Next Generation Rebirth
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| Présentation de Ten'Shi [Morte] | |
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Ten'shi Invité
| Sujet: Présentation de Ten'Shi [Morte] Ven 7 Juil - 21:16 | |
| Histoire
Chapitre 1 : Away
Kaeriie regarda une dernière fois derrière elle, sa peine n’égaler nulle autre. En effet celle-ci avait appris qu’elle était enceinte, enceinte de Takeo, bien que cela ne soit pas la cause de tout ce désastre. Elle avait fuit, fuit du palais, de sa propre demeure ou plutôt celle de son père car elle ne voulait pas le mettre sous la garde du Roi, la destinée de celui qu’elle portée ne serais qu’être Ninjas en offrant sa vie au village. De cette peur naissante, elle continua sa route et pivota la tête, pour apercevoir les dernières lumières du village, semblables à des lucioles qui s’éteignaient au fur et à mesure de sa tâche. Takeo, il l’attendait à Iwa, voulant refaire sa vie, leur vie et donner naissances au petit, pour qu’il puisse se porter sous le fruit de l’amour et la joie, isolant celui-ci du monde de la guerre. Son fiancé, travailler au service d’un empereur de petit village issus de Konoha, il était entré depuis peu dans le service militaire de Ninjas et avait attiré la grâce du père de Kaeriie, sa main fut demander en vain, mais celui-ci refusa concrètement, il considérait Takeo comme une famille non noble.. Elle ; elle décida d’appeler son enfant Ten’shi Maigo signifiant en japonais : Ange perdu, en espérant qu’il serait aussi généreux qu’elle le fût.
Son meilleur compagnon de route devint son cheval, au pelage fin et doux. Elle aimait grimper sur celui-ci car la marche se devait être moins durs. Et rien de mieux qu’une bête calme et apaisante. Son chemin fût par ailleurs jonché de rires, de gaieté qui facilita la douleur que pouvait provoquer une séparation. Déjà l’Automne, le développement de la saison ce voyait à l’avancement des premiers bourgeon que laissaient paraître les jacinthes semer à différents endroits de la route. Les nuits étaient moins rudes que celle de l’hiver, le mois d’automne présager un bon voyage d’après les préceptes, les augures, douze vols d’aigles ne pouvait qu’affirmer les dires de la jeune fille. Kaeriie avait aux fils des semaines acquis un don car ses sens s’aiguisaient, elle avait à présent grandis et mûrit aussi bien mentalement que physiquement et elle laissa paraître des formes bien plus conséquentes… La fatigue se sentait sur son visage et ses yeux voulurent se fermer à plusieurs reprises, ses bras s’étaient presque endormis et elle les avait abandonnés sur tout le long de son corps. Le sommeil n’avait pas daigné la toucher, il l’a frôlé sans cesse. L’auberge, celle-ci se dressait non loin de là, les premières odeurs de fumée vinrent se dressait sur les basses tables. Elle mangea avec appétit ses nouilles à l’aide des baguettes, cela faisait quelques jours qu’elle n’avait pas autant mangés qu’ici, mais Iwa était encore loin. Elle ouvrit avec difficulté la porte de bois qui coulissa juste après et pénétra dans sa chambre, elle avait laissé son kimono pour en enfiler un autre beaucoup plus propre, les servantes de l’auberge se précipitèrent pour lui faire enfilait le vêtement, elles nouèrent les liens de celui-ci et attachèrent les cheveux de la jeune fille. Elle fut habillée à la manière d’une geisha, maquiller conformément comme les jeunes filles au Japon, un visage blanc, un chignon, de pommettes rouges et de mains gracieuses portant un éventail. Mais elle devait avancer et elle ne passa que deux jours dans la petite maison accueillant les voyageurs. Elle remonta sur son cheval et tapa avec son pied le flanc du destrier, il se mit au galop rapidement, ses lourds sabots claquant sur la terre, relevant la poussière sur son passage.. Et déjà l’orée d’un bois bien sombre et étroit. Les végétations étaient rougeoyantes. La forêt recelait de merveilles, chacune bien différentes, les journées