Présentation de Geikô Kaguya

Présentation de Geikô

-Nom-
Kaguya

-Prénom-
Geikô

-Spécialitée-
Taijutsu

-Description Physique-
Il est petit, frêle et maigre. Il a l'air en mauvaise état et semblait a peine capable de tenir sur ses jambes noueuses. Malgré ce physique malingre il avait une force qui semblerait pâle par rapport a un ninja confirmé mais étonnante pour son physique. Il avait des cheveux brun ébouriffé, des yeux fin en amande de couleur noire profonde. Ces petits yeux fins et remplit de malice.

-Description Morale-
De nature violente, il pourrait etre une parfaite brute si son éducation ne l'avait pas forcé au secret et a la mièvrerie. Il peut néanmoins faire ressortir son caractère brute et le gout du sang lui a été acquit.

-Histoire-

Geikô n'est officiellement jamais né, sa mère était une adoratrice de Jashan et ce fût a la suite d'un rituel que Geikô naquit. Sa mère morte peu après son accouchement décida que Geikô devra servir Jashan pour le rituel suprême de la fin de l'innocence. Il se définit en trois chapitres qui devront régir la vie du sacrifié.
La purification : le sacrifié doit par l'effort d'abnégation servir ceux qui le propulseront au paradis de Jashan.
La renaissance : Le sacrifié doit être initié a l'art ninja.
L'apothéose : La fin commence par le début et fini par le centre.

Chapitre 1 : La purification

Ce passage de sa vie consiste a purifier le sacrifié en le traitant comme un esclave offrant chacun de ses effort en cadeau à Jashan. Geiko a forgé la base de son caractère bien qu'il ait évolué. Le quotidien est rudement monotone. Il vit faiblement et est très discret.

(Un jour de sa vie)

Le jour se levait haut dans le ciel et la vie commençait a peine dans la maison. Une silhouette accourait dans tous les sens apportant divers objets. C'était un gamin de 5 ans a tout casser mais avait l'air d'en avoir un peu moins. Il avait une carrure frêle et maigre qui respirait la faiblesse, que c'était de ses bras noueux et maigres a ses jambes dans le même état. Il avait des cheveux court et brun, de petits yeux fins et vides d'expression de la même couleurs, sa bouche était fine ni trop grosse ni trop fine. Ses joues étaient creuses et tout en lui, de ses haillons à son visage faisait pitié à voir. Il courait donc dans les couloirs, divers objets à la main : des couteaux, des fourchettes et même des paniers à pains. Soudain, une voix qui retentit bruyamment le fit sursauter :

"Geikô ! Ramène toi salopiaud ! Allez ! dépêche toi ! Maître Fukaku t'attends !!"

Geikô posa ce qu'il avait entre les mains et courut a la chambre de son maître, redoutant ce qu'il attendait tout les matins. Il arriva dans la salle le regard légèrement implorant mais il ne regarda pas directement qui l'avait appelé.

"Amène toi gamin au centre du cercle !!"

Le garçon obéit avec servilité. Il se mit a l'intérieur du cercle et vit l'homme qui se tenait devant lui se transformer en une sorte de squelette. Il prit un couteaux et se mit poitrine nue. Il commença alors a s'automutiler une expression jouissive sur le visage. En même temps qu'il s'appliquait les blessure avec une sorte d'ordre sordide repassant sur des cicatrices qui semblaient récente. Dans le même temps des cris étouffé mais audible semblait provenir de partout a la fois. C'était Geikô, il hurlait a s'en déchirer les poumons mais se mettait la main sur la bouche, car les mutilations que se faisait subir l'homme nommé Fukaku apparaissaient sur Geikô les mêmes cicatrice qui s'ouvraient béantes dans un vagissement douloureux. Il en était partit pour sept heure... sept minutes...

Il en était ainsi depuis 3 ans de sa vie.

Sept heure plus tard. Geikô était inconscient et un flot de sang coulait de son poitrail mais il n'était pas en danger et semblait dormir paisiblement bien que sa respiration était saccadé et diminuait. L'homme souriait et appela un infirmier.

« Soigne le il ne tiendras pas le coup sinon... »

Il termina sa phrase par un grand rire sonore et sortit dans la chambre son rire dément sonnant dans tous les recoin de la pièce.

Geikô fut soigné et juste après que sa situation fut stabilisée il se fit ramener dans un lieu noir et on lui amena a manger. Il se réveilla peu a peu. La douleur ne l'agressa pas mais il n'arrivait a peiner rebouger... Il vit le repas et se rendormit... La litanie monotone avait recommencé et aucune chance ne s'offrait a lui... Il devait faire encore jour mais il savait qu'il ne sortirait pas avant beaucoup de temps...

