouta attentivement la jounin, hum apparemment la kunoïchi dont avait parlé Nara Inuzu n’était finalement pas du rendez-vous… Dommage, un peu de diversité n’aurait pas fait de mal et avoir une femme à ces côtés n’aurait pas été de refus notamment pour la relation avec les civils (à son âge et avec son éducation, il ne voyait que l’intérêt pratique en vu des missions et nulle autre chose là-dedans). Son sensei temporaire avec un côté maternel qui tranchait avec celui de Kagutsuchi. Mais il ne prit guère le temps de l’examiner, elle ne faisait que passer leur enseigner les techniques les plus basiques et après il était peu probable qu’il est affaire à elle dans l’immédiat, il aurait alors le temps de l’étudier en détail, il était plus urgent de s’intéresser à ses probables futurs coéquipiers avec qui il allait remplir ses futurs missions à une échéance sûrement très proche. Elle en cita, les noms. Le plus musclé, sans doute était le pro-taï et Kaguya, il en avait d’ailleurs, la démarche, l’expression qui se retrouver en ce Yukimura porter proche d’un Idéal, que déjà il affectait. L’autre était sans doute donc le Nara, jusqu’à lors il n’avait pas eu l’occasion de dévoilé son intelligence, mais Shisui savourait l’idée d’une possible saine émulation à son niveau avec lui. Il aurait enfin des personnes à qui se comparer et dont la lutte pour devenir le meilleur leur ferait un très bon entraînement. En outre, il ne doutait de l’efficacité de leur association plus encore que pour l’entraînement, pour les missions qu’ils seraient sûrement appelés à accomplir. Car il faut dire qu’il était parfaitement complémentaire, ils rassemblaient les trois voies majeures (la médecine n’est venue que plus tard) et étaient tous issu de clan puissant.

Déjà des tactiques et des stratégies s’élaboraient en masse dans l’esprit du prodigue évaluant toutes les combinaisons possibles afin de s’adapter à toutes les situations imaginables. Déjà il concevait des tonnes de plan tous plus astucieux, plus imaginatifs, les uns que les autres. Il prévoyait, il simulait. Cette gymnastique mentale l’éveillait, il employait à fond ces capacités, et en ressentait une grande excitation, pour lui qui n’avait pas connu les affres des missions, qui n’avait pas vécu les blessures des combats, il prenait cela presque pour un jeu. Et en théorie, il excellait, restait à voir en pratique. Il manquait encore tant d’expérience ! Mais à cela il comptait bien remédier. A l’entraînement, au programme la Maîtrise du chakra.

Un sourire éclaira son visage c’était son justu favori, à vrai dire quand on sait que son Nindo est de parvenir à la quintessence de la maîtrise du chakra, c’est fort compréhensible. Il était fasciné par le chakra, son mode d’utilisation. Cette énergie vitale permettant à l’homme d’accomplir des prouesses, des exploits, des miracles était au centre de son attention. La majeure partie de ses efforts tendait à apprendre à utiliser cette énergie, à la manier à la perfection, à la maîtriser totalement. Pendant des années, il s’était dors et déjà attaché à en parfaire sa manipulation. Il avait employé à cette fin somme de technique de concentration, de visualisation, de méditation ; et il parvenait déjà à son âge à réussir certaines démonstrations des plus avancées. Mais cela n’avait jusqu’à lors aucun intérêt direct sur ses capacités de shinobi. Le justu intitulé « maîtrise du chakra », lui en avait ; cependant jamais il n’avait tenté de l’exécuté tant il pensait qu’il ferait bien mieux avec un sensei et que cela valait sans doute la peine d’attendre.