étaient plus longues, le réveil matinal semblait être une brise et le petit cri d’un rouge-gorge qui la suivait durant le voyage. Il lui vint vaguement à l’idée qu’elle approchait du pays de l’herbe, car il n’y avait pas de raccourci pour aller à Iwa, il n’y avait qu’un chemin : Kusa no Kuni. Durant son enfance, elle avait appris à se battre, du moins les bases, mais aussi avait t-elle appris l’art de la médecine qui à l’époque était un art réservait aux filles. En tous cas, ses talent cachée ne faisait pas d’elle une héritière du palais, son frère aînée savait mieux le faire à sa place, c’est ce que pensée en ce moment même son père. Sa désertion parvenue aux oreilles du roi, il avait lancé quelques recherches dans le village pour retrouver sa fille, personne ne l’avait vu fuir, il exécuta différent paysans pour exemples qui; décrétant l’avoir aperçu, mais ne voulant pas cracher un seul mot de sa direction. Il eut envoyé plusieurs troupes de Ninjas au sol et aucun n’eurent trouvée la femme, elle avait avancé progressivement. Sa relation avec son père était assez houleuse, mais parfois, elle savait apprécier les moments de colère que tout êtres humains possèdent. Elle se laissa baignée par ses penser pendant un instant, et si Takeo ne l’attendait pas ? Peut-être qu’il était déjà mort ou avait-il fuit ? La confiance était une chose difficile à confier dans les mains d’un homme, elle haussa un sourcil et ferma les yeux, elle essayait de se vider de la crainte qui l’entourer, sa tête lourde était remplit de stresse qu’elle voulait évacuer. Kaeriie restais souvent immobile, les panoramiques et les angles de vue qu’offrait la nature n’étaient pas les mêmes que celle qu’elle pouvait voir du haut de sa chambre. Fugitive.. Elle avait aperçu plusieurs fois qu’on la traquait sans relâche ; mais elle ne rentrait pas, elle contournait maladroitement la difficulté. Et elle avait reçu il y a peu un épée donné par un forgeron qui l’avait héberger durant quelques lunes, l’arme n’était pas de très grande qualité cependant cela suffisait amplement à la jeune dame pour se défendre. Le fourreau était assez lourd et il lui semblait parfois comme un fardeau, la jeter aurait été une erreur. Voilà, c’est ici qu’on pouvait apercevoir une lumière débouchant dans un village assez faible, on pouvait apercevoir des lignes de fuites dans l’architecture des bâtiments et leur toit qui semblait plutôt finement protéger par la pluie. L’herbes surpeuplée le sol, ceux là été fraîchement poser avant d’être arrosé tous les mois en fonction du temps avait dit un vieux paysans à Kaeriie qui aimait la culture et particulièrement l’apprentissage que pouvait apporter autrui. C’était en ce jour la saison des récoltes, qui nécessitaient de la patience pour tous les paysans qui s’efforçaient à la tâche. Cela faisait six mois qu’elle le tenait dans son ventre, les premières contractions venaient assez rapidement et elles étaient à chaque fois plus douloureuse les une que les autres. Ses traits de visage s’accentuer souvent par de simples lèvres qui remontaient, elle semblait revivre dans ce village si beau.. Elle y resta durant une période d’uns mois, où elle vécut avec le nom de Hitomiru, on ne semblait pas avoir découvert son identité et même si cela en avait été le cas, elle n’avait pas à s’en faire pour cela. Iwa n’étais plus aussi loin qu’elle le pensait et le temps ne voulait plus s’assombrir, elle se laissait porter par le chant du vent, ses cheveux se laissant flotter par celui-ci. Et devant des portes assez solides, elle se mit à retenir ses larmes, ses larmes de joie, un visage qui semblait avoir vécu de la fatigue et du courage, un visage simple et abîmé qui exprimait beaucoup de mot avec lequel il se qualifierait. Mais le goût de la vie ne faisait qu’empirer et le destin ne peinait pas à s’acharner sur elle, les ennuies ne faisaient qu’arriver, s’enchaînent à tours de rôle. La roue, ne faisait que tourner autour d’une même personne.