Chapitre 2 : La renaissance

Dans cette partie de sa vie le sacrifié doit acquérir l'art ninja, il se nomme la renaissance car le sacrifié qui était faible a cause de la purification renaît en une sorte de nouvel être plus puissant. Noburo avait bien évolué les résultats furent fructueux. Il apprit également a lire, c'est la aussi qu'il se rend compte que sa vie est "pourrie" et qu'il commença a tenter de s'enfuir se rebeller et que son caractère commence a devenir de plus en plus belliqueux bien qu'il reste un peu secret il commence aussi a se rendre compte des ignominies que les membres de ce cercle de Jashan lui ont fait subir.

(le jour ou il apprit l'initiation au Taijutsu)

Le soleil était haut dans le ciel a son firmament et brillait d'un éclat jonquille sur le décor environnant. Une grande silhouette musclée et haute arrivait au côté d'un jeune garçon fluet, pâle et en mauvaise état. Il s'arrêta au centre d'une sorte de clairière. Et l'homme parla d'une voix forte puissante qui semblait un rugissement.

"Geikô, oui on m'a dit ton nom, je suis ton maître d'arme du jour et t'apprendrait ce en quoi je suis la: la maîtrise du taijutsu. Apparemment tu sais lire même si tu ne sais pas très bien, et bien ce n'est pas dur tout est schématisé sur ce parchemin. Tu est prêt ?"

Le gamin regardait au loin mais avait écouté mais il ne fît aucun geste. Le géant sembla excédé et lui laissa le parchemin sur le sol et disparut en un geste.

Tout a coup on aurait dit que la vie était venue dans le garçon il bondit littéralement de sa place et prit le parchemin le dépliant d'un coup sec. Ses yeux brillèrent sous le coup de voir les images. Une espèce de bonhomme reproduisait des techniques de coups de poing et coups de pieds. Un peu plus loin il était marqué des instructions basiques pour savoir comment les exécutés, dans quelles conditions et comment s'échauffer.

Il commença par le première étape comme en toute logique ! Il se mit a sautiller sur place pendant en faisant tourner ses bras dans une sorte de cercle désordonné. Il ressentit une sorte de détente et entreprit alors de s'étirer méthodiquement faisait tirer ses bras et jambes. Jugeant qu'il s'était assez étiré il remit le parchemin devant ses yeux et le regarda avec attention. Il se releva et mit le parchemin a ses pieds. Il leva son poing et donna un coup avec une lenteur déconcertante et continua cent fois de suite... deux cent fois... cinq cent fois... au bout de la quatre cent quatre vingt dix neuvième fois il sentit les muscles de ses bras se raidir et posa les yeux sur le parchemin...

"Si vous ne réussissez pas l'étape précédente rajouter la moitié du dût de l'exercice précédent au dût de l'exercice suivant."

Il soupira et se mit au travail toujours de la même manière en donnant des cous de pieds cette fois mais toujours dans le vide. Il donna cent coups de pieds, deux cent coups, six cent coups, sept cent coups.. au sept cent quarante neuvième il ne p^t plus bouger aucun des membre de son corps et tomba raide le corps suant, haletant et fatigué. Il se rendit seulement compte que plusieurs heures étaient passée... qu'il avait faim et c'était la fin d'après midi...

Brusquement le géant arriva et le mit sous son bras en maugréant plus pour lui même que pour Geikô :

"T'aurais pas du gamin...Inconscient...tenace..." Furent les quelques mots que Geikô comprit... une heure après, le géant s'arrêta regarda le ciel et reprit son chemin. Entre temps geikô s'était endormi.

Chapitre 3 : L'apothéose

Cette période de sa vie dure 10 jour et doit le rendre heureux jusqu'à la tout fin, les membres du rituel doivent disparaitre et le laisser vaquer dans la maison mais en créant des barrières de Genjutsus pour protéger le domaine et sa fuite. Pour Geikô c'est le moment de s'enfuir mais les genjutsus l'empêche de passer et alors qu'il vaque dans une des chambres il découvre une trappe.