Pourtant à présent, il se retrouva fort dépourvu car il n’eut le droit qu’à des explications on ne peut plus sommaire et surtout aucune démonstration. Or comme tout Uchiwa, il avait beaucoup plus de facilité à exécuter une technique, une fois qu’il l’avait vu de ses propres yeux. Aussi se refrogna-t-il quelque peu car ici à Suna, jamais, au grand jamais il n’avait eu jusqu’à lors droit à une quelconque démonstration. Certes, il n’en avait pas réellement besoin, il avait toutes les capacités requises pour les justus basiques, surtout celui là qui était au centre de son intérêt, sur le droit chemin de son Nindo, mais tout de même, il aurait aimé une démonstration qu’il lui épargna du temps et des efforts, car il voulait avancer. Avec un peu de chance, s’il allait suffisamment vite, il pourrait participer à l’examen de chuunin, qui l’excitait par avance.

Faute de démonstration de la part de son sensei, il se rabattit sur les tentatives de ses condisciples, certain d’y apprendre quelque chose si ce n’est sur le justu, du moins, sur leur personnalité, leur manière d’agir. Le Kaguya, attira immédiatement son regard, apparemment au début perplexe sur la façon dont il allait s’y prendre pour contrôler son chakra, il essaya de le ressentir plongeant en lui-même pour accéder à un état de transe qu’il lui fournirait la clef de la maîtrise de son chakra.

*Que vois-je ? Décidément cet adolescent n’est point limité par son potentiel. Il a médité pendant en bref instant, certes d’une façon empirique, mais tout à fait naturellement, sans enseignement ni expérience préalable. Qu’il existe des êtres d’une stature proche de la même, me réjouit. Mais pourquoi craints-je autant la solitude ? Non, ne résonne pas de travers Shisui ! Si tu te réjouis, c’est qu’il sera une aide pour ta Mission, et Dieu sait combien tu as besoin d’aide tant l’ignorance des hommes actuels est grande.*


Il regarda ensuite le Nara. Il semblait ne pas se débrouiller si mal que cela, à priori, cela se sera bien mieux que ces clones. Oh, mais il est fou de libérer une telle quantité de chakra ! Il ne pourra pas la maîtriser (un comble quand on connaît le nom de la technique), il faudrait au moins l’expérience d’un chuunin, pour en contrôler autant. Ah, finalement, il vite repris le contrôle, cela donne un beau gaspillage de chakra, mais au moins maintenant, il sait comment s’y prendre. Parfois, c’est en tâtonnant que l’on trouve. Hum, à voir l’épaisseur de ses muscles et son rythme cardiaque, sa force doit avoir considérablement augmenté. Ce justu a des effets impressionnants chez ceux qui sont doté au départ de très faible capacité. Il doit possédait une force risible –il n’est pas le seul d’ailleurs…-. Oui, mais pour un Nara, c’est bien plus gênant, c’est par la force que l’on maintient quelqu’un dans l’emprise de son ombre ; il faudrait lui en toucher deux mots.

A présent, c’était à lui d’exécuter ce justu, un sourire éclaira son visage, avec tout ce qu’il avait vu et surtout tout ce qu’il avait lu et fait à la recherche de son Nindo, cela n’aillait être qu’une formalité. Cela l’aurait était, si n’y avait son orgueil mêlé à l’atmosphère de rivalité, à l’émulation ambiante. Aussi voulu-t-il se démarquer des autres, et pour cela il allait employer des exercices de haut vol appris lors de ses nombreuses séances passées sur la voie de son Nindo. Il prit une profonde inspiration, composa lentement les signes, malaxa son chakra et, au lieu de l’envoyer sur les nerfs pour augmenter sa maîtrise (car avait été son choix, la démonstration en serait plus impressionnante, en plus cela tombait bien ses « rivaux » avait choisit la force et la vitesse, il ne restait plus que la maîtrise contre des pantins) il l’envoya en ruban pour former autour de son bras droit une forme double hélicoïdale violette qui tourbillonnait rapidement. Quel est l’intérêt de cela ? Aucun, vous dis-je, strictement aucun si ce n’est impressionner la galerie. Ah, que peut-on être sot, mené par l’orgueil ! En plus, cela tourne à la bêtise quand la galerie ne regarde pas… Il mit trop de temps à s’en apercevoir et déjà le mal était fait : il était coupable d’un gaspillage digne de confrère manieur d’ombre, dont il s’était précédemment moqué. Ah, décidément le stoïcien n’était pas le seul à voir la paille dans l’œil d’autrui !