Les murs du village s’ouvrirent, les palissades n’étaient plus. Et dans une déprime profonde Kaeriie compris que personne ne l’attendait là-bas, Takeo.. Seul quelques survivants revenaient d’une mission périlleuse où le père de l’enfant fut mort, mort pour Iwa. Le village avait usé de fourberie envers un Samouraï de haut supérieur, toute la nuit la jeune femme fut en crise, elle fut en deuil et pria pour que l’on protège le nouveau née de ce malheur, sa tombe fut peu visité, et quand son fil vint au monde, il demeura silencieux et continua chaque jour à vouer le culte à des anciennes statues, car t-elle étais la tradition du village. Mais Ten’shi lui restais souvent en retrait, il espérait un jour être choisis par le prêtre pour pouvoir un jour avoir force et courage de protéger sa mère, en attendant ce jours, il resta le plus pieux possible. Il ne comprenais pas trop à quoi servait les rituelles que seules peu de personnes recevaient, mais fût émerveiller parce qu’elle procurait, car il voyait chaque jour des hommes partirent quelques part et qui ne revenait pas.. Il avait sans doute des missions importantes ? Se disait-il au début de cette histoire, mais vint le jour où il comprenait que son tour avait sonné. |
| | | Ten'shi Invité
| Sujet: Re: Présentation de Ten'Shi [Morte] Ven 7 Juil - 21:16 | |
| * Changement de « Personne » de « Il » en « Je »
Je regardé soudainement le lieu où l’on m’avais amener, de signes étranges étaient dessiner au sol, je pris à la fois peur, mais repris mon cœur à deux mains, sa pulsation battait fortement et le sang qui coulait dans mes veines voulut un instant s’arrêter. Je balbutiais quelques mots incompréhensibles en une langue qui m’était pourtant inconnu, j’étais à présent sur le centre d’un cercle et mon crâne me faisait horriblement mal, je criais de douleur et me tortillais de chaque sens la main sur ma tempe. J’étais pour moi comme dans un rite sans fin, vous savez comme lorsque que l’on fait des cauchemars, oui c’est cela, je ne voyais presque rien et presque plus, la pièce n’était que peu éclairée et les seuls endroits où se situé la lumière émanaient d’une bougie sans feu. Une main glacée se posait d’abord sur mon front, je crus que ce moment était interminable et puis je n’avais que dix ans peut-être, je ne m’en souvenais plus ce jour là.. Et puis, ce vide incessant qui me perçut un moment. Plus rien, j’étais recroquevillé, sur le sol glissant de la salle. J’avais l’impression que l’on m’avais fait subir un étrange jugement, être soumis à une pénitence qui me remettait énormément en doute. J’avais hurlé pendant des heures et ne comprenant plus la situation, laissaient transparaître de faibles larmes. Mes rêves, pourquoi moi ? Je me le demande, mais je n’imaginais pas la conséquence de mes actes. Je survivais, entre les fauves de mon village, et j’eus grandit et mûrit pour comprendre que la guerre n’était pas finis. Effectivement, soupçonnant d’un étrange conflit avec mon village, le Samouraï n’attendait que le moment propice pour brûler toutes les habitations et les réduire en cendres, les temples furent profaner et les icônes détruit un par un, moi qui n’avait pas sentie une t-elle sensation depuis bien longtemps, mes yeux, je ne les contrôlaient plus vraiment. Mon entêtement ne voulait pas accepter le cauchemars à qui Morphée m’avais donné, tout sa n’étais qu’un rêve ? Et pourtant cela paraissait si réel, je ne pouvais imaginer chose pareil, la mort de quelqu’un que j’aimais tant, peut-être la seule personne a qui je pensais dans ma vie : ma mère. En repoussant et rejetant mes sentiments je faillirais sans doute, alors le désir m’avait conduit à un enseignement de la plus haute importance par le prêtre qui m’enseigna l’art Ninjas. Mes pouvoirs ne voulaient pourtant pas s’accroître et les jours d’échec furent tous jours de désolations. Et presque soudainement la vocation de Shinobis m’eût échappé des mains. Je cueillais le jour présent, en me fiant le moins possible au lendemain *. Mais la persévérance vient au bout de tout même si ce proverbe ne m’en prouvait que le contraire. J’avais du mal à contrôlait mes deux énergies pourtant c’étais aussi simple qu’une recette, créer un mélange homogène à partir de deux chose miscible. Je ne ressentais pourtant rien au fond de moi malgré la détermination que je portée a cette exercice. Moi, j’étais née d’une famille non-Ninjas, il donc normale que je n’étais pas fait pour cette catégorie, je ne résistais pas à la douleur ni à la faim ni au froid ni au vent et ni même à ma conscience… Faible, perdu dans le noir.. Et qui m’aimais me suivais, seulement personne ne s’avait m’apprécier, sauf peut-être ma mère.. Ou mon père, mais cela n’étais pas possible, il aurait tenté sinon de me retrouver ou de me protéger, venir me rendre visite. Non il était lâchement parti.. Chacun avait sa propre idée, son propre avis et il était le mien mais ma mère en avait un tout autre.