Il fit une longue chute dans le vide et retomba sur une sorte de matelas assez dur. Il se releva et habitua ses yeux à l'obscurité bien qu'il n'y voyait pas très bien il réussit à se frayer une chemin et se retrouva devant une porte, il y avait de la lumière et poussa la porte. Il tomba alors sur une sorte de grande salle circulaire, où des chandelles étaient allumées tout autour de la salle. Au milieu une sorte de cercle comme celui sur lequel il se faisait mutiler. Geikô était émerveillé par la salle mais aussi effrayé, il se dirigea vers une espèce de bureaux et trouva une lettre en son milieu :

Garçon prêt pour sacrifice, préparez le !

Malgré ses difficultés à lire la lettre, il comprit avec effroi ce qui l'attendait mais dans le mauvais sens du terme il pensait qu'il devrait a nouveau souffrir. Il vit qu'une porte était plus loin ; il l'emprunta et se retrouva dans les égouts. Après une longue course effrénée, il vit une sorte d'échelle, il y grimpa et tomba en plein Suna. Il se mit à courir et atterrit dans une ruelle...

[BG Accepté]

Les rues de Suna. Un brouhaha assourdissant et complètement incompréhensible, des bousculades toutes les deux secondes, quelques vendeurs par-ci par là, clamant la qualité de leurs produits et les voleurs qui allaient avec... La vie battait son plein dans les grandes rues de Suna. Les gens semblaient tous pressés de rentrer chez eux, sauf une personne qui marchait lentement, l'air colérique... Kagutsuchi Hyûuga, elle venait de ressortir d'un entraînement, non pas du siens, elle n'avait même plus le temps pour ça, mais celui d'un jeune étudiant, ces aspirants ninjas qu'elle n'appréciait gère, et bien c'était à elle de les entraîner, et Inuzu occasionnellement, quand il ne dormait pas... Elle marchait donc tranquillement dans une rue beaucoup moins tranquille, aujourd'hui elle avait sa journée, elle avait donc songé à aller s'entraîner, elle le faisait de toute façons à chaque occasion qui se présentait.

" Je commence à en avoir marre de tout ça, c'est toujours moi qui me tape le sale travail, Inuzu-San lui, il fou rien de ses journées et quand il fait quelque chose, c'est pas ce qu'on lui demande, maintenant faut arrêter de s'foutre de notre gueule... Pfff... Si ça continue même Raijin va devenir plus fort que moi, j'ai plus le temps de rien faire avec ces bons à rien là... Et le Kazekage, il est où le beau gosse au belles paroles, je l'ai plus vu depuis la dernière fois à la mairie, d'ailleurs j'ai même plus le temps d'y aller à la mai... "

Interrompant ce monologue plus qu'intérressant un jeune homme heurta de plein fouet la jolie Hyûuga, il courrait tête baissée... Quelle idée à cet endroit de Suna, une chance sur dix milles de ne pas s'accrocher avec quelqu'un... La jeune femme n'eut même pas le temps de prendre un appui qu'elle était déjà par terre, le jeune garçon était tombé aussi, non loin de la jeune fille qui semblait moins belle tout d'un coup...

" Je vais l'étriper ... "

Le poing serré, elle était assise sur les fesse, les cheveux sur le visage, on pouvait sentir toute la colère qui s'émanait d'elle, le jeune homme en était effrayé de voir cette jeune fille immobile retenant toute cette colère telle une cocote minute qui n'allait pas tarder à exploser... Ce qui se produisit... Elle se leva d'un bon en direction du jeune homme, le pointant du doigt, le visage déformé par la colère...

" J'en ai marre de ces sales gamins !!! Tu peux pas t'excuser !!? Heiin !!? Quelle idée de courir tête baissée dans cette rue... Espèce de... Qui es-tu !!? Je t'ai jamais vu ici, réponds-moi petit, je te laisserais pas partir ! "

La respiration haletante, les yeux complètement injectés, la jeune fille attendait une réponse, ce jeune homme était tombé au mauvais moment, sur la mauvaise personne ...

Cela faisait plusieurs minute que Geikô courait comme un dératé, il sentait qu'il avait des point de côté, la douleur lancinante qu'il ressentait au côté droit démontrait qu'il avait raison. Il voulait juste s'éloigner le plus possible du manoir affreux, celui ou il avait vécut. Il fût soudain arraché a sa pensée par un mal de crâne saisissant. Il essaya de retrouver ses esprit lorsqu'il vit une femme qui avait l'air dans une rage noire, elle le regardait d'un oeil flamboyant voire hystérique et allait sans doute lui en coller une. Elle hurlait, pour lui dire qu'il aurait put s'excuser, de faire attention etc...