Se ressaisissant, il renvoyant son chakra tourbillonnant, au centre, sur les nerfs. Ceux-ci s’en trouvèrent vivifié, son contrôle sur ces propres membres s’en retrouva démultiplié. Aussitôt il se saisit d’un caillou d’une de ses poches et le jeta habillement sur un mannequin. Sa trajectoire décrivit une belle parabole et il percuta son voisin entre les deux yeux. Evidement, il y avait un truc, ce caillou était parfaitement équilibré, il aurait pu servir pour faire de magnifique ricochés, et en tournoyant, il avait fait un effet (bien connu des joueurs de tennis de table) engendrant ce genre de parabole. Il avait acquis en ce domaine une grande connaissance, mais même avec ton ce savoir, il aurait était incapable de ce genre de résultat cette distance avec sa maîtrise habituelle, risible. Satisfait de ce résultat, il s’était tourné vers l’Akimichi.


Revenu à lui-même, à la réalité présente, il se concentra sur l’adhésion. Ainsi il fallait enchaîner. Sans perdre de temps à quoi que ce soit, sans même regarder les démêlés de ses condisciples, il s’attela à la tâche. Il devait créer un lien avec son chakra reliant ses pieds aux murs et ainsi adhérent. La difficulté du justu tenait dans la bonne répartition du chakra. En effet trop de poids concentré en un trop faible volume, peut dépasser la résistance du matériau, son point de rupture et là, c’est l’échec assuré. Le tout était de trouver le bon équilibre, le juste milieu. Car oui le milieu est important, toutes les surfaces n’ont pas la même résistance. Shisui s’approcha du mur, le regardant attentivement.

*Hum, vu la disposition de la peinture, il doit y avoir une large couche de parpaing friable en dessus. Hum, idéal pour s’entraîner à l’adhésion, c’est une surface difficile, une fois maîtrisée, non pourrons aller sur tout autre type de support même végétal. Toutefois, gardons à l’esprit qu’il demeure toujours les vielle pierre de Suna en dessous. Celles-ci ont un point de rupture élevé, strictement aucun risque vu mon poids de le briser, même avec le surplus de ce panier repas, fusse-t-il de plomb. Je pourrais m’y retenir au besoin*

Il se concentra pour envoyer du chakra sur la plante des pieds, et il posa son pied droit sur le mur. Son chakra commença à infiltrer le mur, telle des racines spectrales pour l’agripper solidement. Lentement, il transféra du poids de son gauche à son pied droit, et finalement décolla le pied gauche une seconde et le reposa ainsi que son complémentaire. Puis se pencha en avant, il décelait une micro-fissure. En soi, rien de grave pour l’instant ; mais avec l’irrégularité du terrain et aussi peut-être de sa concentration, la chute le menaçait telle une épée de Damoclès.

Toutefois, vexé, d’avoir mal su répartir son chakra, il s’éloigna du lieu de l’humiliation pour parvenir au pied du chemin le plus court jusqu’au panier-repas, tenant à épargner ses réserves de chakra qui lui était compté. Lentement il marcha sur le mur sans se presser pour maintenir, des « racines spectrales de chakra » d’une envergure suffisante pour être en deçà du point de rupture. Surtout la lenteur lui permettait de prendre suffisamment de précautions pour éloigner tout risque de chute. Shisui était d’une nature très prudente. Face à cela il vit les efforts de ses condisciples, qui soucieux d’aller au plus vite, en négligeait certaines subtilités du justu d’où des chutes. Il leur lança d’une voix neutre, non moqueuse mais plus professorale :

« Rien ne sert de courir ; il faut partir à point »

Et démontrant le mouvement en marchant, illustrant ses propos par ses actes. Il marchant tranquillement jusqu’au panier repas, en prennent toutefois soin de retenir directement au pierre de taille lorsqu’il était eu plafond (sage mesure de prudence) et redescendit, plus vite toutefois à cause d’un manque flagrant de chakra. Et sa réception n’eut pas la grâce qu’il escomptait, ce qui faut insupportable à son orgueil qu’il le réprimandait d’avoir gaspillé son chakra en d’inutile démonstration, pour maintenant ternir l’image de la grâce des Uchiwa. Il se mit en lotus devant son panier repas, espérant recevoir des pilules pour poursuivre dès la fin de son repas, car il voulait être prêt pour l’examen des chuunin qui approchait à grands pas.

