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| Sujet: Tsuyu Kurage [Genin, Suna] Ven 5 Juin - 21:42 | |
| Nom : Kurage [Méduse] Prénom : Tsuyu Age : 15 ans Taille : 1m52 Poids : 38 kilos Village : Suna
Nîndo : ‘’ Je façonnerais le monde à la force de mes poings, celui-là ne me plaît pas. Et je commencerais par détruire le village caché des feuilles, Konoha. ‘’ Description physique : A quinze ans, Tsuyu fait pourtant quelques années de moins. Plutôt petite, relativement fluette, la jeune fille est bien loin des solides gaillards que sont d’ordinaire les shinobis. Sous bien des abords, elle n’est pas encore sortit de l’enfance. Sa peau, douce et lisse, est très pâle, et reste en apparence sans aucune marque de quelque sorte que ce soit. Sous ses vêtements, légèrement en-dessous du sein droit, elle a en revanche une marque bien nette : il s’agit d’un sceau de Koumajutsu, l’art d’invoquer les démons. Et les pratiques de sa famille portent à croire que la pureté de sa peau ne sera pas bafouée qu’une seule et unique fois au cours de sa vie. Elle porte habituellement une robe noire, assez courte pour ne pas la gêner dans ses mouvements, et sous laquelle elle enfile un short, serré, moulant, et également du noir le plus pur. Je vous laisse imaginer son utilité, dans le monde des shinobis, où les neuf dixième des protagonistes sont des hommes. Sa tenue comporte des manches uniquement sur ses avant-bras, au bout desquels ses fins doigts ne se voient parés que d’un seul et unique bijou. A l’inverse du sceau, il n’a aucun rapport avec ses pratiques familiales, et est simplement quelque chose qu’elle aime arborer. Ses cheveux sont roses, une couleur naturelle plutôt curieuse mais assez courante sur ce continent, si l’on y regarde de plus près. Ils ne sont peut-être là, finalement, que pour faire, un peu, oublier la pâleur de sa peau en la valorisant ? Car il ne fait aucun doute que sa chevelure, longue, retombant bien plus bas que ses épaules, se marie parfaitement bien à sa peau de fillette. Sa démarche est assurée, fière, mais ce n’est finalement que pour son soucis du bien-paraître. La jeune fille est souvent en proie au doute, mais préfère pourtant carrer les épaules afin que ceux qui critiquent sa famille la voit comme une battante, comme une vraie kunoichi, et pas simplement comme la descendante d’une lignée qui a pactisé avec les Princes de l’Enfer.Description mentale :Tsuyu est une adolescente de quinze ans, avec ses rêves farfelus et ses ambitions démesurées. Elle souhaite devenir une grande kunoichi pour effacer tout ce qu’on a put dire d’elle, et devenir assez forte pour refaire le monde. C’est assez provisoire, confus, et c’est issu d’un caprice, mais elle a décidé que le monde dans lequel elle vivait ne lui convenait pas. Elle aime beaucoup l’adversité, l’affrontement, pour mettre sa force à l’épreuve, pour se dépasser et devenir encore plus forte. Cependant, elle hait la guerre et ceux qui la perpétue. Sa haine la plus forte reste tout de même dirigée contre le village de Konoha, responsable de la mort de son père. Elle n’a rien contre les habitants, non. En revanche, elle désire se venger de l’Hokage, et de toutes les grandes figures du village caché des feuilles en général, afin de changer la prise en main du village. Outre cela, dans la vie de tous les jours, la fillette est relativement compliquée à vivre. Un jour sombre et mystérieuse, cachotière, elle se mue, un autre jour, en une fille d’avantage ouverte, mais aussi très malicieuse. Enfin, ce comportement variable n’est valable que lorsqu’elle est en confiance. Quand elle ne l’est pas, elle se contente d’ignorer les gens qui la regardent de travers à cause des pratiques démonologiques de sa famille, et ils en sont généralement satisfaits. Elle a bien quelques altercations, parfois, mais fait de son mieux pour ne pas faire de grabuge et les éviter. Elle a, tout de même, parfois, des sautes d’humeur très violente, et elle devient particulièrement agressive, répondant du tac au tac à toute forme de provocation. Culinairement, car c’est chose importante pour elle, qui aime tant la bonne cuisine, elle a un palais tout à fait connaisseur et qui ne demande qu’à goûter de nouvelles saveurs. Elle n’est pas très friandes de nouilles, râmens et autres cochonneries provenant du pays du feu, mais aime, en revanche, énormément goûter les spécialités du désert et ne se prive jamais pour en déguster de nouvelles. Il faut noter, au passage, et pour mettre une petite touche noire à tout cela, que la jeune fille est liée de façon quasi-permanente à Yukora, depuis le rituel de Koumajutsu que sa mère et sa grand-mère ont pratiqué sur elle. Ce lien est spirituel et inter-planaire, mais il ne se coupe que dans de rares situations. Enfin, Yukora n’est pas du genre très exubérant, et ils discutent