"Désolé madame, je m'excuse vraiment désolé, je n'ai pas le temps de faire des présentations... je ...je suis occupé...Excusez moi !"

Il avait dit sa retenant les larmes qui lui montait aux yeux a cause de a douleur et de ce qui l'avait fait s'enfuir. Il essaya vainement de se relever, il n'y arriva pas. Il vit alors deux silhouette avec de longue cape noire par cette chaleur qui avait des triangles bizarre cousu sur leurs vestes.

*Merde, merde et re-merde*

Il savait ce que représentait ce signe, c'était celui de Jachan. Il avait u juste, il ne se donnerait même plus la peine d'essayer de la capturer vivant ou de l'emmener par la douceur, il avaient même endossé la veste officielle. Disparaitre sera sa dernière chance, mais il regarda a nouveau la femme qui le fixait et sût qu'il aurait valu beaucoup de chance. Il essaya a nouveau de se relever avec succès cette fois et s'excusa avec sincérité même si il était pressé et tenta de partir car les silhouettes qui furetait partout regardait par la ou il avait trébuché. Elles se raprochait mais la femme hystérique ne sembla pas le remarquer et se mit froit devant lui le dixant de ses yeux de malade. Il vit les deux hommes de main de Jashan s'approcher avec rapidité il le fixait, il glissa de côté et s'accrocha a l'habit de la jeune femme et murmura d'un air térrifié les yeux convulsés de terreur :

"Aidez moi.."

Pff, quel gamin, que croyait-il ? Que s’excuser ainsi suffirait à l’apaiser ? Qu’elle accepterait d’être ainsi reléguée parmi les personnages secondaires qui ne méritait un peu de temps ? Il avait l’air terrifié, mais il devait avoir plus peur d’elle que d’un éventuel poursuivant quel qu’il soit. Mais non il ne faisait pas vraiment attention à elle et avait l’air plus préoccuper par ce qui se passait derrière lui. Non, mais il faut lui apprendre les minima de la politesse élémentaire. Elle éleva le point, banda ses muscles, et le garçon se jeta sur elle, la priant de lui venir en elle. La perplexité qu’il en résulta suspendit momentanément son geste. Les hommes portant de capes noires malgré le soleil de plomb, arborant d’étrange forme géométrique triangulaire. Il provenait certainement d’une obscure organisation secrète qui révulsa déjà par avance la jounin et plus ces idiots commirent l’impardonnable erreur de lui adresser la parole :

« On veut le garçon. »

Kagutsuchi faillit s’étrangler de rage, étrangement ces paroles lui étaient insupportables.

« De quel droit… …Par le pégase de Suna ! »

Le corps de la jounin s’envola et ses jambes décrivirent des arcs de cercle percutant de plein fouet le plus costaud des deux poursuivants, les coups partaient de plus en plus vite au fur et à mesure que la célérité de la kunoïchi augmentait ; bientôt elle changea d’enchaînement et frappa simultanément les deux hommes en noir. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, deux corps gisait piteusement sur les dalles de la rue de Suna. La rage qu’elle avait accumulée durant des années s’était brusquement déversé, donnant lieu à une formidable démonstration de taïjustu qui étonnait par sa force, sa vitesse, sa fluidité et sa grâce. Aussi en avait-elle bien conscience, au point d’en être presque apaisée ; pour sûr, l’évènement de la matinée profiterait à son image, les passants était nombreux dans ce passage. Un sourire de satisfaction sur son visage, elle créa un clone qui emmena les deux gisants et elle se retourna vers le gamin. Ah ce dernier doit lui être bien reconnaissant de l’avoir tiré d’une telle affaire ! Dieu sait ce qu’il aurait subit si elle avait laissé ces deux sectaires le reprendre, elle en frissonnait presque rien que d’y penser. D’ailleurs elle se demandait ce qui avait bien pu la mettre dans un tel état de fureur. Les utilisations des enfants avaient toujours était un point sensible chez elle quel qu’en soit les apparences. Enfin bon, elle avait enfin pu mettre en pratique sa nouvelle technique elle qui n’avait plus tellement de temps à consacrer à son propre entraînement, sans compter bien sûr l’image, l’auréole d’une salvatrice des opprimés qui déchaînait la puissance du taïjustu contre les injustices. Par ailleurs, il fallait bien reconnaître que la gratitude d’un gamin étranger était pour elle une chose inconnue dont elle goûtait la saveur en se délectant. C’est donc avec une voie radouci qu’elle lui reposant la question :

« Dis-moi petit, qui es-tu ? Que voulait ces monsieurs ? »

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