[Voilà, c’est juste pour débloquer. J’éditerai ensuite pour améliorer la qualité et développer un peu notamment l’adhésion]

[Je connais pas Sam, je ferais donc dans la mesure de mes moyens. Excusez moi pour le post qui s’annonce minable.]

Une larme fut refoulée. Son passé la rattrapait bien vite. Il ne fallais pas qu’elle craque devant des étudiants, ce n’était pas permis à son rang. Un léger gargouillement se fis entendre, elle aussi avait faim. Sa nature d’Akimichi la rattrapait-elle ? Bien entendu, son goût prononcé pour la bonne nourriture venait de ces gènes. Un bon repas, voilà ce qui pouvait faire oublier à Sam sa mélancolie. Un bon repas bien chaud...
Le repas se trouvait d’ailleurs la, attendant les papilles de Sam.



« Bien, maintenant que vous avez bien mangé, nous reprenons. Vous aller à présent faire trois techniques différant chacun et vous vous les enseignerez. »

Elle s’approcha de l’oreille de Yukimura en premier. Chuchotement imperceptible.

« Tu va apprendre la technique Kawarimi. Du dois insuffler du chakra dans ton sang pour qu’il aille nourrir tes muscles. Ces derniers seront alors plus productifs, tu gagneras en vitesse de déplacement et en esquive. »

Ce fus au tour de Shisui. Nouvelle parole susurrée.

« Tu va apprendre la métamorphose. Tu dois déposer une fine couche de chakra sur ta peau pour changer ton apparence. N’oublis pas de modifier aussi tes cordes vocales, c’est la partie la plus compliqué. Tu peux te métamorphoser en ce qui te passe par la tête si tu veux, du moment que ça émets des sons... »

Et enfin Inaki. Encore se même bruit sourd qui lui servait de murmure.

« Tu va apprendre la permutation. (elle fit un clone en même temps qu’elle lui parlé) Tu dois esquiver une attaque en remplaçant un objet par ton corps. Tu verras c’est pas si compliqué que ça en a l’air. Lorsque tu te sentiras près, mon clone t’enverra un kunai et tu devrais utiliser la technique. »

[Yukimura : Adhésion acquise.
Inaki : Adhésion acquise
Shisui : techniques acquises.
+80 de chakra chacun après avoir mangé. Dernière fois que quelqu’un fait ça. Le but d’NG n’est pas de faire des entraînements à la chaîne...
Pour ce qui est de la suite, cela mérite quelques explications. C’est un nouveau système de Raijin que l’on étudie partie Admin, je vais le mettre en application voir si ça peu marcher.
Vous allez tous apprendre vos techniques ici, comme d’habitude puis vous partirez en ville, dans un endroit quelconque (après repos ou pas, suivant la réserve de chakra qu’il vous restera). La bas, vous enseignerez ce que vous avez apprit à votre camarade, et ceux à tour de rôle. En gros, vous ferez des auto-sensei.
Inaki, tu peux faire bouger le clone de Sam comme tu veux.
Si vous avez des questions, MP/MSN]

Aux mots de son sensei il se leva. Où aller pour s’entraîner à la métamorphose ? Au désert, ce lieu plein de mystère pour lui, l’attirait.

[Désolé post minable mais nécessité fait loi. J’éditerai]

Je me levai doucement et déposai le panier par terre ; j'étais repu. À la manière d'un chat je m'étirai, déployant toute ma grâce et ma félinité dans ce seul geste. Puis, légèrement fatigué, j'écoutai les consignes que Sam Akimichi se fit un plaisir de me susurrer. Le kawarimi. Je venais de commencer et pourtant, j'en avais déjà marre d'apprendre ces techniques de bases, certes incontournables pour tout ninja mais tellement fastidieuse et sporadiques, mornes et insipides, sempiternelles et ternes. Non vraiment j'avais hâte que cela se termine. Je haussai les épaules imperceptiblement et soupirai rapidement. Mais bon, c'était une étapes importantes et incontournables alors autant faire sa bien.