Prisonnier.. Pourquoi m’avait-on enfermée ? J’étais coincée ici, entre des barreaux mes mains emplies de sang. Le mal m’avait-il donc autant rongée, autant corrompu.. Accusait d’avoir lâchement tué.. Je n’étais pas la personne qui s’approprierait la vie d’un autre. Mais je gardais le tête haute, j’avais froid, qui pouvait m’en sauvais, si j’aurais étais Ninjas j’aurais sans doute réussis, humide, le sol était trempé, et plusieurs fois je frémissais, les encoignures étaient emplies de moisissures.. Endroit lugubre pour un jeune innocent sur lequel plusieurs préjugée c’était porté. A part d’en une prison, je n’arrivais pas à cerner ou l’on m’avait emmenais. J’entendais de faibles vagues, un courant d’eau, de mouettes criant sans vraiment chantaient comme elles le faisaient à leur habitudes. Même pas l’ombre d’une lumière, l’air paraissait complètement étouffé. J’avais médité sur les actes que j’aurait pu procrée, et regardant mes mains. Le sang sécha rapidement et disparut bientôt laissant place à plusieurs cicatrices, j’avais voulut m’enfuir à tout prix, serrant les barreaux si fort et voulant revoir ma mère, séparée d’elle, qui la protégerait si ce n’était pas moi ? J’avais perdu la notion du temps, des heures, des minutes et des années.. Je n’en étais pourtant pas si couard. Mon regard fatigué contemplait l'horizon monotone, à travers les barreaux d'une geôle. Les gardes restaient immobiles, leur carrure m’était très imposante, elles me montraient que la fuite n’était pas chose à prendre, voyant l’âpreté de leurs muscles. Personne ne pus consoler mon désespoir..
Ils s’écartèrent tous, m’ouvrant la porte de plein grès, pouvant songé une nouvelle fois à une dernière fuite. C’était sans doute ma seule chance, je me dévouai corps et âme au combat. Leur coupant tout signe de vie, les étranglant chacun leur tours en laissant au creux de ma prison, leur corps dépouillée. Je n’avait plus l’impression d’être le même, c’était peu probable que je les avaient tous tuée. Mais c’était trop tard, les autres gardes alertée par le bruits vinrent recherchée le coupable, le meurtrier. Leur choix ne pus que s’arrêté sur moi, j’étais déjà partie loin de chez eux, ayant passer par les portes de Kiri. Quand j’entendis des pas humains, qui courait en ma direction, je dus jouer de fourberie, en me glissant dans la peau d’un jeune qui voulait devenir Ninjas. C’était ma seule solution et l’ultime clé de ma vie, celle qui déclencha ma venu, moi qui voulais servir un village, je ne pouvais demander mieux, et je me devais de jouer le jeu jusqu’à ce que le monde m’oublie. C’était tombé sur moi ce jour là, je fut le premier pas et depuis peu sentis que j’avais une voix, qui avait beaucoup de mal à sortir.
« Enchanté, je veux devenir Shinobis de la Brume. Je me nomme Ten.. Ten yuki.. »
Il avait hésité un court moment, dévoilée sa vraie identité serais se mettre en mauvaise posture. De sa voix rauque, ses poursuivants avaient du mal à saisir si c’était lui. Si c’était lui, ce qu’ils cherchaient.