seulement de temps à autre, sur des sujets relativement ‘neutres’. Enfin, nous ne pouvons pas omettre les goûts de la jeune fille en matière de jeunes hommes. Elle est très jeune, et aime beaucoup les ‘héros’, les mecs parfaits, qui réussissent tout ce qu’ils entreprennent. En revanche, quand ils sont trop ‘froids’ ou qu’ils se la pètent un peu trop, elle les méprise. Non, l’homme parfait doit être humble, tout en exprimant sa joie et ses sentiments lorsqu’il tient sa victoire. Bref, elle est encore jeune. Qui sait où son cœur, tantôt de neige, tantôt brûlant la portera ? Enfance de la ‘petite démone aux cheveux roses’Tsuyu dans un hôpital de Suna, d’une mère kunoichi et d’un père civil. Elle n’a jamais sut grand-chose de son père, celui-ci ayant été tué par un shinobi de Konoha, alors qu’elle était âgée de deux ou trois ans. On raconte qu’il s’était embarqué dans des affaires plutôt louches, qu’il déprimait après avoir découvert d’étranges choses sur sa femme et sa belle-mère. La version publique, et largement approuvée car elle convenait mieux à l’opinion, c’était que Shuuna, la mère de Tsuyu, avait elle-même mit fin aux jours de son époux après lui avoir empoisonné la vie. Après tout, qu’attendre d’autre d’une famille de démones ? La mère, la femme, et la petite dernière aussi, elles étaient toutes comme cela. C’étaient des démones, et viendraient bien un jour où elles deviendraient menaçantes. Même le Kazekage et la haute direction ne les aimaient pas beaucoup, mais comment se priver complètement d’un atout aussi important pour un pays où les forces militaires étaient difficiles à grossir ? Les habitants n’étaient pas aussi ‘dépendants’ d’elles, et n’avaient aucuns soucis de les respecter, en revanche. Si personne n’osait s’en prendre à Shuuna ou à sa mère, beaucoup trop effrayantes, dans leurs drapés sombres, la petite Tsuyu eut, à l’école comme dans la rue, son lot de regards noirs et revint plusieurs fois chez elle égratignée, car ses camarades n’acceptait pas qu’une ‘petite démone aux cheveux roses’ puisse demeurer aussi près d’eux en permanence. C’était dangereux, elle n’apporterait que des problèmes … Ce n’était qu’un fardeau, rien de plus, rien de moins, un très lourd fardeau.
La jeune fille apprit très vite à ne pas pleurer, à serrer les dents sans, toutefois, riposter. Garder son calme, et progresser pour changer ce monde hostile dans lequel elle vivait. Son caractère de battante n’avait pas tardé à s’éveiller. Ses parentes n’étaient pas une famille très protectrice, mais cela lui permit de vite comprendre ce qui lui serait demandé en tant que ninja de Suna. Ils étaient tous dans un monde où, si on était trop tendre, on se faisait manger tout cru. Il fallait devenir puissant, et faire régner ses propres lois, si l’on voulait parvenir à y faire quelque chose. Elle avait huit ans quand sa mère pratiqua sur elle le scellement de Yukora, son esprit protecteur, et prépara son corps et son âme à recevoir des démons. Elle lui expliqua que, dorénavant, elle deviendrait progressivement plus forte, car elle apprendrait l’art du Koumajutsu, et qu’elle ferait taire tous les sunéens en montrant la force de cet art. La jeune fille était contre, au fond d’elle, mais n’eut pas l’occasion de refuser : sa mère n’attendait pas de savoir ses sentiments à ce sujet. Elle serait un réceptacle pour les démons. Point.
Elle avait bien d’autres projets, pourtant. Se dépêcher de progresser à l’académie, où elle se fit rapidement remarquer, par ses capacités certaines, qu’on attribua finalement aux pratiques obscures de sa famille. Elle serra les dents, se contenta d’avancer sur la route qu’elle avait choisi d’emprunter. Elle allait refaire ce monde qui ne lui plaisait pas, en devenant une excellente kunoichi. Au passage, elle raflerait l’admiration du village, ou bien sa crainte, peu l’importait du moment qu’on reconnaissait ses talents. Elle aurait alors été bien incapable de dire que ce qui lui tenait plus encore à cœur, c’était qu’on reconnaisse son humanité et son envie de bien faire.
A douze ans, elle fut promue Genin, et à désormais quinze années, elle a bien progressée. Certes, avec seulement quelques facultés dans sa poche, mais beaucoup plus de maturité et d’envie d’affronter le monde. Ce monde qu’elle n’allait pas tarder à refaçonner selon ses caprices. Mieux valait une jeune fille innocente qu’une bande de guerriers barbares et sanguinaires, non ?- Spoiler:
Autres :Techniques de départ : clonage inconsistant, métamorphose et maitrise du chakra. Equipement de départ : 4 kunaï. Sinon, pour le Koumajutsu, j'ai envoyé un mp à Choji qui m'a dit que c'était bon, donc je posterai ma ST dans ma fiche de personnage, ça ira ? :O Et, siouplait, c'est mon premier fofo rp, alors soyez indulgent
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