Je tâchai de me concentrer sur l'épreuve à venir. J'avais remarquer du coin de l'oeil le uchiwa s'en aller pour aller travailler ailleurs. Il avait sûrement raison car ainsi il évitera toutes déconcentrations alors que moi je serais sujet des regards malveillants comme intrigués et des bruits discontinus et assourdissants, mêlant piaillement, pleure et rire. Je m'isolai donc loin de toutes cette agitation et cherchai un moyen de réussir à canaliser mon chakra dans mes muscles, comme me l'avait expliqué mon senseï.

*Jusqu'à présent, je suis parvenu à libérer mon chakra et à le rediriger. Mais à présent, je devrais le localiser dans un muscle dans le but de l'approvisionner en énergie et le faire gagner en puissance. *

À l'évidence, la question du dosage se posait également car il ne fallait pas que j'en infuse trop au risque de voir éclater mon muscle. Je n'étais pas sûr de sa, mais je préférais être trop prudent que pas assez. J'inspirai longuement et tâchai de libérer mon chakra encore une fois. Ça devenait un automatisme à présent et je ne ressentais plus aucune sensation particulière, ce qui me fit presque regretter de ne pas être rester au côté de la rivière, libre comme l'air et en pleine possession de mes moyens. J'imagine que je serais devenu fou mais j'aurais connu une expérience particulièrement belle qui m'aurait procurer un sentiment de plénitude absolue.

Un petit déclic retentit dans ma tête, m'annonçant que le cours d'eau était sortie de son lis en quelque sorte, libérant son énergie, m'envahissant de sa puissance, annihilant toutes les barrières érigées dans le but de cette éventualité là. Aussitôt, j'eus l'impression d'être contrôlé, d'être modéré, d'être supervisé par cette entité qui s'était installée confortablement dans mon corps, s'écoulant paisiblement et sereinement, ronronnant de jouissance de pouvoir exhiber sa force destructrice.

Je secouai la tête discrètement. La première étape était finie à présent ; passons à la deuxième étape. Je devais, me semble-t-il, diriger mon chakra dans les muscles de mes jambes dans le but de gagner rapidité et agilité. C'était encore une sorte d'expansion de la maîtrise du chakra, ce qui ne devrait pas poser de problème. Fermant certaines portes, ouvrant d'autres portes, je redirigeai mon chakra essentiellement dans mes jambes, ou plus précisément dans les muscles de mes jambes, aussi nombreux soient-ils.

Une fois ce dosage accompli, je m'empressai de tester le résultat que j'espérai concluant. Je me mis en position de course et m'élançai. J'allais plus vite, mes mouvements étaient plus fluides. J'avais l'impression de flotter en apesanteur à quelque centimètres du sol et c'en était presque grisant..
Il n'empêche, j'avais réussi, ce qui ne représentait pas un réel exploit en soit certes mais un exploit toujours. Je haussai une épaule et sans un regard, m'en allai vers mon appartement. J'étais las et fatigué et mon épaule menaçait de se remettre à me lancer.

HJ/Désolé pour ce post minable mais bon. J'avais absolument pas d'inspi et faut que j'avance. bref, si vous pouviez me donner les xps.. Merci../HJ

Je devais donc apprendre la permutation? Une technique servant à l’esquive, à s’échapper quand il manquait la vitesse nécessaire pour éviter de soit même. Une autre extension de la maitrise du chakra, il devait avoir un timing parfait ainsi qu’une rapidité constante. La dose de chakra devait être elle aussi parfaite. Aucune erreur n’était permise. C’était une technique difficile, bien que appeler facile et basique. Il fallait une concentration extrême, aucune distraction il fallait aller droit au but.