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Mélancolie
Je rêve, ou suis-je ? Dans un monde que je ne connaît pas, le feux sabbat sur Iwa.. Aurait-je une chance de sauver ma terre. Quelqu’un m’appelle, je doit allait le chercher. Une voie de femme isolée dans une petite demeure, une simple demeure, je ne la reconnais pas, après mûre réflexion c’est celle de ma Mère. Je l’appelle désespéramment mais le feux gagne du terrain, je court je saigne, je brûle, il fait trop chaud, cette substance est brûlante. Je la touche je passe, la demeure brûle, j’aperçoit des guerriers, armes à la main ils combattent, ils me prennent ce que j’ai de plus chère, je court je veut la rattraper, je m’engage dans un combat mais deux personnes me saisissent.. Je me débattit, à cette instant je compris, je veut m’échapper, qu’il me lâchent je prend peur, ce regard, celui de voir quelqu’un s’éloigner, on m’emmène dans sur ce cheval, je ne veut pas y montée mais on me prend de force, pourquoi mes mains sont pleines sang, pourquoi..
Démon..
Dans un tourbillon infinie je tombe, des voix, on m’appelle, encore, cette fois ce n’est pas ma Mère, c’est moi.. Ce rituelle je me rappelle, les marques posée sur mon dos, il me brûle, mes yeux, ils me piquent horriblement. Ce qui paraît étrange, je me sent poussé des ailes, j’ai mal, partout, des voix encore, lâchez moi ! Je ne veut pas, je n’aperçoit plus celle que j’aime, celle que j’ai perdu, je ne veut plus la perdre de nouveau, je ne la sent plus, je me suis perdu t-elle un Ange abandonné.. Père, ou est-il, aide moi, récupère là, ne meure pas, je ne veut pas, je la veut.. Ne m’oublie pas, je n’ai personne autour de moi, je suis là, je suis né, je suis né, je suis né..
Détruire.
Jamais, j’ai perdu tout goût de vie, lâchez moi, elle était tout ce que je désirait, elle ma protégeait, ma cajolais, rendez la moi, elle est à moi. Je sais, que vous finirez tôt ou tard par me la rendre, je veut la reprendre, encore la toucher, ne serait-ce qu’une fois, revoir son regard, son sourire.. Vous me l’avez prit, vous me l’avez prit.. Assez de temps, fin de l’histoire.. Koy, je suis Koy, je…Mon nom signifie la souffrance sous un autre Angle. Rendez moi ma seul patrie, ma seul famille. Immobile, je reste là, vous payerait pour tout, tout ce que vous faîtes.
Note de l’Auteur :
Description du caractère : Assez rêveur, il se tient souvent assis la tête toujours haute, quelquefois assez insolent, mais passible de peu. Il est assez subtile et intelligent, il aime jouer au plus malins, d’un caractère assez brillant. Il se cache être un homme sensible sous son regard vif, dotée d’une rapidité futée et prouvant une imagination débordante, il possède cependant quelques défauts qui se font souvent ressentir. Parfois moqueur, il déteste le contact humain et aime le faible silence de son refuge. Il est à la fois ouvert et fermer du monde durant son humeur, c’est pourquoi il a beaucoup de mal à se faire des amis car il est à la fois solitaire. Il est entièrement dévoué à sa vocation de Shinobis, rejetant par la suite son passé. Il ne parle que très rarement de lui, souvent froid et méprisée, c’est un garçon plein de sang froid. Taciturne il ne cause que très peu, ne parle que très peu et aime se divertir durant de longue journée à lire, il est assez perturber et turbulent. Ayant la hardiesse dans le caractère.
Description physique : Pour commencer ce garçon et à première vue de faible corpulence sous son épaisse armure de fer. Il possède de courts cheveux blonds, lisse et très peu épais, laissant toujours une mèche devant son oeil droit. Il est de mesure grand sans trop l’être. Comme la plupart des membres de son Clan ses yeux sont de couleur chaude, ils paraissent le jour marron et vert, la nuit ceux-ci reste d’un jaune, rouges.
* Carpe diem quam minimum credula postero ( Proverbe d’Horace ) – Latin
© Ten’shi Maigo
Dernière édition par le Sam 15 Juil - 0:14, édité 3 fois |
| | | Ten'shi Invité
| Sujet: Re: Présentation de Ten'Shi [Morte] Ven 7 Juil - 21:17 | |
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