Je finis donc de avec mon repas, avant de me redresser et de me préparer pour la suite des évènements. J’étais épuisé. Je sentais que j’avais retrouvé des forces grâce a ce repas, mais ce n’à pas assez pour moi, pour être au maximum de mon potentiel. Je m’étirais donc me penchant en arrière les bras étendu en direction opposée. Je sentis mon dos craquer, j’étais prêt. Je vis donc le clone de mon sensei. Il était pale, sens vie et me regardait, avec un regard pesant comme un poids que l’ont ne peut retirer. Je n’y fis plus attention et me lançait dans ma concentration, qui devait être profonde vue que je ne voyais pas les actions de mon partenaire Kaguya. Il avait l’air plutôt occupé. Mais je devais me concentrer mon temps était compter, et je commençais à sentir la fatigue se répandre dans mon corps. Rapidement, je me redressais buste grand et ouvert.

*Donc je dois me concentrer sur l’éjection du chakra à partir de mes mains vers un objet, en ligne droite. Cette ligne de chakra devait être solide, et indestructible. La rapidité est aussi un facteur important à prendre en compte lorsque l’ont exécute cette technique.*

Je commençais donc à concentrer mon chakra à le malaxer comme de la pate à modeler. Puis rapidement je l’envoyais vers mes mains. Le chakra fut ensuite éjecter en ligne droite, vers un tatami sur le sol. Mais le chakra était trop visible, on pouvait y voir une longue ligne de chakra bleu aussi grande que ma mains. Je commençais donc à me concentrer sur les fils pour les fairent maigrir. Lorsque cela fut fait, quelques minutes après je me concentrais pour savoir si les câbles étaient assez puissants. Je tirais un petit moment, et le tatami bougea. A se moment j’entendis un bruit métallique se diriger dans ma direction. D’un mouvement rapide de la tête, je vis un kunai venir vers moi rapidement. Je n’avais aucun choix que de me laisser tomber sur le sol. Je vis le kunai passer en face de mon visage. J’aurais pue en mourir que pensât-elle en me donnant un clone fou furieux ?

Je me relevais rapidement, a se moment le clone se remit en position. C’est comme s’il c’était activer lorsque j’avais trouvé une solution pour exécuter la technique. Je me remis en place, le chakra fut expulser et maigrit. A se moment un autre bruit métallique fut son entrer. Cette foi c’était un shuriken un peu plus rapide. Paniquer, je tirais le tatami vers moi d’un coup, oubliant de bouger a mon tour. Le shuriken traversa le tatami et se planta dans mon avant-bras. Aucun cri de douleur juste une grimace. Le tatami tomba au sol pour me laisser voir le clone de nouveau prêt à ce lancer pour me laisser essayer. Je vis mon chakra était encore présent, je devais réussir au plus vite. Je répétais donc les étapes déjà connu et exécuter. Le clone m’envoya un shuriken de nouveau. A se moment je tirais le tatami et je m‘élançait a sa place. Mais je ne fus assez rapide, le shuriken m’égratigna la joue laissant un filer de sang couler le long de ma joue.

En levant la tête, je vis le clone déjà prêt comme a son habitude. Je me préparais. Avant que je ne puisse lever la tête, le shuriken qui était encore plus rapide se dirigeait vers ma tête. Je tirais donc le tatami brusquement et je m’élançais, mais je n’étais pas assez rapide. Je vis le shuriken arriver lentement vers mon front, prêt à me découper et me séparer le crâne en deux. Je ne voulais pas mourir pas ici, a se moment, mon pied toucha le sol comme par chance et je puis rapidement me pousser beaucoup plus loin comme par chance. Je me suis rendu compte a se moment que c’était en commençant du pied gauche je retomberais rapidement sur mon pied droit pour me pousser plus loin plus rapidement. Le shuriken traversa le tatami et se planta dans le mur. Je regardais le clone qui disparu a se moment je me tournais donc vers mon sensei rapidement.

J’avais réussit, mais j’étais épuisé, je devais me reposer. Je me mis en direction vers la sortit après les quelques mots de mon sensei. Je devais dormir.

Ici Appartement de Inaki